La dame de Reykjavik

Un beau jour votre supérieur hiérarchique vous convoque et vous annonce que vous devez partir ! Ce n'est pas un licenciement, juste un peu de congés payés avant votre départ en retraite.

Vous sautez de joie ?

Vous vous sentez rejeter ?

J'ai oublié de préciser que si vous devez partir, c'est pour laisser la place à la jeunesse...

Voilà ce qui arrive à Hulda, inspectrice à la Brigade criminelle, islandaise âgée de 64 ans. La peur du vide, le besoin d'agir et le sentiment d'injustice l'a poussent à vouloir servir encore la justice. Elle obtient la "permission" de mener une dernière enquête, mais vite fait et surtout sans bruit.

Quinze jours pour rendre justice à Elena, jeune russe réfugiée en Islande, retrouvée morte. L'affaire est classée, Elena se serait suicidée. Mais Hulda, connait les négligences de son collègue, qui amené l'enquête.

Si les premières pages m'ont un peu endormie, lentement je me suis retrouvée au coeur de l'Islande, cette île mystérieuse où la nature est sauvage et les conditions climatiques sont difficiles.

Fin atypique qui m'a bluffée.

A quelques jours de la retraite, Hulda Hermannsdóttir, inspectrice dans la police islandaise, veut résoudre sa dernière enquête, un cold case… l'affaire de la jeune russe Elena, découverte noyée dans une crique.
Mais ses recherches vont réactiver de vieux démons, fait ressurgir des angoisses ancestrales et surtout… déranger l'assassin.
Dans des paysages somptueux d'Islande, Hulda va mener l'enquête au péril de sa vie.

J'ai passé un excellent moment avec ce thriller nordique, original et décapant.
Un roman dans lequel le suspense est distillé au fil des pages, avec des personnes attachants, notamment Hulda, dont la retraite va être précipitée.
Ragnar Jónasson aborde les thématiques de la mise à l'écart professionnelle, des problèmes sociétaires tels que la différence hommes/femmes, l'isolement et les secrets de famille.
J'ai découvert cet auteur et je ne manquerai pas de lire d'autres de ses romans, car le style est très sympa.

Très bon polar. Hulda mène sa dernière enquête avant sa retraite. Encore une fois, l'intrigue est bien menée. On a droit à trois histoires en parallèle mais tout finit par s'imbriquer dans l'esprit du lecteur. le suspense est bon et offre une belle variété d'émotions. On en apprend encore plus sur l'enfance et le passé de Hulda, bien touchante avec ses défauts et ses faiblesses. La psychologie occupe encore une grande place dans ce roman. C'est bien pour cela que j'aime Jónasson.

Ce roman a été mon premier polar islandais.
Hulda, veuve solitaire de 64 ans, n'est pas pressée de devoir occuper ses journées par elle-même. Passionnée par son travail d'enquêtrice, elle tombe donc de haut quand on la pousse vers la retraite plus tôt que prévu : elle n'a plus que quinze jours pour libérer son bureau ! Elle se raccroche à la faveur qu'elle a pu obtenir : tenter de résoudre une dernière affaire. Hulda choisit de s'intéresser à Elena, une jeune réfugiée russe dont la mort, un an plus tôt, a été classée comme accidentelle un peu trop vite, selon elle.
Dans une ambiance froide et hostile, les paysages donnent autant le vertige que la multitude de questions que l'auteur nous amène à nous poser. Les noms et prénoms des personnages donnent un peu mal au crâne, mais on s'y fait. Plus sérieusement, ce polar tragique secoue. Certains personnages ou événements dramatiques sont abordés d'une façon un peu déroutante et j'aurais aimé des arrêts plus profonds sur la dimension émotionnelle, car il y a matière… Mais j'ai été embarquée par le style fluide et la construction addictive. La narration alterne le présent d'Hulda et le passé de personnages qu'on cherche à identifier et à comprendre. La curiosité ne m'a pas quittée ! S'il a un peu perturbé mon cerveau droit (vous savez, l'émotionnel), Ragnar Jónasson a pleinement satisfait mon cerveau gauche (le logique, la partie, si elle existe en tant que telle, qui aime résoudre des équations à plusieurs inconnues) et m'a offert bien des surprises !
C'est le premier tome d'une trilogie et je compte bien lire la suite : “L'île au secret”, puis “La dernière tempête”.

