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Divinity tome 1 sur 3
EAN : 9782375780497
128 pages
Bliss comics Editions (09/06/2016)
3.48/5   22 notes
Résumé :
UN NOUVEAU DIEU APPARAÎT SUR TERRE. ET CE DIEU EST COMMUNISTE. En pleine guerre froide, l'Union soviétique donne son feu vert à une expédition spatiale extrêmement dangereuse : envoyer un homme aux confins du cosmos, là où jamais personne n'est encore allé. Tout au bout de son voyage interstellaire, Abram Adams rencontre l'indicible. De retour sur Terre, il s'écrase dans le désert australien. Les quelques humains qui le rejoignent le considèrent comme un dieu; une d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Le César de la meilleure couverture du moment, faite pour vous faire acheter un comics, est attribué à la mini-série Divinity !

Après avoir relancé l'univers Valiant avec la mini-série The Valiant, puis de nouvelles séries comme Bloodshot Reborn ou d'anciennes séries jamais publiées comme Quantum & Woody, Bliss Comics s'attache désormais à développer l'offre de comics de super-héros proposée par Valiant Comics, et notamment par les mini-séries événements comme ce Divinity, qui peut se lire absolument indépendamment.
Au scénario, Matt Kindt livre une histoire relativement simple : un jeune homme adopté est recruté par les services secrets soviétiques pour faire partie d'un programme spatial d'envergure. Quittant femme, enfant et nation, il embarque à bord d'une navette à destination d'un autre bout de l'univers. Toutefois, Divinity s'intéresse avant tout à son retour sur Terre ; en effet, alors qu'il partait dans l'inconnu, il fait sa réapparition sur notre planète une quarantaine d'années plus tard avec, qui plus est, des capacités tout simplement divines. Que peut-on attendre alors d'un simple humain qui a traversé l'univers et en est revenu avec des pouvoirs infinis le rendant digne d'être considéré comme une divinité ? le problème se pose quand l'équipe Unity vient contrôler la bonne tenue de ce personnage aux pouvoirs incommensurables ; chacun des membres de l'équipe de surveillance de la Terre va devoir affronter ses peurs et ses rêves.
Néanmoins, ce beau pitch réserve quelques surprises, plus ou moins bien prises selon les lecteurs. Cette histoire propose en effet une intrigue avec beaucoup d'ellipses, de récits croisés et surtout des narrateurs qui semblent parfois différents sans qu'aucune mention explicite ou qu'aucun jeu graphique particulier ne vienne nous l'exprimer pour être sûr. de même, on pourra trouver la résolution choisie plutôt rapide, comme si elle était remise à plus tard : le pitch résumé en disant qu'un nouveau dieu vient d'arriver et qu'il est communiste est particulièrement accrocheur, on nous dit en plus que le tout ressemble à Interstellar, eh bien non ! Certes, c'est l'histoire d'un aller-retour dans l'espace (avec aussi un décalage temporel) qui nous est dévoilée au compte-gouttes, exprès d'ailleurs alors ça passe, mais surtout on attend encore de voir les conséquences de ses nouveaux pouvoirs : Divinity permet à chacun de voir son bonheur se réaliser, mais il n'y aura aucune autre vision communiste dans son action ? À voir alors dans la deuxième mini-série sur ce personnage désormais bien intégré dans la continuité de l'univers Valiant, à voir aussi avec les circonstances dévoilées de l'origine de Divinity, car on en attend davantage de ce côté-ci.
Pour compenser ces détails scénaristiques, il faut noter que Divinity est un comics aux couleurs très vives, respirant la joie et le bonheur. Au dessin, Trevor Hairsine a travaillé en collaboration avec Ryan Wynn à l'encrage et David Baron à la colorisation. Pour exprimer le pouvoir bénéfique de Divinity, Trevor Hairsine a construit ses planches sur la symbolique du cercle, qui est constamment présent. Son gros travail graphique sur l'architecture des cases et sur les émotions des personnages, et en premier lieu de cette entité nommée Divinity, est d'ailleurs bien mis en valeur avec les bonus proposés par la rédaction éditoriale de Bliss Comics.

