AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,98

sur 2816 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
J'ai pu prendre contact avec moi-même, celui vivant dans les années 80, adolescent alors. Nous avons eu une discussion animée. Ceci en est la retranscription. Si vous voulez savoir comment un tel prodige a pu se produire, demandez les explications à Stephen King, c'est lui le spécialiste en paranormal, pas moi.

– Salut à moi, jeune moi. J'avais besoin de te parler, toi le jeune de 20 ans. Ne t'effraye pas, je suis ton toi de l'année 2020, à plus de trente ans dans ton futur. Je voulais te parler de notre mentor Stephen King.

– Pourquoi je devrais m'effrayer ? Tu es moi, ça me fait pas peur !

– A mon époque, lointaine pour toi, Stephen King vient de sortir son nouveau roman : « L'Institut ».

– Sérieux ? Il écrit encore, alors ? T'imagines pas comme ça me fait plaisir ! Je viens juste de dévorer « Ça », c'est le chef d'oeuvre absolu de la littérature ! « L'Institut », tu dis ? J'aime bien le titre, il fait immédiatement marcher mon imagination.

– Oui, oui, il écrit toujours ! Et il est toujours en forme avec ses 72 ans. Il écrit un à deux livres par an, tu sais. Même qu'il a écrit encore mieux que « Ça » en 2011 (c'est ton propre avis, venu du futur). Une histoire en lien avec le meurtre de Kennedy.

– Mieux que « Ça » ? C'est impossible, ahahah ! Je te crois pas (mais j'ai envie de te croire !).

– Bon, c'est pas la question ! Je venais te parler de son nouveau livre. Une histoire avec des enfants et des jeunes ados, avec des pouvoirs psychiques qui…

– Attends, attends, stop ! T'es en train de me dire que le King des années 2000 et quelques, il raconte toujours les mêmes histoires ? Les ados et les pouvoirs psychiques il écrit dessus depuis le tout début ! T'es vieux maintenant, mais tu te souviens quand même de « Carrie » ou « Charlie », non ? Et « Ça », t'as quand même pas oublié ??

– Tu m'as pas laissé finir ma phrase ! Évidemment que je me souviens du clown, évidemment que je me souviens que je ne suis (tu n'es pas) sorti de ma (ta) chambre avant d'avoir fini ce pavé. Je suis pas encore sénile. Oui, c'est vrai, dit comme ça, on pourrait croire que cette histoire sent le réchauffé. Mais en fait, pas du tout. Tu veux que je te dise ? Ce bouquin est la parfaite fusion du vieux et du jeune King (ou le contraire).

– Hein ? Je comprends rien à ce que tu me racontes…

– Je t'explique : avec le temps et l'âge, le Maître est resté fidèle à lui-même, mais il s'ancre de plus en plus dans la réalité. Tu vois, cette histoire-là rappelle ses premiers amours mais enraciné dans l'atmosphère de mon époque. Je sais, tu vas me dire que si je parle de complot, de conspiration, de tests gouvernementaux secrets (ou non), ça existait déjà à ton époque…

– Ben, ouais, la guerre froide, les tests de la CIA sur les effets du LSD à haute dose, on connaît depuis longtemps !

– Oui, c'est vrai, sauf qu'à mon époque, je peux t'assurer que les choses ont un peu évolué. Les gens croient toujours autant aux complots, peut-être même encore plus. Ça va être compliqué pour toi de l'imaginer, mais l'information circule maintenant tellement facilement et directement que tout devient source de psychose et tout est remis en question. Bon, c'est pas trop la question, mais c'est pour te dire que cette histoire parle peut-être d'ados et de leurs pouvoirs paranormaux, mais elle parle aussi de manipulation de masse à une époque où on ne croit plus en rien et où on croit en tout. Et, crois-moi sur parole (tu n'as pas le choix), « L'Institut » est pour moi l'un de ses meilleurs livres des 10 dernières années. Et c'est pas une surprise que ce soit avec des ingrédients qu'il maîtrise à la perfection. Sauf que c'est pas juste au sujet de nos peurs primaires sur la coup, mais aussi celles de l'Humanité toute entière. Dans cette histoire, il y a ce qu'il sait faire le mieux…

– Laisse-moi deviner ! Des personnages auxquels tu t'attaches au bout d'une page, qui sonnent vrai à te demander si le King n'est pas dans leurs têtes. Des émotions à gogo, pas seulement noires, mais aussi belles et émouvantes, de celles qui te font piquer les yeux. Des dialogues incroyables. Un scénario de dingue. Des directions surprenantes. Et un pur divertissement doublé de réflexions. Et l'amitié !

