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N'ayant entendu que du bien du Cycle de Terremer d'Ursula K. Le Guin, j'ai enfin pris le temps de le lire en me plongeant dans cette intégrale. J'ai eu la chance de lire cette saga dans l'anglais original, avec les magnifiques illustration de Charles Vess. Je n'ai pas réussi à lâcher ce livre. J'ai dévoré tout l'intégrale en un peu plus d'un mois, et je peux dire aujourd'hui que c'est désormais ma série de fantasy préférée !

C'est peut-être étrange de commencer par là, mais les introductions et rétrospectives d'Ursula K. Le Guin qui ponctuent cette intégrale ont fait de moi un fan de cette autrice. Ses analyses sont fines et sa plume aiguisée, et ses réflexions sur ses propres oeuvres, sur le genre de la fantasy, et sur la littérature en général, sont excellentes à tout point de vue. En tant que professeur, je vais sans aucun doute réutiliser certains extraits de ces réflexions, tellement celles-ci sont encore d'actualité.

En ce qui concerne le Cycle de Terremer lui-même, c'est tout simplement une série magnifique, du début à la fin. Si on s'arrête à la surface, les histoires mêlent magie, dragons, quêtes épiques, voyages en terres inconnues, et contiennent de quoi satisfaire les fans du genre. Néanmoins, cela serait trop réducteur de s'arrêter là. de nombreux ingrédients viennent faire de cette série une pépite qui mérite d'être lue par tous, un classique de littérature qui mérite d'être étudié, analysé et partagé.

Tout d'abord, la plume d'Ursula K. Le Guin est accessible à tout âge. Ces romans sont tout à fait adaptés à la jeunesse, et je recommanderais ce livre dès les années collège. Qu'on soit jeune ou plus âgé, chacun y trouve son compte : la manière dont ces romans sont écrits permettent aux plus jeunes d'y entrer facilement, et aux plus âgés d'apprécier la finesse et la qualité de la prose.

De plus, même si certaines caractéristiques classiques du genre de la fantasy sont présentes, notamment dans l'évolution du protagoniste du premier roman, les héros de ces romans ne remportent pas la victoire et ne se distinguent pas par des actes guerriers : c'est toujours par des actes de compassion, d'empathie, ou bien par une meilleure compréhension de soi et du monde qui l'entoure, que le protagoniste réussit à surmonter les obstacles. Cela est un choix délibéré, et pour moi cela élève cette série et la place bien au-dessus de ses pairs : ces romans montrent qu'il est difficile de choisir et de maintenir des actions qui promeuvent ces belles valeurs, mais que cela en vaut la peine.

Les thématiques abordées dans ces romans sont riches et profondes : la compréhension de soi, la quête d'identité, les rôles de l'homme et de la femme, la mort, le deuil... Chacun des récits tourne autour d'un thème central, exploré à travers l'histoire, tout en incluant des thématiques secondaires qui résonnent en écho. Ces histoires explorent ces thématiques subtilement, et les font émerger aux yeux du lecteur grâce aux divers personnages et actions de chacun. le Cycle de Terremer fait partie de ces oeuvres qui ont quelque chose à dire sur le monde d'aujourd'hui, et ces livres sont si excellents que les thématiques abordées sont toujours d'actualité.

Il faudrait aller dans le détail de chaque roman et les analyser chacun pour vraiment apprécier à quel point cette saga est un chef-d'oeuvre. Ce que je dirais pour conclure, est que je ne peux que recommander cette intégrale : j'encouragerais toute personne à la lire au moins une fois dans sa vie, si ce n'est que pour apprécier la prose d'une excellente autrice qui a beaucoup de choses à dire, et surtout beaucoup de choses justes à dire.
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Un monument de la fantasy, réellement. Ce livre a inspiré Goro Miyazaki, fils de Hayao Miyazaki, pour son fabuleux film d'animation "les contes de Terremer", que je conseille. L'histoire me fait l'effet d'un conte. Les personnages y sont présentés sans réellement s'étendre sur leurs sentiments. Nous sommes totalement spectateurs de l'histoire. Cependant, l'immersion est totale. J'ai littéralement dévoré ce livre. Il reste une de mes valeurs sûres, notamment lorsque l'on me demande des conseils en livre de fantasy.
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Je voulais lire Terremer car j'avais entendu dire que c'était un classique de la fantaisy. Je n'ai nullement été déçu .
J'ai achevé la lecture de Terremer il peu et pourtant j'ai encore du mal à quitter le lieu tant il est magique. Que demander de mieux que la présence de magie , de sorciers et de dragons.
Je serais volontiers resté à voyager dans Terremer au coté de Ged, Tenar et de tout les autres personnage tant l 'univers est riche.
Les personnages y sont attachants avec leurs failles leurs faiblesses et leurs forces.
Le plus de l'intégrale est d'être guidé au fil du livre par les explications d'Ursula le Guin et qui apporte un éclairage supplémentaire sur la façon dont Terremer a été conçu et ce que voulait dire l'auteur à travers ses histoires.
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J'ai aimé la manière dont cette histoire est construite. D'abord, on suit Ged, et dans le deuxième tome, c'est Ged aussi, mais on est toujours sur l'épaule de Tenar, et dans le troisième, on est le plus souvent sur l'épaule de Lebannen. J'ai été perturbée par contre par les nombreux points de vue du dernier tome (oui, c'est moi qui dit ça, avec mes sauts intempestifs quand j'écris…), parce que les autres tomes ne sont pas construits comme ça, et aussi parce que ça sautait parfois un peu vite, je crois (une grande histoire en pas beaucoup de mots).