Cette mini-série n'est donc pas parfaite sur un personnage aux possibilités innombrables qui a bien mérité d'être intégré dans cet univers Valiant, mais qui surtout aura droit à une autre mini-série (en 2016 en VO, donc en 2017 en VF ?) ; celle-ci, espérons-le, lèvera les doutes éparses soulevés ici.

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Ce tome est le premier d'une nouvelle série se déroulant dans l''univers partagé de l'éditeur de comics Valiant. Il comprend les épisodes 1 à 4, initialement parus en 2015, écrits par Matt Kindt, dessinés par Trevor Hairsine, encrés par Ryan Winn, avec une mise en couleurs de David Baron. Les couvertures ont été réalisées par Jelena Kevic-Djurdjevic. Il n'est pas besoin d'être familier de l'univers partagé Valiant pour apprécier ce récit. Il comprend également 4 pages de croquis de concept, exécutées par Matt Kindt, ainsi que 12 pages à différents stades d'exécution (crayonné, encrage, couleurs) commentées par David Baron.

Le récit est accompagné par les observations, les remarques ou les informations biographiques d'un narrateur (David Camp) qui n'est pas omniscient, mais qui dispose d'un point de vue dans le futur. Son identité apparaît dans le quatrième épisode. L'histoire raconte la vie d'Abram Adams, un homme de couleur, né en 1941 en URSS. Au vu de ses excellents résultats scolaires et de sa condition physique, il est intégré dans un programme spatial.

Abram Adams est choisi pour être envoyé dans l'espace dans un programme secret. Il s'agit pour les soviétiques de damer le pion aux États-Unis, en envoyant une fusée aux confins de l'espace alors qu'ils n'en sont qu'à essayer de marcher sur la Lune. Néanmoins pour ne pas risquer le ridicule, ce lancement effectué en 1960 est gardé secret. Abram Adams laisse derrière Eva qui attend un enfant de lui. Il espère être de retour dans 30 ans. Il revient avec des capacités inattendues.

En 2012, l'éditeur Valiant Comics fait un retour, après avoir arrêté de publier des comics plusieurs années durant. Il décide de relancer à zéro les personnages dont il détient la propriété intellectuelle. En 1992, il avait lancé plusieurs séries dont Harbinger, X-O Manowar, Rai, et Shadowman. 20 ans plus tard, le lecteur découvre les nouvelles versions de ces personnages, avec curiosité (surtout s'il ne les connaissait pas), ou avec plus ou moins de réticence s'il avait apprécié les versions initiales. En quelques années l'univers Valiant s'est étoffé, et cette nouvelle série marque l'introduction d'un personnage original qui n'existait pas dans l'itération des années 1990.

L'identité du scénariste met plutôt le lecteur en confiance a priori, car il a réalisé de nombreux récits sortant de l'ordinaire : Pistolwhip, Red Handed: The fine art of strange crimes, ou encore 3 story: The secret history of the giant man, Mind MGMT. de fait, le lecteur découvre l'histoire, sans pouvoir déterminer de quoi il retourne. le premier degré est simple : le retour de ce cosmonaute qui atterrit dans le bush australien, avec des retours en arrière pour découvrir les conditions de son voyage spatial.

À la fin du deuxième épisode, il s'établit une connexion avec l'univers partagé Valiant, sous la forme de l'intervention de l'équipe de superhéros Unity, composée de X-O Manowar (Aric Dacia), Ninjak, Livewire (Amanda Mckee) et Eternal Warrior (Gilad Anni-Padda). Néanmoins l'intrigue ne se transforme pas en un récit de superhéros, et l'enjeu reste de savoir ce qu'il va advenir d'Abram Adams. Il est bien sûr hors de question d'en dévoiler plus sur l'intrigue puisqu'elle constitue tout le sel de cette lecture, aiguisant l'envie du lecteur d'anticiper pour partie la suite, sans y parvenir.

