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EAN : 9782362802157
248 pages
Editions Thierry Marchaisse (08/11/2018)

Note moyenne : /5 (sur 0 notes)
Résumé :
Ce recueil s’est donné pour défi d’être à la hauteur du sujet qui en fait l'objet.On y trouvera donc des lettres de psychanalystes bien sûr et même de proches de Lacan de la première heure. Mais aussi celles d'artistes, de scientifiques, de philosophes, etc.,.et pas seulement français mais aussi étrangers.On y trouvera aussi et surtout des propos et des arguments inattendus, des plus loufoques au plus sérieux. Des plus intimes aux plus théoriques.Le tout forme un « ... >Voir plus
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Une conversation présentée par Robert Maggiori, critique littéraire, et membre fondateur des Rencontres Philosophiques de Monaco Avec Dov Alfon, Directeur de la rédaction et la publication au quotidien Libération Raphaël Glucksmann, Député européen et essayiste Laurie Laufer, Psychanalyste Asma Mhalla, Spécialiste des enjeux politiques et géopolitiques de la Tech
Informer est un droit, s'informer un devoir. Il n'est techniquement pas impossible de savoir quelles circonstances, quelles situations politiques économiques ou militaire, quels régimes de gouvernement, quels types de pouvoirs autoritaire, dictatorial, totalitaire, etc., entravent le devoir d'informer.  Mais il est plus malaisé de déterminer les causes qui rendraient labile, «occasionnel», intermittent, le devoir de s'informer. Renonce-t-on de force à ce dernier lorsqu'aucune résistance, aucune «opposition» ne semblent assez fortes pour rétablir le droit bafoué? A-t-on, comme on dit, «perdu confiance» vis-à-vis d'organes d'information dont on pense qu'ils ont des objectifs - les mal nommés - politiques, idéologiques, n'ayant plus rien à voir avec la «formation» des citoyens à laquelle devrait participer une information objective, variée, ancrée à des sources sûres, argumentée, vérifiée? Ou le mal est-il plus profond, et tient d'abord à la confusion entre information et communication, puis à l'hégémonie de celle-ci sur l'autre? Si l'on considère en effet qu'il est plus important de communiquer que d'informer, alors il sera admis de tous, d'une part, que le fait de dire compte plus que ce qui est dit, compte plus que la véracité (la rigueur, le bien-fondé, la justesse…) de ce qui est dit, et, d'autre part, que l'opinion vaut en tous points le savoir. Les méga-entreprises de communication plus fortes que les Etats, grâce à leurs réseaux sociaux, dans lesquels chacun «s'exprime», ont transformé ce mal en pandémie universelle, et transformé la vérité en «option», en «avis». Quelles conséquences pour l'information, la formation, l'éducation des citoyens?
#philomonaco
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