Dans la maison

C'est avec ce livre géniale que j'ai découvert Philip le Roy. C'est ce livre qui m'a fait découvrir celui qui est mon écrivain préférer.
Une ambiance bien effrayante et qui vous fait vraiment peur, jusqu'au bout vous vous rongez les ongles.
Ce livre raconte l'histoire d'un groupe de jeune qui décident de faire un fête horrifique avec de l'alcool, et des blagues effrayante, au milieu de nul-part. Ils décident d'inviter Clement un élève de leur classe par pitié.
Quand celui-ci ne se présente pas le jour-gi, Mehdi, Maxime, et Marie... ne s'inquiètent pas. C'est à peine si ils le remarque.
Entre quelques verre d'alcool et une ou deux blague, la soirée ce gâtes, une personne disparait mystérieusement. Pour le retrouver ils vont user de tous les moyens possible. Mais quand le deuxième et le troisième disparaissent, les spéculation commence.
Le lendemain on ne retrouva aucun des jeunes.

Ce livre est vraiment géniale. Un univers horrifique comme je les aimes. On nous sensibilise avec ce livre au rejet et au sentiment de la personne rejeter. On ne peut que d'identifié aux personnages qui sont les stéréotypes des jeunes d'aujourd'hui. Ce qui nous intègre dans l'histoire c'est que l'on voit seulement ce qu'on a besoin de voir au moment où on doit le voir. On ne nous montre pas les disparitions du point de vue d'un personnage en train de disparaître ce qui nourrit l'intrigue. On reste dans l'ignorance jusqu'à la fin. Quand on découvre ce qu'il c'est réellement passé on est juste scotché.

Ce livre est un de mes préférer alors je vous le conseille 1000 fois de le lire. Surtout si vous aimez la tension et la peur dans un livre. Mais attention aux fantômes, aux aliens et aux légendes.

Une bande de jeunes très soudée, tous en première en section arts appliqués, huit personnages avec chacun des caractéristiques fortes. Ils vont organiser une soirée « frissons » dans la maison très isolée de l'un d'eux, mais entre leurs blagues effrayantes et leur consommation d'alcool ça va mal tourner, surtout quand tout va leur échapper...
Je viens justement de finir « Dix » de Marine Carteron, roman qui lui aussi oscille entre policier et horreur et où là aussi les personnages sont des archétypes, cette caractérisation semble faire partie des codes du genre horrifique en huis clos, films et livres confondus et les auteurs en jouent.
Le roman cite d'ailleurs de nombreux films d'horreur qui feront certainement écho chez les ados ou leur donneront envie de les découvrir et il réutilise également des légendes locales, notamment celles du col de Vence où se déroule l'action, concernant des phénomènes inexpliqués. L'auteur distille aussi de ci de là, par petites touches, d'autres informations (par exemple le nombre de caméras de surveillance à Nice ou le sort réservé aux « sorcières ») et idées (comme les mécanismes de la radicalisation islamiste ou les personnes jugées sur leur différence). C'est un bon moment de lecture, même si parfois le côté didactique peut sembler un peu « too much ». En effet le côté plaidoyer est louable mais il était parfois un peu trop appuyé à mon goût. On sent que l'auteur tient sincèrement à parler de beaucoup de sujets sérieux, même si cela implique de les survoler et de synthétiser le plus important. Malgré tout, le roman est addictif et prenant, on se laisse emporter même si y a parfois des ficelles un peu grosses. L'auteur nous mène en bateau et on a hâte de découvrir le fin mot de l'histoire. On fait le tour de tous les classiques de l'horreur et c'est plutôt bien orchestré, moi qui n'y connaît quasiment rien j'ai trouvé ça très instructif. de plus, la façon de fonctionner et d'interagir de ce groupe d'ados semble assez crédible. Pour ma part j'ai donc trouvé que c'était un récit efficace et réussi. Même si la fin est sans réelle surprise au moins elle est assez réaliste et plutôt bien vue pour que le récit retombe sur ses pattes.

Dans la maison est un livre passionnant dans lequel 8 lycéens se retrouvent emprisonnés das une villa du col de Vence. Ils se sont lancés un défi, se faire peur mais cela tourne mal et se font enlever un a un . je dirais que c'était un sorbet de frissons avec une pointe d'art et de romance

C'est un livre plein de suspense, qui m'a fait peur à plusieurs reprises, et pourtant je n'ai pas facilement peur en lisant un livre. Il y avait une ou deux petites choses irréalistes. Ce livre n'est basé que sur des canulars, il était très facile de deviner que la disparition successive des adolescents était encore un canular. C'est dommage, car j'attendais quelque chose de plus. C'est toutefois divertissant.

En ce moment, grosse panne de lecture pour moi. le seul endroit où j'arrive à lire quelques pages: ma baignoire! du coup, j'ai lu quasiment tout ce livre dedans 😂.

J'ai beaucoup aimé l'ambiance que l'auteur a installé dans son livre. Au début, à plusieurs moments, j'ai senti quelques montées de stress (et c'est assez rare pour en parler!).
J'ai également apprécié les différents rebondissements et la personnalité de certains des personnages!