Alors là, bluffée je suis.
En 2019, sur les conseils d'une amie, j'avais lu « La dame de Reykjavik » de Ragnar Jonasson. J'avoue que la sauce n'avait pris. Une inspectrice, dans l'angoisse du départ à la retraite, veut à tout prix résoudre une enquête avant de partir, alors que son chef de service lui a fait comprendre qu'elle pouvait prendre des vacances avant son départ, pour laisser la place à son jeune successeur qui a besoin de son bureau.
Beaucoup d'allusions à sa vie personnelle antérieure me paraissaient compliquer la compréhension de l'intrigue policière. Je pense que je n'étais-pas vraiment réceptive à ce moment-là. Et j'ai oublié cette lecture.
La semaine dernière, en librairie, la couverture d'un ouvrage en tête de gondole m'a attirée : il s'agissait de « l'île au. Secret » du même auteur. Je ne savais pas que c'était la suite de « La dame de Reykjavik ». Mais c'est une suite qui se déroule quinze ans avant le 1er tome.
Et voilà, j'étais accrochée dès la première page et j'ai lu l'intégralité en une journée. Tellement accro que je voulais lire tout de suite le dernier tome « La dernière tempête » paru en février de cette année et je l'ai commandé en ebook pour ne pas avoir à attendre.
Ce dernier tome, développe une enquête qui se déroule dix ans avant « L'île au secret » soit 25 ans avant le 1er tome.
Les enquêtes sont passionnantes et le lien dans cette trilogie est l'inspectrice Hulda Hermannsdottir que l'on suit dans les différentes étapes de sa vie, mais en partant de la fin de sa carrière pour remonter à ses débuts, ce qui est assez déroutant.
Du coup, j'ai réemprunté le 1er volet (la dame de Reykjavik) que je viens de relire à la lumière des deux autres. Je l'ai cette fois vraiment découvert et apprécié.
Mon commentaire ne résume aucune des histoires de ces trois romans, mais je conseille à tous les fans de polar de les découvrir, peut-être en les lisant à l'inverse de leur parution !

J'aime beaucoup Ragnar Jonasson et sa série Ari Thor, j'étais donc impatiente de faire connaissance avec Hulda, cette enquêtrice solitaire de soixante-quatre ans. Elle qui a consacré sa vie à son métier se retrouve poussée vers la sortie et contrainte de prendre sa retraite un peu plus tôt que prévu. Elle ne vit pas très bien ce départ prématuré et négocie quelques jours supplémentaires qu'elle veut mettre à profit pour élucider la mort mystérieuse d'une jeune demandeuse d'asile russe, enquête classée non résolue. Mais ses investigations vont se révéler bien plus surprenantes et dangereuses que prévue.

Bon, ça se confirme, j'aime les polars nordiques. L'ambiance, les paysages, le climat, tout m'attire.
J'ai trouvé le personnage d'Hulda très atypique et attachant. Vous conviendrez qu'un personnage principal qui part à la retraite, c'est peu banal et ça ne laisse pas présager d'une enquête très palpitante. Certes, le rythme est lent, mais c'est le cas dans tous les polars nordiques, et celui-ci ne déroge pas à la règle. En revanche, l'intrique est bien ficelée et j'ai été tenue en haleine par les investigations d'Hulda qui fait preuve d'une grande perspicacité. La fin, quant à elle, est tellement surprenante qu'elle m'a laissée sans voix !
Lien : https://livrite.fr/la-dame-d..

Non mais cette fin..! Elle met une de ces claques !
Je ne suis pas une grande lectrice de polar, mais j'ai trouvé celui-ci particulièrement agréable à lire, bien que plutôt sombre. le texte est bien écrit, la protagoniste est attachante, on prend plaisir à la suivre et on s'identifie facilement à elle. L'enquête est bien ficelée, le récit est parsemé de petits détails, de petits indices imperceptibles, mais que l'on pourrait remarquer peut-être plus facilement au cours d'une relecture.
Mais la chute, elle, était complètement inattendue, j'en suis restée scotchée, je ne l'avais vraiment pas vu venir ! Ce final est incroyable, fort en révélations et en émotions.
En bref, c'est un polar que je recommanderai vivement de lire autour de moi !