Matt Kindt a conçu une histoire qui laisse le lecteur dans l'expectative, sans savoir de quoi la prochaine séquence sera faite. Il génère ainsi une véritable curiosité ludique chez lui. Certes Abram Adams dispose de ce que l'on peut qualifier de superpouvoirs, mais il ne les utilise ni pour faire le bien, ni pour faire le mal; il échappe à ce clivage basique. Il n'arbore pas un costume moulant aux couleurs voyantes. Bref, ce n'est pas un superhéros et cette histoire s'inscrit plus dans le genre anticipation ou science-fiction.

L'arrivée des membres d'Unity ramène une composante superhéroïque. Mais il s'agit de superhéros encore relativement neufs, et ils constituent surtout une équipe d'intervention du gouvernement, composée d'individus aux capacités extraordinaires, mais là encore avec une position morale ambigüe. Et puis, ce n'est pas leur histoire. Finalement Matt Kindt raconte le retour d'un cosmonaute parti au fin fond de l'espace et qui redécouvre une partie de l'humanité avec un point de vue radicalement altéré, qui n'exclut pas une forme conflictuelle. Il insère un discret métacommentaire, sous la forme du pouvoir d'Abram Adams qui peut défiler le temps, comme on tourne les pages d'un livre, ou d'un comics. L'histoire apporte une résolution satisfaisante à ce premier chapitre. La dernière page (après les sketchs de Kindt et les explications du metteur en couleurs) indique qu'un deuxième chapitre est en préparation.

Trevor Hairsine réalise des dessins qui s'inscrivent dans une approche naturaliste et descriptive, avec un degré de simplification. Dans le premier épisode (et le temps d'une poignée de pages dans le deuxième), il doit représenter des décors que l'on suppose être moscovites. Il montre bien des rues et des aménagements intérieurs, mais seules les cellules de texte du biographe David Camp permettent de savoir que ces scènes se déroulent en Union Soviétique. Par contre, les meubles et les accessoires disposent de juste assez de détails pour que le lecteur puisse constater que l'action ne se déroule pas de nos jours, même si là encore les cellules de texte apportent les éléments concrets.

Tout au long du récit, le lecteur hésite donc entre la satisfaction de voir le dessinateur faire l'effort de s'attacher à représenter l'environnement, même quand il s'agit d'une zone désertique, et la frustration que les visuels restent à un niveau trop générique. David Byron réalise un travail remarquable de mise en couleurs, ajoutant de manière discrète des textures, au sol ou à au feuillage des arbres. Ainsi les dessins gagnent en substance pour devenir plus ancrés dans le concret. de manière tout aussi discrète, il joue sur les nuances, là encore tout en retenue, pour légèrement accentuer l'impression de volume des surfaces. Les 12 pages commentées par ses soins en fin d'ouvrage donnent un aperçu très intéressant sur sa façon de concevoir la mise en couleurs.

Trevor Hairsine a réalisé un travail de conception graphique pour les personnages, qui permet au lecteur de facilement les mémoriser, et de les identifier au premier coup d'oeil. Les expressions des visages transcrivent bien les émotions, sans être très nuancées. Ce dessinateur révèle ses capacités lors des séquences plus conceptuelles du scénario. Matt Kindt a prévu qu'Abram Adams se trouve confronté à quelque chose au fin fond de l'espace (il faut bien qu'il acquiert ses capacités exceptionnelle d'une manière ou d'une autre). Facile à écrire pour le scénariste, beaucoup plus difficile à rendre visuel, sans tomber dans un cliché, ou dans des dessins creux. Trevor Hairsine s'en sort très bien avec une mise en scène intelligente qui laisse planer le mystère, et une mise en couleurs complémentaires, tout aussi en sous-entendus.

Dans l'épisode 3, le dessinateur doit à nouveau mettre en scène une séquence conceptuelle, dans laquelle les membres d'Unity se retrouve chacun coincé dans une tangente temporelle (la lecture permet de mieux comprendre le concept). À nouveau Hairsine construit un découpage visuel qui hisse le récit au-dessus des poncifs habituels pour donner à voir ce qui se passe, de manière originale, compréhensible et convaincante.

Dans l'épisode 2, il doit aussi faire comprendre de manière visuelle comment Abram Adams peut suivre les événements se déroulant sur Terre, pendant son isolation dans l'espace. La narration de Kindt s'avère un peu basique, demandant au lecteur d'accepter ce dispositif comme ça, sans chercher à discuter. Même l'adresse picturale de Trevor Hairsine n'arrive pas à récupérer cette gaucherie.