– C'est bien, mon p'tit moi, je vois que tu maîtrises déjà bien ton King illustré ! Tu as 100 % raison, en Vingt Vingt c'est pareil, avec le recul et l'oeil de l'âge en prime. La fougue et l'imagination de ses vingt ans et le regard lucide et critique sur le monde du haut de ses 70 piges. A mon époque, les monstres ne sont plus des clowns solitaires, mais des clowns industrialisés… Et avec son pouvoir extrasensoriel à son sommet : son empathie. Je suis certain que tu adorerais ce livre en 1988 ! Et tu adoreras en 2020 :-). T'as raison, personne ne parle aussi bien de l'enfance que lui, même quand il parle de jeunes surdoués. Ou alors, justement parce qu'il a un don unique pour parler de la différence. Sa manière d'invoquer des émotions concrètes et des idées abstraites est toujours aussi phénoménale. du fantastique, oui, mais aussi du fond. Avec ce bouquin, impossible de ne pas penser aux camps nazis. Impossible de ne pas penser au parcage des migrants (ça ne te parle pas, ça te parlera un jour…). Et tu causais de l'amitié, t'imagines pas combien elle est le centre de ce livre ! Et rajoute à tout ça une fin qui propose même de quoi bien réfléchir.

– Tu t'emballes quand tu en parles, j'adore ça ! Je constate que l'enthousiasme passe la barrière des années :-).

– Eh oui, t'as tout compris, « L'Institut » est une formidable réussite, une de plus. Je t'envie tellement d'avoir encore à découvrir tant de merveilleux romans de Stephen King ! Tiens, tu sais qu'il écrira un jour une suite à « Shining », 34 ans après ? Et qu'il écrira aussi du pur thriller ? (Ne t'inquiète pas, quand tu te réveilleras demain matin, tu auras oublié tout ça et t'auras l'impression d'avoir rêvé).

– Ahah, tu déconnes !? Je t'ai cru jusqu'à maintenant, mais là t'y vas un peu fort !!

Fin de retranscription.
Lien : https://gruznamur.com/2020/0..
Commenter  J’apprécie          898
Ca faisait un bail que je n'avais pas ouvert un livre de S King. Je me souviens qu'ado, je les dévorais à la chaîne ! Avant un grand arrêt.... Quelques relectures et c'est tout.
Et une envie de me replonger dans son atmosphère. Je me suis régalée ! Plus de 700 pages, 24h de lecture. OK j'étais pas fraîche au boulot ce matin !
.
Aujourd'hui Etats-Unis. Maine évidemment mais aussi la Caroline. Mais surtout le Maine....
Des enfants qui disparaissent. Des enfants particuliers, au talent recherché. Des enfants emprisonnés dans "l'institut". Tout le livre tourne autour du "pourquoi" et nous entraîne dans un schéma totalitaire avec un côté "je veux votre bien même si vous ne le voulez pas quitte à vous l'imposer par la force", schéma qui m'a bien plu.
.
Un moment très plaisant de lecture. Des retrouvailles bien agréables !
Commenter  J’apprécie          579
Cela faisait un petit moment que je n'avais pas lu de S. KIng et j'avoue, ça me manquait un peu.
Un peu effrayée par les 800 pages aussi, finalement j'ouvre le livre en me disant que j'en ai lu de lui qui était beaucoup plus imposant et que ça passait tout seul.
Les 1eres pages vont piano. le 1er personnage est présenté et mis en place dans son environnement. Tout doucement. Vient le 2e personnage important. Et tout d'un coup, tout s'accélère. Je suis happée par le déroulement et je tourne les pages sans même m'en apercevoir. La magie du King a encore frappée.
Je le dis tout cru : Je me suis régalée. Et je suis pleinement satisfaite de cette lecture.
Bon maintenant, je vais quand même lire quelque chose d'un peu plus calme et gentillet. Il faut que je fasse redescendre mes battements cardiaques.
Commenter  J’apprécie          452
Ce que j'ai ressenti:

Bonjour. Vous m'entendez?

