Il y avait les réunions, les dégustations, les trains, les avions, une vie emprunte de folie, de vitesse, au milieu du bruit, du monde, du stress. Et il y avait la mer, le lointain, le calme, les vagues, l'horizon, le vent, le sel, la solitude, la douceur. Comment ne pas choisir ce inonde-là ? Cela aurait pû s'appeler " du marketing à la marine ". J'ai quitté un poste de directrice marketing dans une grande Maison de Champagne rémoise. J'ai surtout quitté la terre. ...
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