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Black Science tome 1 sur 9
EAN : 9782365775915
176 pages
Urban Comics Editions (13/02/2015)
3.68/5   53 notes
Résumé :
Présentation de l'éditeur

Grant McKay, fondateur de la Ligue Anarchiste Scientifique, a accompli l'impensable en créant le PilierGrant McKay, fondateur de la Ligue Anarchiste Scientifique, a accompli l'impensable en créant le Pilier, un artefact capable de plier les arcanes de la Science Interdite à sa volonté et offrant à l'humanité la possibilité de voyager à travers les dimensions. Seul problème : un incident technique est venu perturber la premièr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre. Il comprend les épisodes 1 à 6, initialement parus en 2013/2014, écrits par Rick Remender, dessinés et encrés par Matteo Scalera, avec une mise en couleurs réalisée par Dean White. Il comprend également les couvertures originales de Scalera & White, ainsi que les couvertures variantes réalisées par Andrew Robinson, Toby Cypress, Rafael Albuquerque, Greg Tocchini, Paul Renaud, Matteo Scalera, Robbi Rodriguez, ainsi que 6 pages d'études graphiques de Scalera. Cette série fait partie des 3 séries indépendantes lancées par ce scénariste en 2013/2014 : Low (avec Greg Tocchini) et Deadly Class (avec Wesley Graig & Lee Loughridge). Ce tome s'ouvre avec une introduction de 2 pages, rédigée par James Robinson et évoquant les qualités d'écriture de Rick Remender, et le plaisir de lecture de cette série.

Sur une planète non nommée, 2 individus en combinaison mi-spatiale mi-armure courent pour échapper à leurs poursuivants, des hybrides humain/poisson montés sur anguilles géantes. Dans le même temps, le flux de pensée de Grant McKay évoque la mesure de son échec, tous les choix qu'il aurait pu faire créant autant de dimensions alternatives où il n'aurait pas abandonné son épouse Sara, où il l'aurait aidée à élever leurs enfants (Nathan & Pia). Grant McKay et Jennifer se trouvent acculés au bord d'un précipice. Ils se tournent pour faire face à leurs assaillants. McKay constate qu'il ne leur reste qu'à sauter même s'ils n'ont quasiment aucune chance de survivre à la chute, quand Jennifer est tuée net par un projectile traversant son crâne. Il saute, et se heurte à la paroi mais arrive vivant au sol, bien que blessé à l'épaule gauche. Il se trouve au pied d'une pyramide à degré, avec une créature sur une anguille géante devant lui. Bientôt rattrapé par d'autres poursuivants, il plonge dans l'eau. Il émerge devant une énorme créature grenouille dotée de conscience. Il se souvient de son entrée dans la Ligue Anarchiste Scientifique et de son mariage, de toutes les règles qu'il a refusé de suivre, qu'il a sciemment bafouées, car il est un anarchiste.

Grant McKay finit par aboutir à une pièce centrale dont les issues mènent au temple situé au sommet de la pyramide à degré. Malgré sa vie dédiée à trouver des solutions non-violentes, il fonce dans le tas car il s'agit pour lui d'une question de survie. Il finit par déboucher dans une salle de banquet où des créatures grenouilles font danser une créature poisson sur la table et la tourmente en l'aiguillonnant de décharges électriques. Contre ce que lui dicte son instinct de survie, Grant McKay intervient pour secourir la danseuse et l'emmener. Il continue sa fuite en avant et arrive devant d'autres créatures poissons qui le laissent passer, et prennent soin de la danseuse. McKay rejoint enfin les autres membres de son équipe : Kadir (responsable financier du projet Pilier), Pia & Nathan (ses 2 enfants), Rebecca (autre scientifique du projet Pilier), Chandra (adjointe de Kadir), Shawn (chercheur assistant du projet Pilier) et Ward (responsable de la sécurité du projet Pilier). Il leur apprend la mort de Jennifer. Ils lui indiquent que les contrôles du Pilier ont été sabotés et que le prochain saut va bientôt avoir lieu.

Dans son introduction, James Robinson fait observer que ce début de série fait penser à Fear Agent du même Rick Remender, mais avec les compétences de raconteur acquises et développées depuis 2005. Effectivement, le lecteur retrouve un personnage principal qui est un homme blanc et hétérosexuel, et qui trouve le moyen d'impliquer ses enfants dans ses tribulations par un concours de circonstances un peu gros. Effectivement il est également question de Terre alternatives et il y a de nombreuses scènes d'action spectaculaires. le lecteur découvre l'histoire personnelle des protagonistes au fil des péripéties. Matteo Scalera est un très bon dessinateur, avec un sens impressionnant du spectaculaire et doué pour la conception des éléments de science-fiction. Mais est-il vraiment possible de réduire le premier tome de cette nouvelle série à une simple impression de déjà-vu dans la première série marquante de l'auteur ?