Je veille sur une bande de gamins, dans mes nuits. Pas n'importe lesquels de gamins, non. Une bande de gamins aux pouvoirs psychiques. Vous savez bien de quoi je parle si vous avez déjà lu du King. Il en a fait une spécialité depuis des années maintenant, et là, il nous revient en force, et peut être plus ancré encore dans la réalité que dans le fantastique, avec un Institut vraiment pas commun, et qui risque de bousculer sérieusement l'ordre du monde…Stephen King nous raconte, entre rétro et avant-garde, un enfer sans nom, où les enfants sont prisonniers dans un Avant-Arrière effroyable!

Holà? Me escuchas?

J'attends de recevoir leur appel.Je suis prête et déterminée à répondre à leur appel, parce que vous savez comme il est bon d'avoir des amis…Comme des personnages des fois, dépassent le cadre de la fiction, et comme on s'attache à eux. J'attends près du gros Téléfone. J'attends, j'attends, je me concentre pour le prochain synchronisme…Mais en attendant, j'essaye de vous transmettre mes tendres pensées et j'espère que vous serez près de vos téléphones pour entendre cet appel au ralliement: la puissance de la lecture. Parce que tout seul, on n'est rien, et encore une fois, ce livre là, et bien il nous le démontre avec cette histoire d'amitié et d'entraide! Avec ce qu'il faut d'horreur et de perspicacité, avec cette pointe de nostalgie et de mystère, avec ce talent inouï, forcément que l'appel du King a été pour moi une évidence…600 pages de pure évasion…

Ciao! Mi senti? MI SENTI?

Je ne sais pas si vous allez m'entendre, parce que j'ai plein de lumières dans les yeux, une migraine affreuse, des piqûres partout, encore un peu d'eau dans les poumons, et certainement, enfermée comme ça, sans même une fenêtre pour laisser échapper un appel à l'aide, je doute que vous entendrez quelque chose…Mais je décide de ne pas me lamenter sur mon sort malgré les douleurs…Certes, je n'ai pas l'intelligence de Luke ou le super pouvoir de L'avorton, mais je peux enfiler le Manteau de Griffin, et laisser comme une bouteille à la mer, un dernier message désespéré sur la toile, pour combattre avec eux dans la bataille de l'esprit… « LISEZ ce livre! ».

Hoor je me? Hoor je me? Vous m'entendez? Allô, vous m'entendez? Lisez L'Institut! Vous m'entendez? Lisez L'institut! Allô?!


Ma note Plaisir de Lecture 9/10
Lien : https://fairystelphique.word..
Commenter  J’apprécie          401
Après m'être régalée avec 22/11/63, j'ai souhaité retourner dans l'univers de Stephen King et me plonger dans un autre de ses "pavés".
Sur les conseils d'une amie je pousse la porte de l'institut.

La magie opère à nouveau et me voilà happée dès les premières pages, emportée dans un récit ultra addictif, embarquée dans une aventure saisissante.
Un livre que j'ai du mal à lâcher : le maître du suspense porte bien son surnom.

L'institut et 22/11/63 ont un point commun que j'ai vraiment apprécié : la présence au départ d'un élément non rationnel sur lequel l'histoire est construite et qui se laisse oublier au fil de la lecture, ramenant le récit à quelque chose de tout à fait réel.
Dans 22/11/63 la faille spatio-temporelle m'était rapidement sortie de l'esprit, les qualités psychiques irréelles des enfants de l'institut ont suivi le même chemin.
Dans les deux cas, cela m'a permis de savourer une narration réaliste formidablement bien construite et très prenante.
Avec dans L'institut un plus qui décuple les émotions : il est question ici d'enfants, auxquels on ne peut que s'attacher, et dont le sort est particulièrement émouvant.