En 2012, l'éditeur Valiant a décidé de remettre sur rail ses propriétés intellectuelles, en redémarrant son univers à zéro, et en retraçant des chemins déjà parcourus 20 ans avant, avec une réussite plus ou moins louable. En 3 ans, es responsables éditoriaux ont prouvé leur compétence professionnelle, en reconstruisant un univers cohérent, et en proposant une alternative aux superhéros Marvel et DC, avec des personnages plus neufs, et originaux (pas de simples déclinaisons plus ou moins inspirées de ceux de la concurrence). Avec ce premier tome, Matt Kindt, Trevor Hairsine, Ryan Winn et David Baron profitent de la taille raisonnable de cet univers partagé pour y raconter une histoire imprévisible, très intrigante, bien intégrée à l'univers Valiant, qui peut se lire s'en rien en connaître. le lecteur se délecte de cette intrigue au goût inusité. Il constate que la partie graphique présente des dehors quelconques, mais recèle une intelligence narrative visuelle très impressionnante. 5 étoiles pour un dépaysement réussi. Les lecteurs des comics Valiant des années 1990 ressentiront une petite bouffée de nostalgie lorsqu'un des personnages indique que le temps n'est pas absolu (le slogan du crossover Unity de 1992).
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Un des premiers albums publiés par Bliss comics, Divinity comprend 3 tomes de 4 parties et des couvertures parmi les plus somptueuses que j'ai vu depuis que je lis des comics... le tome 1 comprend de nombreux suppléments en fin de volume dont une galerie de couvertures alternatives, un long (et tout à fait passionnant) commentaires de fabrication détaillant le rôle de l'illustrateur, de l'encreur, du coloriste et du lettreur dans un travail vraiment collectif comme on en voit peu en France. Enfin, comme toujours chez cet éditeur, un sommaire, une page de contexte de la série et une page de guide de lecture pour placer la série dans l'univers Valiant.

En 1960 les soviétiques envoient dans une fusée secrète un homme vers une destination inconnue, en un voyage qui doit durer trente ans. Il reviendra doté de pouvoirs divins, capable de plier le temps et la matière. Comment va réagir l'humanité face à cette nouvelle entité. Menace? Les héros de la Terre, Aric, Ninjak, Gilad et Livewire sont envoyés pour vérifier cela...

Lorsque j'ai découvert les comics Valiant je suis tombé sur les planches et les couvertures de cette série très spéciale et mes yeux ont pleuré. La puissance évocatrice de ces peintures est tout bonnement fabuleuse et fort heureusement ne se limite pas aux couvertures (contrairement à une pratique malheureusement fréquente dans l'industrie du comics). L'illustrateur Trevor Hairsine produit sur l'ensemble des pages de la série une partition sans faute et il est saisissant de voir (grâce aux bonus) une BD où aucun des apports (encrages et couleur) ne dénature le dessin d'origine. Une véritable alchimie aboutissant sans doute à la série la plus belle du catalogue Valiant. La maîtrise technique de l'illustrateur est sans faute, le découpage des pages et des cases est exigeant et inspiré par des thématiques graphiques issues du scénario (les formes de Divinity et de son module spatial), enfin le design général inspiré des costumes spatiaux de la guerre froide est très original. le travail graphique sur le passage du temps (thème central de l'album) accompagne vraiment la lecture et la renforce. Les auteurs de comics sont souvent ambitieux, au risque d'être compliqués, ici le scénario et le dessin (et sa structure) se répondent de façon vraiment réussie.