J'aime bien les thrillers écrits par des auteurs nordiques. C'est donc assez naturellement que j'ai été attirée par ce livre d'un auteur islandais. Je n'avais pas encore lu de thriller se passant en Islande, c'est chose faite.
J'ai suivi Hulda Hermannsdottir dans ses derniers jours en tant qu'enquêtrice de la police de Reykjavik, car elle a été plus ou moins été poussée à prendre sa retraite par ses supérieurs. C'est vrai qu'à soixante-quatre ans, et encore plus quand on est une femme certains pensent qu'on ne peut plus donner grand-chose à son métier.
Hulda vit assez mal la situation, d'autant qu'elle a toujours été compétente et consciencieuse dans son travail. Et encore plus sachant qu'elle n'a plus de famille avec qui elle pourrait profiter de sa nouvelle vie.
Comme dernière faveur, son patron l'autorise à enquêter sur une affaire qui n'avait pas été résolue.
Hulda va ainsi mettre un point d'honneur à trouver le fin mot de l'histoire d'une jeune russe réfugiée en Islande, Elena.
J'ai beaucoup aimé ce personnage d'Hulda. Elle m'a fait l'effet d'être une personne assez banale au fond, seule par la force des choses, mais qui a une vraie force en elle, qui aime son travail, qui aime les gens, et qui fait tout ce qu'elle peut pour faire bien les choses. C'est quelqu'un d'assez normal à qui on peut s'identifier, peut-être pas totalement mais au moins en partie, ce qui fait qu'on ressent beaucoup d'empathie pour ce personnage.
L'action du livre se passe sur un laps de temps assez court, vu que l'on ne va la suivre que sur quelques jours. J'ai trouvé que le rythme de l'histoire était bien mené, et vu le laps de temps qui lui était accordé, Hulda a su bien gérer son temps.
Par contre plus j'arrivais vers la fin du livre, plus j'avais envie que le temps ralentisse, j'avais envie de profiter encore un peu de la présence d'Hulda.
J'ai donc été vraiment surprise de la fin, je n'avais pas vu venir le dénouement tel que l'auteur l'a imaginé. C'est à la fois déconcertant et satisfaisant. Sans donner de détail, je dirais juste que cette fin permet à l'auteur de jouer avec son lecteur et ses sentiments. Et, si quelqu'un comprend ce que je veux dire, il y a des fins et des sensations que l'on ressent à la fin d'une histoire qu'on aime bien ne pas totalement aimer. Et ça ne veut pas dire qu'on n'a pas aimé le livre !

A 64 ans, Hulda est une enquêtrice hors pair de Reykjavik. Cependant, sa direction lui fait gentiment comprendre que l'heure de la pension a sonné. Toutes ses affaires sont distribuées et, en attendant le départ, elle peut piocher une affaire dans celles non résolues. La retraite lui fait peur, elle se jette corps et âme dans l'enquête sur la mort d'Elena, une jeune réfugiée russe. La première enquête a conclu à un suicide mais Hulda n'est pas convaincue.

Je commence mes lectures du prix du Meilleur Polar avec ce livre qui, je vous l'avoue été déjà dans ma PAL. J'en profite également pour découvrir cet auteur.

L'enquête d'Hulda se passe en 3 jours. L'histoire d'Hulda se mélange à son enquête. Je dirai même que le récit d'Hulda prend le dessus sur le reste.
Je m'attache à cette enquêtrice, au coeur fragile et la vie sinueuse. Elle est touchante et admirable.

L'écriture est fluide et rythmée et les chapitres sont courts.
J'ai lu ce polar d'une traite et l'intrigue me plaît énormément. Par contre, je suis un peu plus septique sur les dernières pages et je préfère m'imaginer que la fin est ouverte...

J'ai passé un très bon moment dans les paysages islandais, je vous recommande cette lecture.

Lien : https://livresquement-djusti..

La dame de Reykjavik est le premier tome de la saga du même nom de Ragnar Jonasson. Je vous ai parlé du second – L'île au secret -, la semaine dernière. Et, honnêtement, j'aurais été plus inspirée de les lire dans l'ordre. Même si ce premier tome se déroule 20 ans après le second, toutes les clefs du personnage d'Hulda y sont données. Elles rendent la lecture plus savoureuse, plus humaine. Puis, soyons aussi réaliste, il est très bien ficelé. Les digressions incompréhensibles que je reprochais à l'île au secret sont absentes ici. L'histoire est uniforme dans le temps, Hulda très attachante et la fin originale. À découvrir.
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