Comment ne pas compatir à la condition de ces jeunes surdoués très fragiles et utilisés sans vergogne par des adultes prêts à tout ?
Des enfants à qui l'on dit : "Nous menons une guerre et tu as été appelé pour servir ton pays."
Cela excuse-t-il tout ce qu'on leur fait subir ?
Cela justifie-t-il tout ?

Je me suis prise au jeu, et j'ai presque cru, le temps d'une lecture, à l'existence de l'institut.
J'ai vibré, j'ai tremblé et j'ai tourné les pages avec avidité.
Un immense plaisir de lecture !
Commenter  J’apprécie          365
Des enfants enlevés, un Institut...
Ce roman est vraiment mystérieux. Il y a un petit côté Stranger Things pour ceux qui connaissent. Stephen King a ce pouvoir de nous embarquer dans une histoire. Dès les premières pages, on est happés par l'intrigue, on a hâte de connaître le dénouement et on a vraiment beaucoup d'empathie pour ces enfants contrairement à ces hommes et femmes qui travaillent à l'Institut et qui peuvent faire des choses aussi cruelles à des enfants. Pour eux, ils ne sont que des cobayes. Je trouve que Stephen King excelle dans son Art lorsqu'il met en scène des enfants comme il a su si bien le faire par le passé. Pouvoirs psychiques, télépathie, télékinésie, ces enfants particuliers vont-ils mettre à mal l'Institut? Si vous aimez le King, n'hésitez pas une seconde!(...)

Ma page Facebook Au chapitre d'Elodie
Lien : http://auchapitre.canalblog...
Commenter  J’apprécie          360
Je ne vous raconterai rien du dernier roman de Stephen King… Ou alors, pas grand-chose… Ou alors, juste un petit quelque chose pour vous donner envie de l'acheter, si ce n'est pas déjà fait ! Lui et moi, c'est comme une relation de couple : parfois, c'est l'hôtel du cul tourné, parfois c'est love me tender. C'est plus souvent l'un que l'autre, mais c'est vrai qu'on a passé quelques années sans se voir, lui et moi. C'est l'année dernière que l'histoire folle a repris, avec la sortie de « l'outsider ». Comme dans tous les couples, parfois on s'engueule… et parfois la communication est rompue. Il faut savoir se quitter pour mieux se retrouver. Il met une année à nous écrire un roman, j'ai mis 3 jours pour lire 600 pages. Les calculs sont pas bons Stephen, mais je te rassure, tu mets bien des paillettes dans ma vie.

C'est avec ses yeux de 72 ans que l'auteur nous entraîne encore une fois dans les méandres de ses obsessions : les enfants et leurs destinées, les dons particuliers, notre monde actuel. Si vous le suivez sur twitter, vous savez qu'il se sent très concerné par l'actualité politique, notamment l'élection de Donald Trump et les dégâts collatéraux inhérents à son élection. La réalité est son terreau de réflexion. Il a récemment annoncé qu'il se retirait de Facebook : trop de fake news et de contre-vérités. Dans « l'institut », il développe cette manipulation des masses, mais aussi cette secrétomanie gouvernementale qui organise des expériences soi-disant pour sauver le monde.

La présentation des personnages est encore une fois au carré. Dès les premières pages, c'est un monde imaginaire fabuleux qui s'ouvre sous nos pieds. Imaginaire, mais tellement réel, dans le sens crédible ! Si la ville qu'il a choisie pour asseoir son texte est d'un « ennui monochrome », il déploie pourtant toute une palette de couleurs envoûtante sur les émotions humaines. de plus en plus, je m'interroge sur son rapport à l'enfance qui résonne comme une éternelle fascination, pièce maîtresse de son oeuvre colossale. Sans jamais lasser, il parvient à emporter son lecteur vers une nième histoire où des enfants dotés de dons surnaturels sont exploités pour leurs aptitudes. le choix du lieu de l'action n'est pas anodin : une petite ville où règne encore une forme de solidarité par opposition à une grande mégalopole où individualité rime avec égoïsme. Faut-il y voir une forme de désespérance du genre humain habitant dans les grandes villes où les hommes s'amassent pour ne transmettre qu'une pensée unique initiée par des informations médiatiques données à outrance ?