Je ne crois pas que ce soit une histoire qui se relit (enfin, tous les romans peuvent être relus), plutôt une histoire qui se digère, comme un conte.
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Tout au long de cette lecture qui se sera étalée sur plus de trois ans, j'ai pu découvrir un univers d'une densité extraordinaire : les différents textes nous font voyager loin, très loin, au nord, au sud, et par-delà même les limites du monde connu. On rencontre cet univers alors qu'il est tout jeune, et on le quitte bien des siècles plus tard, après être passé entre les mains de bien des hommes… L'autrice a magnifiquement bien rendu les différences entre les lieux et les époques, rendant cette profondeur d'univers d'autant plus tangible : les personnages que l'on suit ont des manières complètement différentes de voir le monde, ce que j'ai senti dans la narration même, ainsi que dans les réactions et les sentiments qu'elle insuffle à ses personnages de manière très crédible. On se trouve dans un univers classique d'epic fantasy, avec des sorciers et des dragons, mais que l'autrice est parvenue à emmener bien plus loin, proposant ainsi quelque chose de très novateur.

Au-delà de l'univers, c'est également par ses thématiques que Terremer se démarque des autres récits de son époque – et même encore aujourd'hui. On retrouve bien, par exemple, la classique quête épique pour empêcher la fin du monde, mais elle se teinte ici de la culpabilité d'en avoir déclenché la cause, et de l'apprentissage de la responsabilité. On y parle du passage de l'enfance à l'adolescence, puis à l'âge adulte et à la vieillesse ; de la manière dont on aspire à différentes choses en prenant de l'âge ; de la condition de la femme, de son rapport au monde, à la magie et aux hommes ; de la vie de couple, de la parentalité, de l'héritage ; des ténèbres du monde, des ténèbres en soi, du monde après la mort… Si le propos est le plus souvent épique, j'ai toujours retrouvé en filigrane de chacun de ces textes des thématiques profondément universelles, qui placent l'humanité au centre de chaque récit, et assoient là aussi l'originalité incontestée de Terremer.

Si j'avais un regret, il tiendrait à la narration particulière de l'autrice : elle raconte avec ton très grandiloquent, très beau et souvent poétique, mais de fait très imagé. Elle prend énormément de détours pour décrire un simple fait, et passe beaucoup de temps dans l'intériorité des personnages davantage que sur le déroulé des actions. Couplé au fait que la dernière moitié des récits, composée de nouvelles qui décrivent les premiers et les derniers temps du monde, ne suive pas du tout la chronologie de l'univers, je reconnais avoir été souvent perdue dans la grande fresque des événements de Terremer. Si j'ai apprécié ce que l'autrice a créé avec cet univers, je n'ai malheureusement pas réussi à être autant impliquée que je l'aurais souhaité en tant que lectrice.

J'ai néanmoins versé ma larmichette en refermant le livre d'un si vaste univers, et je suis curieuse de découvrir l'autrice hors de Terremer...
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Un classique, et même une pépite de la fantasy, touchante et intelligente. C'est aussi une formidable porte d'entrée pour découvrir la fantasy.

Alors déjà : il y a des dragons. de vrais dragons qui volent et qui crachent du feu, la classe incarnée.

De manière générale, le style de le Guin m'a beaucoup plu. Les descriptions des paysages et des personnages sont belles, parfois terrifiantes et cruelles, mais toujours poétiques.

Terremer, ce n'est pas un livre « bim bam boum ». Oubliez l'action, on n'est pas dans de la fantasy épique, ce n'est pas l'objectif de le Guin. Il se passe des choses, bien sûr, mais pas de grandes guerres ni d'affrontements physiques. J'aime cette approche : une bonne histoire de fantasy ne nécessite pas de mettre en scène un conflit dans lequel le protagoniste a un rôle à jouer.