Pour commencer, Matteo Scalera n'est pas Tony Moore et cela change la tonalité de la narration. Les dessins de Scalera ne présentent pas cette saveur second degré de ceux de Moore, cette forme de moquerie, d'autodérision assumée, de dévalorisation. Il y a bien une forme d'humour dans la façon dont les expressions de visage sont appuyées : les personnages donnent parfois l'impression d'être des acteurs totalement emportés par leurs émotions, surjouant un chouia, que ce soit dans l'ampleur des gestes ou avec le visage. Cette forme de dramatisation traduit bien des sentiments exacerbés soit par des années sans rien dire, passées à supporter le comportement énervant de Grant McKay, soit par des passions, ou des poussées d'adrénaline lors de situations de danger qui sont souvent des situations de vie ou de mort. le lecteur observe donc des protagonistes très impliqués dans leur situation, mus par de fortes convictions, des émotions générées par le stress ou la passion. Il en devient impossible de se détacher du tourment intérieur de Grant McKay qui voit tout ce pour quoi il a oeuvré se disloquer, mettre en péril sa famille pour qu'il ne reste plus que des cendres, impossible de ne pas admirer le stoïcisme de Ward qui estime qu'il a des choses à prouver, des dettes à payer, ou encore impossible de ne pas sourire devant les accès d'autoritarisme de Kadir nourris par sa position dans l'entreprise et par sa haute estime de lui-même, impossible de résister aux attentions de Chandra pour Kadir dans l'épisode 4, impossible de résister au charme de Rebecca dans le même épisode. Lorsque le récit ralentit un peu, l'artiste se révèle être un bon directeur d'acteur.

Dès la séquence d'ouverture, le lecteur comprend pourquoi Rick Remender a souhaité travailler avec cette équipe artistique : le travail d'orfèvre de Dean White saute aux yeux, au point que le lecteur se demande si ce n'est pas lui qui a dessiné. Il utilise l'infographie avec une maîtrise telle qu'elle en devient transparente, pour ne laisser que le spectaculaire des effets spéciaux parfaitement intégrés aux dessins au point d'en devenir une partie intégrante indissociable. Tout du long du premier épisode, le lecteur se régale de la richesse texturale des images qui semblent avoir été réalisées d'un seul tenant (contours + couleurs). À partir de l'épisode 2, Dean White revient à une mise en couleurs plus classique, tout aussi élégante et sophistiquée, coloriant les surfaces détourées par un trait encré. S'il y prête attention pour les épisodes suivants, le lecteur se rend compte qu'il y a de ci de là des cases encore réalisées par cette complémentarité fusionnelle à l'oeuvre dans le premier épisode.

Matteo Scalera impressionne tout autant par son sens du mouvement dans chaque séquence d'action. Les personnages semblent fendre l'air par leurs gestes vifs. Les séquences d'action (affrontements, course-poursuites, dégringolades) sont toutes construites avec soin : les environnements présentent des caractéristiques spécifiques de volume et de relief, les personnages y évoluent en fonction du relief et des obstacles, les gestes s'enchaînent de manière logique permettant d'établir le déroulement des déplacements, à l'opposé d'une enfilade de poses menaçantes prêtes à l'emploi et sans âme. Il se montre tout aussi investi dans la conception des éléments de science-fiction, et très inventif : la morphologie des races extraterrestres même si elles restent majoritairement anthropoïdes, les combinaisons d'exploration de l'équipe de McKay, les uniformes des amérindiens, les constructions futuristes, les divers véhicules. le lecteur décèle encore quelques influences de Sean Murphy dans la manière de détourer quelques visages ou quelques éléments de décor.

Passé les similitudes de surface avec Fear Agent et la situation peu plausible des enfants accompagnant leur père Grant McKay, le lecteur s'implique dans l'histoire, tout d'abord du fait d'une action trépidante. Il ouvre grand les yeux pour suivre McKay rejoindre le Pilier dans le premier épisode. Il les garde écarquillés pour ne rien perdre de l'environnement des épisodes 2 & 3, etc. Comme à son habitude, Rick Remender sait tirer le meilleur parti des libertés qu'offre le genre de la science-fiction. Ensuite, le lecteur ne peut pas s'empêcher de rechercher les pièces de puzzle pour les assembler et comprendre la nature du projet Pilier, et ce qui lie les différents membres de l'équipe de McKay. Il se rend compte progressivement que chaque personnage devient attachant dès que le scénariste en dit plus sur son histoire personnelle, aucun ne pouvant être cantonné dans une dichotomie bien/mal. Comme souvent dans les histoires de Remender, le personnage principal suscite de l'empathie, mais aussi un jugement de valeur négatif chez le lecteur, et Grant McKay rentre dans cette catégorie. Ce phénomène est renforcé quand il rencontre une autre version de lui-même très désagréable, mais pas si éloigné que ça de lui-même. le lecteur regarde alors différemment les décisions de McKay, son manque de recul quant à leurs conséquences, sa manière d'utiliser les autres pour ses propres fins. L'approfondissement de la découverte du caractère des personnages s'effectue en même temps que l'avancée de l'intrigue, avec des rebondissements qui prennent souvent par surprise.

