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3,98

sur 2801 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
"Aussi angoissant que Charlie, d'une puissance d'évocation égale à Ça, L'Institut nous entraîne dans un monde totalitaire... qui ressemble étrangement au nôtre. le nouveau chef-d'oeuvre de Stephen King. "

Mouai ! bhen franchement je crois qu'il faut que les maisons d'édition laissent les romans suivre leur chemin tout seul.. d'autant qu'avec un auteur comme King il n'y a pas besoin d'une publicité qui induit le lecteur en erreur.
Une petite pensée pour Charlie parce que ça parle de télékinésie.. mais a part ça aucune corrélation.. et L'angoisse de ça je la cherche encore !!

Une lecture en dents de scie pour moi .. des passages super palpitants et d'autres ennuyeux a mourir . Mais il faut dire que cette quatrième de couverture te fait t'attendre a un truc de dingue et au final t'as que tchi !
Et pourtant le thème principal est génial et tu sens le super potentiel de ce roman à chaque fois que tu es en haut de la dent de scie… il y avait moyen de faire un truc super canon. Mais j'ai trouvé Stephen King trop gentil ( faudrait peut être que j'arrête de lire des trucs des éditions Ring, moi !) , trop poli, trop lisse à mon goût. D'habitude, même avec un roman il arrive a instaurer une atmosphère , ici je l'ai a peine effleurée.

Tout ça pour dire que ce roman est moyen, et que la quatrième de couverture nuit fortement au roman
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Honte à moi ! Ce dernier King m'a échappé des mains, la séduction et la magie du roi n'ont pas opéré chez moi.

Les amateurs de la sauce américaine seront certainement ravis de ce dernier opus où mijotent et bouillonnent actions, rebondissements, science-fiction, pouvoirs psychiques et manipulations médicales.
L'histoire est assez simple à la base. Luke est un jeune enfant surdoué de douze ans. Il est enlevé et emmené dans un institut regroupant d'autres enfants tous aussi intelligents les uns que les autres et aux pouvoirs psychiques détonnants.

Je ne dévoilerai rien de plus que la quatrième de couverture. Sauf que la mayonnaise n'a pas pris ici. Je me suis embourbée dans une histoire pas faite pour moi et que je n'aurai pas lue si mon fils n'était pas féru du King, le livre en main. Lui, il a adoré ce livre, il a adoré les actions à profusion et s'est attaché à ce monde singulier.
De mon côté, je préfère le King dans ses romans d'atmosphère, dans ses pavés où il ne se passe rien mais où tout l'art de la narration et de la description sont brillamment transmises.
Les histoires avec des narrations à hauteur d'enfants n'est pas ma tasse de thé, si on rajoute du pur sang américain, on m'oublie.

Pourtant, ce fut un moment très sympa de lire ce King en compagnie synchronisée de mon ado. On se communiquait nos impressions et on se motivait chacun à poursuivre notre lecture. À réitérer prochainement avec Salem.
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Un veilleur de nuit, ancien flic au parcours professionnel accidenté, un enfant de douze ans à l'intelligence exceptionnelle, un enlèvement accompagné d'un double meurtre, des enfants TP ou TK (pour télépathie et télékinésie) enfermés dans un étrange “Institut” où ils servent de cobayes à des adultes qui les torturent à des fins secrètes et probablement effrayantes… tels sont les ingrédients du dernier roman de Stephen King, "L'Institut".

La quatrième de couverture vante "L'Institut" comme étant son nouveau chef d'oeuvre, à la hauteur de “Charlie” et de “Ça”, et c'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'ai choisi de le lire. Mais je ressors de cette - longue - lecture un peu perplexe et pour tout dire extrêmement déçue.

Des univers carcéraux bâtis clandestinement par des organisations occultes et para gouvernementales, des humains que l'on chosifie pour mieux piller leurs ressources physiques ou mentales, des êtres dont on tente de développer les pouvoirs psychiques pour les transformer en armes de guerre… tout cela n'est pas très neuf - et a même été réellement tenté par l'union soviétique (pour ce qui est des pouvoirs psychiques) pendant la guerre froide. Ce sont des thèmes très présents au cinéma comme dans la littérature - je pense notamment à “l'unité” de Ninni Holmqvist, à “Auprès de moi toujours” de Kazuo Ishiguro ou même à “La servante écarlate” de Margaret Atwood (romans autrement profonds et dérangeants)... Mais ils ne sont pas traités, ici, de manière particulièrement originale ni, en tous cas pour moi, convaincante.