Stephen King reste un conteur hors pair, à l'imagination débridée apportant à la fois réalisme latent et fantasmagorie cruelle. de quoi rallier une nouvelle génération de lecteurs qui découvriront a posteriori les premiers titres de son oeuvre, feront des parallèles, dégageront des problématiques. Des thématiques qui résonnent comme des mantras offrant un style très visuel à sa narration expliquent sans doute le succès des séries et films tirés de ses romans, pas toujours réussis. D'aucuns affirment que le King est vieillissant, que l'ephad est proche ou que le maître de l'horreur qui nous faisait frémir de peur dans certaines scènes se ramollit du genou. Son esprit n'a jamais été aussi affûté, mis en relief par l'avantage de l'âge, une perception plus mesurée et plus juste de la vie. La mécanique selon laquelle l'homme peut influencer son destin par la prise de décisions dictée par son libre arbitre est implacable. Sans doute une façon habile de sensibiliser l'homme sur son extraordinaire potentiel. Une volonté incantatoire de croire encore dans le genre humain ?

Vous l'aurez compris, l'institut est une oeuvre riche qui met en lumière le talent sans cesse renouvelé d'un écrivain à l'imagination fertile, mais qui tire pourtant ses intrigues dans les racines de notre réalité. de quoi frémir encore… de quoi réfléchir encore… de quoi s'interroger sur notre monde et sur notre place dans celui-ci. Au final, prendre les romans du King pour de simples romans de distraction serait commettre une grave erreur…

Lien : https://aude-bouquine.com/20..
Commenter  J’apprécie          360
Il y avait bien longtemps que je ne m’étais pas plongé dans un roman de Stephen King, j’ai
ai pourtant beaucoup dans ma bibliothèque que je n’ai pas lu. Mon frère aîné m’a donné il y a des années la passion de cet auteur, il me prêtait ses livres au fur et à mesure et je les dévorais dans le jardin de mes grands-parents ou dans ma chambre d’adolescente.

Ayant du temps devant moi, j’ai eu envie de découvrir L’institut, dont j’ai lu beaucoup de bien. C’est comme souvent, avec l’auteur, un gros roman qui demande de nombreuses heures de lecture mais j’ai beaucoup aimé, le sujet est passionnant et Stephen King n’épargne une fois de plus rien aux enfants qu’il y a mis.
Commenter  J’apprécie          271
Un très bon Stephen King !
J'ai été capté de bout en bout, on peut effectivement se rallier à une ambiance strangers things voir la ligne verte (pour le côté carcéral).
L'écriture reste fluide, elle nous prend par la main, nous attache aux protagonistes tout ça sous fond de complot universel (cela devrait plaire à Chattam) !
Difficile de ne pas succomber.
Commenter  J’apprécie          265

Une autre histoire de Stephen King que dis-je une perle qui dormais au fond de l'abime trouvé par le grand maitre afin de nous éblouir, ce grand auteur nous hypnotise page après page nous racontant une histoire et nous sommes ébahis tels des enfants a un spectacle de marionnettes. La lecture de l'Institut fut pour moi un retour dans mon passé de lecteur à une époque ou dans ma librairie du coin exposais un nouveau King a sa devanture fit de moi tel un zombie un client assidu. L'Institut raconte l'histoire d'enfants enlevé par une organisation secrète du gouvernement car ces enfants ont des talents particuliers et Luke un enfant de douze ans, hyper intelligent et attachant fera en sorte avec la complicité des autres gamins enlevés comme lui de réduire à néant ce système. Dans ce roman nous y reconnaissons une sorte d'archétype présent dans tous ces romans, les enfants, l'alcool, la cigarette, les mensonges de l'état et la lutte du bien et du mal. Pour tout vous dire un bouquin que je recommande.
Commenter  J’apprécie          240




Lecteurs (5945) Voir plus



Quiz Voir plus

Le quiz Stephen King !

Quel est le premier livre de King a avoir été publié ?

Shining
Dead Zone
Carrie
Le dôme

10 questions
1721 lecteurs ont répondu
Thème : Stephen KingCréer un quiz sur ce livre

{* *}