Ce premier tome happe le lecteur dès la première page et le plonge dans un récit rapide, haut en couleurs, avec des rebondissements renversants, des personnages complexes, et environnements étonnants. le lecteur qui découvre Rick Remender en ressort conquis. le lecteur qui connait Rick Remender voit les similitudes avec Fear Agent, mais aussi les différences et éprouve la conviction en son for intérieur que Rick Remender lui réserve des surprises dont il n'a pas idée, qui vont achever de rendre la série distincte, même si certaines thématiques chères à l'auteur resteront présentes.
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L'infinivers c'est comme une boite de chocolat. On ne sait jamais sur quoi on va tomber.

Rick Remender nous entraine avec Black Science dans un récit haletant, mêlant science-fiction et action. Grant McKay, scientifique anarchiste, comprend la structure de "l'oignon". Oui, il comprend que chaque couche de l'oignon est une infinité de dimensions parallèles et construit, avec sa Ligue Scientifique Anarchiste, le Pilier, une machine capable de faire voyager les "dimensionautes" dans une multitude d'univers parallèles. Hélas, le premier essai ne se passe pas comme prévu et Grant, qui a eu l'idée saugrenue d'emmener ses enfants avec lui et ses compagnons, se retrouve à sauter de dimensions en dimensions, dans l'espoir de rentrer chez lui...

Oui, évidement, on pense à la série TV "Sliders", le concept est le même. Mais Rick Remender bâtit des personnages solides et agrémente la découverte de mondes exotiques d'intrigues familiales et relationnelles, qui amènent de la gravité et des enjeux qui dépassent la simple survie. L'intérêt est donc double et le concept permet toute les fantaisies en matière de création de mondes originaux (perso j'adore celui où des indiens surboostés technologiquement envahissent une Europe dépassée). Il faut reconnaitre aussi à Matteo Scalera, le dessinateur, un sens du rythme et du mouvement remarquable.

Bref, pour ceux qui aiment SF et comics, c'est que du bon. Une série que j'ai bien envie de continuer...
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Grant et son équipe scientifique ont fabriqué le Pilier, une invention qui donne accès aux infinies dimensions parallèles que confère l'univers. Au nom de la science et du progrès, le prototype doit procurer à l'humanité les ressources inépuisables qui lui sont nécessaires, mais ces voyages stellaires ne sont pas sans conséquences. Car qui veut jouer à Dieu, convaincu de pouvoir déjouer les mécanismes du cosmos, doit se tenir prêt à recevoir la sanction. Or Grant est l'archétype du parfait anarchiste, persuadé que le seul maître est celui que l'on se crée. Or l'artefact en question a été saboté et ses défaillances projettent les voyageurs interstellaires dans des mondes extrêmement hostiles. Des mondes dominés par de géants crapauds ou de farouches chamans amérindiens, extraordinaires destructeurs. Alors que le doute et la peur colonisent les esprits, l'instinct de survie s'obstine, pour que les enfants de Grant s'en sortent vivants. Mais si l'impensable est derrière eux, le pire reste à venir.

Le scénario est admirablement servi par les monologues intérieurs, sorte de voix-off individualisée. L'intériorité des personnages est donc révélée, laissant apparaître toute leur humanité. C'est une force pour le récit qui gagne ainsi en profondeur. Les personnages sont donc des hommes somme toute ordinaires, si on omet le fait qu'ils sont perdus aux confins de l'univers. Donner accès à leurs pensées intimes, c'est également brouiller les pistes de l'identité du traitre qui se trouve parmi eux. Ici, pas de gentils héros désincarnés ou de méchants diabolisés, tout est plus complexe et irrémédiablement lié à l'être humain. Ce qui fait de cet opus, un comics de qualité.

Le rythme est quant à lui effréné, les différentes téléportations dimensionnelles sont brèves et intenses ne laissant à la vue, aucun repos possible. le regard est ainsi transporté de toute part, captivé par les camaïeux de roses et de violets qui illuminent de nombreuses planches. La colorisation est d'une beauté à couper le souffle qui fait que l'on s'attarde à admirer chaque recoin de page. L'intrigue est dense mais étonnement limpide car parfaitement menée. Les caractères se dévoilent peu à peu, laissant tout de même la part belle au mystère, notamment celui qui entoure l'identité du saboteur. Les créateurs de Black Science parviennent avec brio à tenir en haleine le lecteur-spectateur du début à la fin, l'emplissant ainsi, du profond désir d'en lire plus.
Lien : http://www.undernierlivre.ne..
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Le Professeur Grant McKay, scientifique pseudo-anarchiste en quête de reconnaissance, a inventé une machine pour voyager entre les dimensions. Accompagnés de ses enfants et de quelques collègues, il se retrouve propulsé dans plusieurs univers, tous plus ou moins dangereux.

