Jessie

J'étais entré dans ce livre avec un certains à priori comme les critiques que j'en avais lu étaient assez négatives, au début j'étais tout à fait d'accords avec ce que j'en avais lu, c'est lent ( par exemple on passe 30 pages pour que Jessie réussisse à attraper un verre d'eau notamment...) et l'histoire du début n'était pas très prenante....ce jeu sexuel qui tourne mal, Jessie se retrouve coincée accrochée au lit et s'en suit un huis-clos assez pénible sur la façon dont elle peut essayer de s'en sortir....Mais l'histoire prends une toute autre tournure par après...

Une double dimension vient s'offrir à nous pour donner de la vie à ce roman, Premièrement comme Jessie se retrouve seule, elle est confrontée à elle même et donc elle nous raconte sa vie qui est largement plus passionnante que ce qui lui arrive actuellement, ce qu'elle a vécu, ses traumatisme et ce qu'elle en à fait et ça c'est très prenant, et la deuxième dimension est la dimension fantastique que le roman prends, je veux pas faire du teasing bon marché, mais malheureusement je ne peux pas dire grand chose de la dimension fantastique du roman car j'en dirais trop sur l'issue du roman et mon but n'est pas de gâcher la lecture à des futurs lecteurs potentiels.

Ce livre reste intéressant, la lecture est assez pesante voir malsaine par moment surtout en ce qui concerne le passé de Jessie.

Au final c'est un roman de King dans la moyenne, je n'ai pas adoré comme j'ai pu adorer le fléau ou ça mais je n'ai pas trouvé cela nul comme un Dreamcatcher ou la fille qui aimait Tom Gordon.

Un livre sympa dans la moyenne, je le réserverais plus aux fans du King qu'aux lecteurs qui lisent un Stephen King de temps en temps quand il est très bon.

Les problèmes d'enfance sont les plus importants à ce que j'ai cru comprendre. Pauvre Jessie! Un week end horrible et des souvenirs à foison qui ne peuvent ^pas lui remonter le moral.

Jessie finit par se lasser des jeux que son mari lui impose. Alors qu'il vient de la menotter, elle lui demande de s'arrêter là. Celui-ci fait la sourde oreille, et Jessie finit par le repousser violemment. Il mourra sur le coup.

Jessie se retrouve donc nue, menottée solidement, dans une petite cabane de campagne sans voisins à des kilomètres à la ronde. de vieux souvenirs enfouis dans sa mémoire vont resurgir, des animaux sauvages vont s'approcher attirés par le cadavre, et un étrange personnage va lui rendre visite.

Ce n'est pas le livre le plus effrayant de King, mais il contient quelques scènes qui ne s'oublient pas facilement... (c'est le moins que l'on puisse dire).

Stephen king semble ici prendre plaisir à nous embarquer dans un récit des plus sordides. La précision dont il fait preuve pour nous décrire certaines scènes ne peut laisser indifférent… rien ne nous est épargné : les os qui craquent et éclatent, le sadisme profond, la chair malmenée, violentée parfois arrachée… ce livre ne laisse pas indemne et peut vous retourner l'estomac autant que la cervelle. Car la torture n'est pas uniquement physique pour Jessie… on ressent son impuissance, son désespoir, sa rage... King, le grand féministe, nous invite ici à découvrir la douleur sous presque toutes ses formes. Un huis clos étouffant, toujours aussi bien écrit… mais un brin trop malaisant pour moi !

J'avais vu des avis dithyrambique sur ce livre alors pourquoi pas. Mais je suis passée à côté car je n'ai pas apprécié cette lecture. Pourtant l'histoire était bien partie. C'était long, ennuyeux sauf certains passages. On retrouve cependant la touche de King. L'horreur, l'épouvante.
Jessie se retrouve avec son mari dans leur maisons de campagne . Pour faire plaisir à celui ci , jessie se laisse menotter au lit pour un petit jeu. Une dispute éclate car elle n'est plus d'accord et expédie son mari au tapis . Il ne se relèvera pas . Crise cardiaque.
Comment Jessie va se sortir de la ? Seule, menottée et avec ses voix dans sa tête

C'est le premier huit-clos que je lis et c'est spécial. Il y a quelques passages que j'ai trouvé long mais dans l'ensemble l'angoisse et le suspense sont bien présent. Stephen King a quand même poussé jusqu'à l'horreur à certains moments et notamment la fin. D'ailleurs, totale surprise de ce côté là. Je ne m'attendais pas à cette fin et c'est pas mal. Comme d'habitude c'est bien écrit. C'est un grand écrivain. Il le prouve encore dans ce livre en nous tenant, avec un huit-clos donc pas de dialogues, dans l'angoisse jusqu'à la fin du livre. J'ai apprécié mais ce n'est pas le meilleur que j'ai lu de cet auteur.

J'avais renoué l'année dernière avec Stephen King grâce à son thriller psychologique Joyland que j'avais particulièrement apprécie parce qu'il
se renouvelait avec une écriture sobre. Je poursuis avec Jessie écrit quelques années plus tôt.

Dans cette histoire où l'héroïne isolée se retrouve dans une situation où ne compte que sa survie, on retrouve quelques travers habituels de l'auteur : les voix intérieures, les flashbacks, les peurs enfantines, les images macabres et l'auto-référence subliminale à un autre roman publié la même année.

Un huis clos qui se lit facilement même si le premier quart est plutôt laborieux. L'ouvrage est parasité par des longueurs composées d'éléments d'information qui ne servent qu'à alimenter le récit autour du personnage principal mais n'ont pas d'incidence majeure sur son déroulement.

Je n'ai pas trop aimé ce livre. Il y a des longueurs lorsque Jessie se remémore son passé qui son lourdes à lire. Pour ma part, le livre commence à être intéressant vers les 3/4 de l'histoire lorsqu'elle arrive à se sortir des menottes et qu'il y a enfin un peu d'action .

Bien écrit, mais ce n'est pas ma tasse de thé ce genre d'histoire.

L'idée de départ est vraiment intéressante mais elle aurait dû constituer le prétexte d'une nouvelle. le récit est trop long, dilué et se perd en des spéculations oiseuses et dans des digressions psychologiques un peu ridicules.