Il n'y a rien de vraiment très original dans cette Agence Quanta mis à part le fait de pouvoir se payer un voyage dans le temps comme un riche milliardaire se payerait un petit tour dans l'espace.
Le dessin ainsi que l'esprit est proche d'une série à succès intitulée Seuls. Cependant, on trouve ici beaucoup de fraîcheur ainsi qu'un peu d'humour. J'ai adoré le passage de l'héroïne qui débarque dans sa bulle spatio-temporelle dans la salle de bain du Sofatel pendant qu'un homme libidineux très puissant se prélasse. Il y a de ces pointes d'humour qui mettent tout de suite de bonne humeur. La lecture a été très agréable.
Par ailleurs, au niveau du thème, c'est une critique à peine voilée de la société du tourisme de masse. 25 millions de touristes en 1950 pour bientôt un milliard. Quelle planète laisseront-nous derrière nous ?
Le second tome offre une vraie fin tout en laissant le champ libre pour se construire en série. On verra bien ce que le futur nous réserve.
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Je n'ai vraiment pas accroché avec cette BD : une histoire de voyage dans le temps brouillonne et peu originale, une grossièreté quasiment à chaque bulle, pas de recherche particulière dans les dessins ni dans la disposition des vignettes. Une héroïne ultra sexy pourquoi pas, mais des attitudes et des propos sexistes qui m'ont vraiment dérangée, et à certains moments je me suis même demandé si c'était une parodie, à l'instar de cette scène se déroulant au "Sofatel" avec type qui sort de son bain au moment où arrive la femme de chambre... Affligeant !
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Si les fans de Krings ne seront pas surpris de l'attrait de cette nouvelle série, tant ce projet a été porté par son créateur depuis de nombreuses années, gageons que d'aucun regarderont d'un autre œil sa production et seront au rendez-vous du prochain album des aventures de la belle Iona.
Lire la critique sur le site : BDGest
Un premier tome mené tambour battant, alliant aventure, thriller, fantastique et un brin de sensualité... Ce pur divertissement sera servi par une second tome à paraître dans quelques semaines !
Lire la critique sur le site : ActuaBD
L'idée qu'un électron exposé à un rayonnement choisit en toute liberté la manière ou la direction où il doit sauter m'est insupportable. S'il en était ainsi, j'aimerais mieux être cordonnier ou même employé dans un bistrot que physicien.