Ne vous attendez pas non plus à avoir du dialogue à toutes les pages. Pour chaque roman, le nombre de personnages est assez restraint, il n'y a donc pas forcément beaucoup de dialogue. Donc quand il y en a, il est qualitatif ! Certaines réflexions de Ged ou Tenar m'ont fait bien réfléchir, ou m'ont mis la larme à l'oeil (j'ai pleuré plusieurs fois, je l'avoue volontiers).

Les romans doivent être lus dans l'ordre indiqué par Le Guin, et j'insiste sur ce point, car comme indiqué par l'auteure dans ses postfaces, il est arrivé plusieurs fois depuis la publication du dernier roman que les éditeurs en fassent la promotion dans des ordres divers et complètement fous. Alors que c'est un récit chronologique ! Il faut les lire dans l'ordre pour comprendre les choses !

Quant aux postfaces ajoutées à la fin de chaque roman, bon sang qu'elles étaient intéressantes ! Le Guin y explique la réception des livres, les déboires d'édition et d'illustration, ses choix scénaristiques, et surtout, elle y tacle le « politiquement correct » de l'époque en ce qui concerne les scénarios, les personnages stéréotypés et les illustrations, les étiquettes associées au genre.

Maintenant que j'ai tout lu, je constate une évidente scission entre les 3 premiers livres et les 3 suivants. Je parlerai donc de deux trilogies.

La première reste ma favorite, peut être par nostalgie. La première fois que je l'avais lue, j'avais eu un coup de coeur pour le Sorcier de Terremer et L'Ultime rivage (dont la conclusion est certes positive mais si terrible, j'en ai pleuré), qui sont selon moi les meilleurs récits initiatiques que j'ai lu. J'adore leurs protagonistes. Comment ne pas s'attacher à Ged ou Arren ?

Dans ces deux livres, la mer et les îles y tiennent un rôle prépondérant. La plus grande partie du récit se passe à bord d'un bateau, les personnages voyagent d'une île à une autre, et j'aime, comme j'aime cela !

J'ai eu plus de mal avec Les Tombeaux d'Atuan. le désert, ça n'a jamais été mon truc, et je ne me suis pas attachée à Tenar. le récit reste intéressant. Notamment en ce qui concerne les rapports de force entre les personnages, mais ce n'était pas mon préféré, et ça ne l'est toujours pas.

Prend donc fin une première trilogie. Une bonne quinzaine d'années s'écoule. Puis vient une deuxième trilogie. Et là, la révélation : j'admire Tenar.

Ça n'avait pas marché entre la jeune Tenar et moi, mais la Tenar qu'on retrouve après les événements de L'Ultime rivage, quelle femme ! Elle a énormément mûri, a gagné en expérience. Et elle voit les choses bien différemment de Ged (qui ne va pas bien du tout le pauvre). Et Tehanu, bien sûr… comment ne pas penser à Tehanu désormais quand je penserai à Terremer ?

Je trouve la deuxième trilogie bien plus sombre et terre à terre que la première. Il y a de nombreux changements à Terremer. On pourrait les qualifier de bons de manière générale, mais au niveau individuel. C'est la crise pour plusieurs personnages ! Tehanu, Les Contes de Terremer et le Vent d'ailleurs (Mon préfère numéro 3, oui j'ai pleuré à la fin) sont là pour faire travailler les cellules grises et pour dénoncer les injustices, plus rien n'est caché, plus rien n'est épargné, et les rapports de force sont remis en cause.

Bref, pour mettre fin à cette dissertation qui pourrait encore continuer un moment, je dirai ceci : la première trilogie est une belle histoire et un beau voyage à tous les niveaux (narration, scénario, cadre de l'action), elle est même réconfortante et porteuse d'espoir. La deuxième trilogie est plus sombre, on ressent bien l'évolution de le Guin et du monde qui l'entoure, mais c'est vrai, et ça doit être dit et écrit.

Les plus de cette édition intégrale : les illustrations sont sympas, surtout celles des dragons, et les nouvelles sont chouettes. La dernière, « Au Coin du feu », m'a fait pleurer une dernière fois, mais quelle meilleure façon de clore une telle histoire ?

A lire, donc !!

Si vous avez tout lu, chapeau et merci ^^
Heureusement qu'il n'y a pas de limite de caractère !!
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lu il y a un an

J'avoue m être arrêtée à la trilogie.

J'en suis déçue. Il est difficile de voir l'évolution des divers personnages entre chaque volumes malgré qu'ils soient intéressants.