Le concept n'est pas sans rappeler celui de la série Sliders, avec le compte à rebours entre les « sauts » qui emmènent les personnages d'une dimension à l'autre. Ici, l'histoire fait des va-et-vient entre les différents moments de l'intrigue, ce qui rend le récit parfois un peu embrouillé. L'avantage est qu'il permet au lecteur d'entrer directement dans le vif du sujet via une scène de course-poursuite échevelée, tout en lui donnant ensuite les informations nécessaires pour comprendre comment les personnages en sont arrivés là. Autre point positif de cette manière de procéder: on ressent la confusion dans laquelle le groupe se trouve.

Les dessins, la mise en page et les couleurs sont très sympas donnent au récit un dynamisme qui renforce le sentiment d'urgence et le chaos dans lequel sont plongés les différents protagonistes et les peuples qu'ils rencontrent.

Les personnages, quant à eux, ne sont pas franchement sympathiques ou attachants; pour certains d'entre eux, c'est carrément le contraire. Il m'a donc manqué un point d'ancrage pour réellement apprécier le récit. Tout au long de l'album, je suis restée extérieure à l'histoire, sauf quand j'avais envie de baffer certains personnages. le pitch en lui-même était fait pour moi; le résultat n'a pas été à la hauteur de mes espérances. Même si je reconnais les qualités scénaristiques et artistiques de l'ensemble, Black Science m'a laissée sur le côté de la route. Je ne lirai pas la suite, mais je vous encourage à vous faire votre propre opinion, ne serait-ce que pour découvrir l'art de Matteo Scalera.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Il y a du bon et du mauvais dans Black Science où une machine permet à des voyageurs de passer d'un univers à l'autre. Mon avis est par conséquent assez mitigé.

Il y a comme une sorte de mélange entre différents univers ce qui fait que la lecture est assez indigeste. La difficulté est qu'il y a également des flash-back comme si ce n'était pas déjà assez suffisant d'autant qu'on est noyé sous un flot d'informations diverses.

Bref, la confusion sera de mise pour la plus grande déception des lecteurs d'autant que les personnages ne sont pas assez distinctifs.
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critiques presse (5)
BullesEtOnomatopees
27 avril 2015
Une histoire hautement recommandable pour les fans de science-fiction qui aiment jubiler des malheurs d’une petite équipe malmenée à travers les dimensions !
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
ActuaBD
12 mars 2015
Évoquant parfois Saga, ou East of West, Black Science s’inscrit dans ce temps de renouveau de la SF dans le comics indépendant.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BulledEncre
02 mars 2015
Matteo Scalera propose de son côté un trait stylisé et dynamique rehaussé et magnifié par la superbe colorisation de Dean White, un réel plaisir pour les yeux.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
BDGest
17 février 2015
C’est extrêmement dynamique, mais tout aussi confus. Il faut tenir jusqu’au deuxième chapitre au cours duquel Rick Remender commence à livrer des informations sur les protagonistes et sur ce qui se joue dans ce maelström initial.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
03 février 2015
Le scénario très enlevé fonctionne très bien, avec un petit côté délicieusement old SF que j'aime beaucoup. Le concept permet aussi d'amener les héros dans des tas de situations sans avoir à passer dix plombes à installer le cadre.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
J'ai bâti ma ligue anarchiste de scientifiques sur la raison et l'empirisme. Aucune tolérance pour l'acceptation aveugle, la motivation financière, l'ego ou les manoeuvres politiciennes. Bâtie sur une règle...il n'y a pas d'autre autorité que la nôtre. Après une vie d'impuissance et de manque d'assurance, la résistance à l'autorité m'a poussé à avoir foi en moi.
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Pour survivre à une guerre, un homme a besoin de se battre pour quelque chose de plus grand que lui. Le futur de ceux auxquels il tient. L'état du monde qu'il laisse derrière lui. Une promesse à honorer.
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On appelle ce modèle « l’oignon ». Des couches et des couches de dimensions parallèles.
Le pilier est un outil qui peut traverser ces couches, nous permettant de voyager dans ces autres mondes.
Chaque couche représente un nombre incalculable de réalités, chacune créée à partir des choix effectués par chaque être vivant de l’univers.
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- C'est seulement après avoir compris ce que signifiait vraiment la réussite que j'ai pris conscience de l'étendue de mon échec.
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Toute vie se paie par un sacrifice ou un autre.
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