A quoi s'ajoutent les inévitables gamins héroïques (et très américains) qui triomphent toujours de tout dans l'esprit de “Maman, j'ai raté l'avion” (c'est dire !), le flic injustement déclassé, forcément valeureux et intègre, les “méchants” vraiment très méchants et les “bons” prêts à tout au péril de leurs vies pour que triomphent la justice et le bien… autant de poncifs et de clichés qui font de "L'Institut" une histoire convenue et sans surprise qui se traîne en longueur sur près de 600 pages jusqu'à son dénouement, là encore sans beaucoup de surprise.

"L'Institut" ne tient pas, loin s'en faut, les promesses pour le moins exagérées de l'éditeur dans sa présentation, et je n'ai rien retrouvé ici de l'atmosphère étrangement vénéneuse propre à l'univers de Stephen King, ni de son art subtil et diabolique de biaiser lentement le quotidien jusqu'à le distordre en une réalité autre - et parfaitement horrifique. D'un autre auteur, "L'Institut" aurait été pour moi un bon moment de divertissement - sans plus. Mais, s'agissant de Stephen King, c'est tout simplement une véritable déception.

[Challenge Multi-Défis 2020]
[Challenge Pavés 2020]
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Je ne suis pas fan de la littérature fantastique. Stephen King est sans doute le seul auteur auquel je laisse une chance de me convaincre. le succès a souvent été au rendez-vous car le surnaturel est un moyen de mettre en relief l'humanité de ses personnages. Ainsi, le lecteur a tous les éléments pour intégrer leur parcours dans un univers plus tangible.
Stephen King est un excellent conteur et je me laisse facilement porter alors même que le rationnel n'est pas l'angle qui balise le récit.
La première partie de L'Institut est un vrai régal. En quelques coups de pinceaux, il crée une atmosphère qui lui ressemble et un personnage attachant. La suite m'a moins convaincue. Reprenant le thème du groupe d'enfants différents et exclus, Stephen King place cette fois-ci son récit au coeur un établissement qui fait des expériences sur les enfants aux dons de télépathie et de télékinésie. On ne sait pas qui tire les ficelles mais il est évident que ce n'est pas un programme légal puisque tout commence par le kidnapping des sujets et le meurtre de leurs parents.
Je n'ai pas ressenti la puissance de Ça ni celle de Carrie ou Charlie. La magie n'a pas opéré et j'avoue que j'ai trouvé les tenants et les aboutissants d'une grande banalité.
Rendez-vous manqué cette fois-ci.

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Histoire d'enfants surdoués dotés de pouvoirs psychiques dont Luke, douze ans, ses parents Herb et Eileen sont tués, kidnappé, il se réveille à L'Institut , dans une chambre pareille à la sienne sauf qu'elle n'a pas de fenêtre ...

Luke a des pouvoirs de télékinésie : il peut déplacer des plateaux vides de pizza: on commence l'histoire avec Tim Jamieson , on continue avec Luke , George , Iris, Nicky ....et d'autres ...
Angoissant , que font - ils à l'institut ?
Qu'attend - on d'eux ?
Ces manipulations médicales , science fiction, télépathie , paranormal , enlèvements, divagations , univers carcéraux, ne sont pas pour moi.... sûrement pour des ados .....ou des adultes coutumiers, passionnés par l'auteur.
Et comment garder son humanité et sa dignité dans de tels univers faits pour détruire ?
Je me suis trompée dans mes choix , «  restreints » , trop «  rapides » à la médiathèque , à cause du coronavirus ...


«  Extrait: Une association qui n'avait pas un sou précisa t- elle , «  parce que Trump et ses potes ont tout repris.
Pour eux , la culture , c'est comme l'algèbre enseignée à un âne . »
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Avis très mitigé pour moi...des moments palpitants, et d autres ..beaucoup trop longs..pourtant l'histoire était plutôt prometteuse et je dois dire que je m attendais à un peu plus d'angoisse de la part de cet auteur..sûrement trop d attentes de ma part et du coup je ne me suis pas laissée embarquer. dommage !
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Je regrette les livres de l'auteur antérieur aux années 2000 (à part 22/11/63, chef-d'oeuvre). L'institut n'est pas un bon King. Je dirai même qu'il est en dessous de la moyenne, compte tenu de l'ampleur de sa bibliographie. Je n'ai pas passé un mauvais moment, mais il m'a manqué le principal, ce que l'auteur fait de mieux, la densité de l'histoire, mais plus particulièrement celle des personnages.