Le scénario, donc, est complexe dans une intrigue simple, résumée en début d'article. C'est donc bien le traitement qui fait sa force avec ces pouvoirs quasi absolus de Divinity, dont l'arrivée sur Terre reprends la thématique de Superman (comment réagir face à un être tout puissant susceptible de détruire l'humanité si l'envie le prenait?) en la prolongeant. Car en outre d'être a priori invincible, le personnage contrôle le temps et la matière en proposant de rendre les gens meilleurs, si nécessaire en faisant revenir les morts ou en métamorphosant êtres et objets. Comment déterminer ses motivations et comment réagir face à ce qui peut changer le cours de l'humanité? Fidèles à eux-même les dirigeants humains vont être très terre à terre et craintifs en envoyant les héros de l'univers Valiant (tiens, Bloodshot n'est pas là, pourquoi?). L'introduction de ces personnages familiers est sympathique même si aussi anecdotique que dans The Valiant où face à l'Ennemi leurs pouvoirs apparaissent dérisoires.

La difficulté réside dans une narration en voix off tantôt au passé tantôt au futur, nous faisant comprendre que Abram Adams, celui qui deviendra Divinity est à la fois maintenant, avant et après. C'est déroutant en même temps que très stimulant en illustrant l'état dans lequel il est et la difficulté à saisir le monde quand la trame temporelle est devenue non linéaire. Cela peut nécessiter une seconde lecture pour bien saisir toutes les subtilités. L'auteur a l'intelligence d'apporter à cette histoire SF un peu philosophique des concepts archétypaux comme la filiation et l'amour de celle qui a été laissée (comme pour Captain America, revenant alors que tous ses proches sont morts). Cela renforce le côté dramatique et l'intérêt pour ce type touchant qui a abandonné l'amour pour la patrie et l'inconnu et se retrouve incapable de rattraper le temps malgré ses pouvoirs.

Ce premier tome est donc un sans faute qui laisse en suspens l'intrigue et donne très envie d'enchaîner.
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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J'ai bien aimé le début de ce récit mais peu à peu, mon intérêt s'est totalement désintégré. le récit devenait sans doute trop métaphysique en ce qui me concerne. Bref, une bonne idée mais mal exploitée par la suite. le dessin est très correct : il n'y a rien à redire là-dessus. Idem pour une couverture assez bien réalisée.

On sent une série très ambitieuse. La narration est omniprésente et essaye de nous faire décoller dans l'espace. Cependant, et comme dit, cela n'a pas prit avec moi. Vous pouvez toutefois essayé cette lecture surtout si vous êtes des habitués de l'univers comics de Valiant. Vous y croiserez d'ailleurs certaines figures marquantes comme Ninjak ou X-O Manowar.
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Entre A god somewhere et Red Son, un titre certes prometteur et ambitieux mais qui ne parvient pas à captiver avec son récit déconstruit multipliant les points de vue et déshumanisant les personnages. L'émotion est constamment voilée par les artifices d'un découpage temporel morcelant l'intrigue en autant de petits morceaux sans consistance. L'intrication d'autres personnages de l'univers Valiant est cohérente mais fait beaucoup perdre en créativité (une équipe de super-héros chargée d'appréhender un super-être, c'est déjà vu, et en mieux). Intriguant.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
La date et l'heure n'ont pas d'importance. C'est comme une page qu'on corne avant de la tourner, afin d'y revenir quand l'humeur s'y prête. Le passage préféré d'un livre qu'on relit quand le temps a émoussé la mémoire. Un souvenir semblable au chapelet d'une vieille femme... lisse et poli par l'usure.
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Il ne veut de mal à personne. Il ne fait que rendre les choses meilleures. Il a le pouvoir de mettre fin à la guerre et de rendre nos vies parfaites.
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Il y a une divinité horrible, tragique, exécrable, païenne.
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Vidéo de Matt Kindt
La conclusion de la saga épique de l'immortel B., créée par Keanu Reeves, co-scénarisée par Matt Kindt (Folklords, Grass Kings) et dessinée par Ron Garney (Wolverine, Captain America), bientôt adaptée sur Netflix. Dans cet ultime tome de la trilogie, les anciens mystères sur les origines de notre anti-héros et son destin final sont dévoilés ! Alors que la fureur de B. se déchaîne, une nouvelle découverte promet d'apporter les réponses qu'il cherche depuis des siècles. Mais alors que l'équipe voyage pour enfin comprendre les mystères de la naissance de B., va-t-il atteindre son objectif, ou tous ses efforts auront-ils été vains ?
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