Je n'adhère pas à l'écriture de l'auteure. Je retenterai en 2023 auquel cas, je le donnerais ou le mettrai en boite à livres.
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Après tant de pages, rendre justice à cette fresque si singulière me semble hors de portée.
Je vais me contenter de ces quelques mots, tentant d'inviter les curieux à plonger dans Terremer, à parcourir les pages de cet enchevêtrement d'histoires riches, subtiles et oniriques ; puis me permettre un conseil : sans oublier de lire les lignes, sachez voir au delà, sous peine de passer à côté de l'essentiel.
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La fantasy, c'est cette branche de la littérature de fiction qui vous transporte dans un monde assez semblable au nôtre, mais créé de toutes pièces par l'auteur, depuis la géographie et les caractéristiques physiques jusqu'à la population et tout ce qui va avec, religion, politique, culture, etc. Les grands noms en sont des jalons connus : Robert E. HowardConan le Barbare »), initiateur de l'heroic fantasy, ou J.R.R. Tolkienle Seigneur des anneaux »), tête de file de nombreux écrivains comme C.S. Lewis (« Narnia ») ou Ursula le GuinTerremer »).
S'il y en a une qui peut être donnée en exemple comme étant une autrice de fiction imaginaire, c'est bien Ursula Kroeber le Guin (1929-2018), dont la plus grande partie de la production littéraire concerne la science-fiction et la fantasy. Dans ces deux domaines, elle a excellé, devenant une icône incontestée : citons pour la science-fiction : « La Main gauche de la nuit » (1969) et « Les Dépossédés » (1974) ; et pour la fantaisie : « le cycle de Terremer » (1964-2018)
En 2010, le Livre de Poche propose une intégrale de Terremer, comprenant la totalité des écrits de l'autrice sur ce cycle, soit cinq romans et un recueil de nouvelles, quelques nouvelles isolées, le tout accompagné d'une préface (« Introduction ») et d'une postface (« Terremer revisité ») toutes deux écrites spécialement par Ursula le Guin pour cette édition. La totale, comme qui dirait.
L'ensemble propose donc : les cinq romans : « le Sorcier de Terremer » » (1968), « Les Tombeaux d'Atuan » (1971), « L'Ultime rivage » (1972), « Tehanu » (1990) et « le Vent d'ailleurs » (2001) ; le recueil de nouvelles : « Contes de Terremer » (2001) ; les nouvelles isolées : « Description de Terremer » (2001), « le Mot de déliement » 1964), « La Règle des noms » (1975), « La Fille d'Odren » (2016) et « Au coin du feu » (2018).
Terremer, comme La Terre du milieu (J.R.R. Tolkien), ou plus près de nous Westeros (G.R.R. Martin), est un lieu imaginaire, où se passent des évènements grandioses et épiques ou parfois plus simples et familiers, où les destinées individuelles sont confrontées à la violence des sentiments (ou à leur douceur), et où, ici particulièrement, la magie est omni-présente.
Terremer (Earthsea, en version originale), se présente comme un archipel en pleine mer, où la sorcellerie est partie prenante de la culture. L'histoire s'attache particulièrement aux personnages attachants de Ged, dit l'Epervier, humble chevrier, qui deviendra Archimage (chef de tous les sorciers) ; de Ténar, grande prêtresse des Tombeaux d'Atuan, qui croisera la route de Ged ; de Tehanu leur fille adortive, une fille-dragon ; d'Ogion le vieux mage qui initie Ged et Ténar…
Ursula le Guin, comme Tolkien avant elle, écrit à la fois un roman où le fantastique joue pour une grande part (magie, dragons, sortilèges…) mais également un roman d'initiation où les héros doivent passer par un nombre considérable d'épreuves où ils se mettent sans cesse en danger.
Enfin, l'autrice fait passer un message pleinement féministe, qu'elle détaille dans son introduction : « Quand « Tehanu » est sorti, nombre de critiques et de lecteurs y ont vu un effort « genré », une trahison des traditions romantiques de l'héroïsme. Mais la trahison aurait été de conserver le même point de vue… En intégrant pleinement les femmes dans mon histoire, j'ai pu appréhender plus largement la notion d'héroïsme, trouver enfin une voie de retour vers ma Terremer – désormais bien plus étrange, intense, plus mystérieuse qu'elle ne l'avait jamais été ».
Un chef d'oeuvre de la fantasy, à ne pas laisser passer.
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Je trouve particulièrement complexe de poser par un écrit un avis sur une saga aussi riche et aussi complexe, mais j'en ressors assez partagée. Terremer est sans conteste un univers très intelligent, avec une certaine portée philosophique et poétique que j'ai beaucoup appréciée, mais tout cela peut être au détriment de l'intrigue, qui n'est pas exempte de longueurs.
Mais même si par moment je me suis ennuyée, j'ai passé un bon moment à Terremer, et j'y ai rencontré des personnages qui risquent bien de m'accompagner un bon moment!
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