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Et bien !... Ce fut un raté de lecture!
Du moins en grande partie, car j'ai parcouru besogneusement ce gros pavé de 600 pages, la plupart du temps en déplorant son rythme mou et bavard et sa trame convenue.

On peut parler ici d'immersion dans un univers carcéral abject mais ( même si l'auteur arrive à nous le rendre réel avec les meilleurs moments du livre, en ambiance de science-fiction) sa crédibilité est proche du plancher, avec des personnages caricaturaux dans les rôles de (très) méchants et des enfants en victimes sacrificielles.

Je me suis agacée d'une narration prévisible, où se cultive le sceau du secret à des fins politiques, où se mêlent des scènes d'action survoltées et des surprenantes capacités intellectuelles hors normes. Sans parler de ce patriotisme héroïque façon Oncle Sam!
La mayonnaise n'a pas prise: trop long, trop touffu, trop déjà vu...

Et que penser de la chute finale qui voudrait nous faire croire que la fin justifie les moyens, avec ce pragmatisme proprement anglo-saxon, et qu'il peut être légitime de subir quelques dommages collatéraux pour le bonheur du plus grand nombre.
Un peu grosse, la ficelle !

Positivons néanmoins. On parle ici de Stephen King, et si ses romans étaient mauvais, cela se saurait. On peut s'amuser aussi du clin d'oeil à la société américaine dérivant vers une certaine forme de totalitarisme social.

Conclusion faite que l'auteur ne me fait plus rêver comme dans le passé. Question d'âge/d'intérêt pour ces fictions, ou un quelconque manque d'inspiration comparée à celle de romans précédents)
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🔲 l'INSTITUT 🔲

Bienvenue à l'Institut, où si tu es un enfant, tu vas y vivre des instants mémorables!
Ce n'est pas un établissement comme les autres.

Tu découvriras vite que tes nouveaux camarades sont tous spéciaux et sont dotés de pouvoirs de télékinésie et ou de télépathie.

Les portes de cet institut ne sont pas ouvertes à tous et pour cause, il s'agit d'un établissement secret prodiguant tout un tas d'expériences dignes de l'ère Nazis.
Les jeunes pensionnaires n'y viennent pas de leur plein gré mais y sont détenus suite à leur enlèvement.

Une histoire plutôt intéressante du point de vue psychologique et qui partait bien mais, qui a beaucoup traîné en longueur et qui n'a pas pris.
On comprend rapidement quelle sera la finalité et j'ai trouvé la fin un peu moyenne et plutôt plate tout comme quelques scènes abracadabrantesques et comiques dans le mauvais sens.
Incontestablement, ce n'est pas le meilleur King.


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Il y avait un petit moment que je n'avais pas lu un roman de Stephen King et je me suis laissée tenter par la jolie couverture et surtout par la quatrième bien alléchante.

Dans l'ensemble, c'est un bon roman qui joue avec nos angoisses (des enlèvements et de la maltraitance sur des enfants). Il y a une bonne dose de fantastique (des pouvoirs psychiques), un peu de suspense et des personnages très attachants.

Et pourtant la mayo n'a pas totalement pris. Pourquoi ? Parce que certains passages sont chiants comme le brouillard ! D'habitude, Stephen King peut écrire sur n'importe quoi, je reste captivée. Mais là, j'ai carrément passé des pages.

La première partie est looooongue à en pleurer. J'ai cru qu'il ne se passerait jamais rien de plus que ces fichus tests.
Heureusement, la seconde partie est plus prenante même s'il y a encore des passages longuets.

C'est bien dommage car le sujet est enthousiasmant et qu'il y a de très bonnes idées.
Mais avec 200 pages de moins, on aurait gagné en intensité.

En bref, venant du King, je m'attendais à mieux.
Au suivant !
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