Cependant, ce n'est pas un coup de coeur car j'ai trouvé la fin un peu trop alambiquée. Une très bonne lecture sous tension donc, à lire où vous voulez! 😁
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Un samedi soir, une soirée entre amis, une maison isolée, des ados qui jouent à se faire peur. Dans La Maison, est un huis-clos pour ados. Il y a tous les éléments pour nous faire frissonner. Des ados alcoolisés, désinhibés, à la personnalité marquée, une maison reculée en pleine campagne et bien entendu, sous une tempête battante, une disparition.
C'est un thriller young adult. Il y en a peu ! C'est donc toujours sympa de les découvrir, d'autant que Philip n'en est pas à son coup d'essai pour embarquer les ados dans un certain nombre d'aventures – je te conseille, cher lecteur, sa série six.
Mais je m'égare. Je reviens Dans La Maison, sur les hauteurs de Vence. Un lieu que l'auteur connait bien. Au sein de la bande, il y a Camille, Marie, Léa, Mathilde, Quentin, Maxime, Medhi et Julien. Ils forment les « Huit ». Une petite bande issue de la section Arts Appliqués qui semble inaccessible, notamment à Clément celui qui veut être le neuvième. Et il y a le souvenir de Manon flottant parfois.
Pour égayer la soirée, ils décident de se faire peur. Pour chaque réussite, les perdants doivent boire. Au jeu de celui qui fera la plus grosse frayeur aux autres, chacun met son talent à contribution quitte à intégrer le savoir, la connaissance dont ils font preuve pour leurs études. Ils sont créatifs, ingénieux et diablement imaginatifs. Mais quand l'un des leurs disparait, suivi d'une autre, la panique secoue tous ceux qui restent dans cette maison loin de tout.
Philip sait faire monter la tension. Petit à petit, de la surprise, on glisse vers l'amusement. Puis on passe à l'effroi. L'accélération du rythme grimpe au fur et à mesure des chapitres. Je me suis amusé des manipulations de chaque protagoniste qui se plait à se jouer des autres. C'est un monde d'adolescent. Un univers qui ne m'est plus accessible, à moi, le nouveau quinqua. Mais c'est plaisant. L'adolescence reste un âge de découverte où l'on se sent capable de tout pour impressionner l'autre. Et en cela ils sont débrouillards et ont l'esprit fertile. Il faut avouer qu'ils bénéficient de la culture cinématographique de l'auteur. Elle est dense, comme ses références musicales qui s'égraine tout au long de ce roman .
Oui, il y a quelques facilités prises par l'auteur. Elles peuvent surprendre un lecteur adulte. Si cela te choque, il faut sans doute lire, le Neuvième Naufragé. Sinon c'est que tu es un lecteur encore jeune… à minima, dans ta tête.
Reste une fin atypique. Juste elle. Simplement elle. Elle fait que l'on ferme ce livre avec un sourire et la certitude d'avoir passé un excellent moment de lecture.

Lien : https://nigrafolia.fr

Un huis clos angoissant ! Alors j'ai bien aimée mais les personnages m'ont un peu lasser.. Et j'avais deviner la fin.. 😔 Mais bon l'atmosphère est présente.. Ca vous glace par moments et vu que je suis une trouillarde ça a bien fonctionner sur moi.

Si vous voulez passer une soirée à frissonner dans votre lit ou votre canapé, ce livre est fait pour vous. Son originalité tient du fait que les adolescents sont des étudiants en art appliqué, et pourvus d'une imagination et d'une culture des légendes urbaines sans limite. A-do-ré, et dévoré d'une seule traite !

8 lycéens en option artistique se prennent un petit weekend festif pour se distraire. Dans une maison isolée. Au milieu d'une forêt. Sous un orage battant. Thème de la soirée ? Celui qui a le plus peur boit son verre d'une traite. Rien de plus marrant pour ces gamins qui usent des stratégies pour être le meilleur à leur petit jeu. Jusqu'à ce que la nuit tourne au cauchemar.

J'ai eu du mal à vraiment me mettre dans le livre au début. le langage qui se force à être jeune tombe parfois dans un style caricatural qui m'a tiré quelques grimaces.

Cependant, lorsque le décor est planté et que la soirée commence enfin, impossible de déposer le livre. Lu en une journée, il m'a fait pas mal sursauter et le scénario est vraiment très bien ficelé. On est dans un roman jeunesse qui cultive beaucoup les mythes de l'horreur, du cinéma et des légendes urbaines. La relation entre les personnages ne tombe jamais dans le cliché et on ne perd pas de temps à s'attarder dessus. L'auteur m'a souvent subjuguée grâce à sa culture si vaste sur l'horreur. Un petit coup de coeur au final, sur lequel je n'aurais pas parié vu mon genre de prédilection (l'amour). Pas déçue !

Je vous le conseille, même si l'horreur n'est pas votre style mais que vous aimez avoir quelques frissons!

L'écriture est fluide. le rythme est haletant, maîtrisé. Il n'y a pas de temps mort. J'ai été prise dans cette histoire que j'ai lu en un jour. Impossible de lâcher ce livre. La fin est très réussie et surprenante. C'est très bien joué.
J'ai beaucoup aimé les clins d'oeil à plusieurs grands films d'horreur. Ça met d'autant plus dans l'ambiance.
C'est le premier livre que je lis de Philip le Roy et certainement pas le dernier.