Les traducteurs sont souvent empêtrés dans des interdits dogmatiques qui les paralysent et ils manquent d'oxygène pour donner à leurs textes toute la liberté, l'éclat et le naturel qu'ils méritent. C'est souvent aussi, paradoxalement, une certaine méconnaissance de la langue d'arrivée-leur propre langue maternelle-qui les handicape, encore une fois en raison d'une formation axée plus sur les mises en garde que sur l'exploration des merveilleuses possibilités de cett... >Voir plus