Quand il dominait l'Europe, Napoléon était honni des Canadiens, comme on appelait alors les Québécois. Il était l'héritier qui avait assassiné le roi et des prêtres, emprisonné le pape. Mais rapidement, il est devenu une idole de la résistance au monde anglo-saxon. Dans un livre paru l'automne dernier, le sénateur Serge Joyal explique l'importance parfois méconnue qu'a eue l'Aigle au Québec.
Lire la critique sur le site : LaPresse