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C'est une Réflexion sur la vie sur l'importance de chacun, et les relations .

Louise, perd son père quelques heures après la Mort de « Johny »
A travers la comparaison entre la mort et la vie de son père et celle de Johnny, et via les reportages sur ce dernier qu'elle accumule en se refermant sur elle, Louise va entamer une réflexion sur sa relation avec son père et les conséquences sur le développement de sa propre personnalité.

Malgré le sujet plutôt triste de la mort et du deuil, le début m'a embarqué, la plume est humoristique sarcastique.
Mais j'avoue avoir eu un peu plus de mal à avancer au milieu, des passages m'ont semblé un peu plus long. La fin la paru à nouveau plus fluide.
Un récit intéressant, un bilan lecture un peu mitigé. Après c'est peut être mes conditions de lecture qui n'étaient pas les mêmes ...

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C'est le deuxième roman que je lis de cette auteure et encore une fois j'ai été prise dans un maelström d'émotions.
La jeune Louise nous raconte son histoire ou plutôt ce qu'elle a vécu à la mort de son père. Mais voilà son père est décédé le même jour que Johnny Hallyday. A quelques heures d'écarts pour être exact. Et tout en faisant son deuil elle ne peut s'empêcher de faire un parallèle entre son père et la star française.
C'est touchant, troublant, déroutant.
J'ai parfois eu l'impression de revivre moi même un moment de deuil qui m'a particulièrement touché et tout en lisant les lignes je ne pouvais m'empêcher de penser à mes proches encore près de moi mais qui malheureusement un jour partiront.
Je suis ressortie de ma lecture un peu secouée mais profondément touchée par cette histoire triste et tellement belle. Plonger dans l'esprit de Louise c'est aussi plonger dans son propre esprit et s'interroger sur soi-même.
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La mort mais surtout le deuil sont des sujets tellement peu abordés dans la littérature, que ce soit blanche ou noire, que ce livre mérite qu'on s'y arrête.
En même temps, ce sont des sujets tellement personnels. L'auteur nous embarque donc dans son vécu, ses sentiments, ses souvenirs;
Il est vrai qu'il est déjà particulièrement douloureux de perdre un parent, qui plus est de manière soudaine et brutale, mais qu'en est-il quand une personnalité s'éteint le même jour...
Voici donc un livre qui aborde un sujet difficile, personnel mais on s'y retrouve totalement et on se laisse embarquer tout simplement aux côtés de l'héroïne.
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Comme souvent, c'est le titre de ce livre qui m'a interpellée. Je l'ai vu la première fois sur un site de lecteurs et je me suis bien demandé de quoi il pouvait retourner. J'ai lu le résumé et j'ai eu envie de le lire. Je remercie chaleureusement Elsa Levy qui m'a permis de découvrir ce bouquin paru en auto-édition pendant le confinement.

Le 5 décembre 2017, Johnny Hallyday meurt. La France est en deuil. Quelques heures plus tard, au fin fond de l'Aquitaine, Bernard Langlois meurt à son tour, dans l'indifférence la plus totale. Comme un con.

Ce bouquin, c'est l'histoire d'un deuil. Louise va devoir faire le deuil de son père qui décède quelques heures après Johnny. Autant dire que la France entière semble accaparée cette perte, le pays est comme à l'arrêt uni dans une même douleur. On s'en souvient bien d'ailleurs ! J'ai eu la sensation de faire partie de la famille Smet tant on nous a bassiné avec les préparatifs de l'enterrement, avant de tout retransmettre en direct. Je crois que, tout comme Louise, on a fini par s'attacher à l'Idole alors qu'à la base, c'est loin d'être notre tasse de thé. Mais bon, difficile de n'être qu'un anonyme face à Johnny, on ne fait pas le poids ! J'ai bien aimé ce parallèle qui sera fait tout au long du récit.

J'ai beaucoup aimé la plume d'Elsa Levy, elle virevolte, elle sait se faire légère et parfois plus grave lorsque c'est nécessaire. C'est un texte rythmé, le ton est à l'humour (oui il s'agit d'un bouquin sur le deuil et pourtant, c'est bourré d'humour) mais aussi à l'ironie, et j'ai trouvé le personnage de Louise très attachant car on peut très facilement s'identifier à elle. Son chagrin pourrait être celui de quiconque perd un parent. Surtout que le père, c'est un peu le ciment d'une famille. le sien particulièrement. Ce proviseur ancien prof d'anglais fan de Pink Floyd semblait avoir une grande autorité. On peut alors se demander comment le reste de la famille va se structurer suite à cette perte.

J'ai aimé découvrir la vie de Louise en explorant ses souvenirs. Louise se lance dans une introspection qui va la conduire à nous raconter des moments qu'elle a partagé avec son père. On a la sensation de s'immiscer dans la vie de cette famille plutôt ordinaire. C'est un récit assez intimiste et qui parlera à chacun d'entre nous. le dernier chapitre consacré aux obsèques de ce père m'a retourné le coeur tellement je l'ai trouvé juste. Les réflexions de Louise via à vis de la mort me correspondent tellement ... Je suis vraiment contente d'avoir pu découvrir ce court récit qui restera forcément dans un petit coin de ma tête pendant quelques temps encore.

Insolite, percutant, inattendu, drôle et touchant ... vous vous laisserez tenter ?
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Le commentaire de Martine :
Louise Langlois, une jeune libraire parisienne, qui vient de perdre son père Bernard, un homme autoritaire, sévère, qui était un proviseur de lycée. Imaginez-vous le jour du décès de Bernard, une idole française disparaissait, Johnny Hallyday. Suite à ces deux événements tragiques, Louise va commencer à mettre en parallèle la vie des deux hommes, voilà qu'elle vivra aussi une introspection de sa vie d'enfant, d'élève et de femme.
Un récit emplit de tendresse, de vérité, de libération. Un récit qui met le deuil et les sentiments qui lui sont reliés comme la tristesse, la dureté, la tendresse, la douleur et l'amour.
Elsa Levy porte un regard externe mais arrive bien à passer par l'héroïne, un message honnête et sincère du deuil, de la perte, de la solitude, c'est un défi en soi, qu'elle réussit même à mettre un peu d'humour dans ce drame. Un récit authentique, vrai et émotif, que je vous recommande.
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Si vous étiez en France en 2017, vous n'avez pas pu échapper à la folie médiatique qui a entourée la mort de Johnny. C'est justement ce qui arrive à Louise Langlois, héroïne de "Johnny a tué mon père". Sauf que Louise, elle s'en fiche car elle a perdu son père le même jour que Johnny a décidé de quitter notre monde. Même si c'est un événement terrible pour Louise et sa famille, il est totalement englouti par le vacarme des média.

Le sujet du deuil est assez difficile à gérer. Mais l'humour et l'ironie marquent ce roman, lui donnant une rythmique intéressante. Avec des phrases comme « Indisponible actuellement. Et pour l'éternité », Elsa Levy nous met le sourire aux lèvres.C'est la grande force de la première partie de ce roman ou les situations comiques font disparaître l'ambiance pesante du deuil. J'ai beaucoup aimé la scène où Louise allume les cierges de l'église avec son briquet en face du prêtre totalement choqué.

Mais ce roman comporte aussi beaucoup de scènes touchantes qui rappellent ses petites choses de la vie auxquelles on peut tous s'identifier. Il y a de très beaux moments entre Louise et sa mère. Même si j'ai trouvé Louise très dure avec elle certaines fois, et qu'on sent une certaine distance entre les deux femmes, il y a aussi de la tendresse. Sa mère est attachante et j'ai ressenti beaucoup de compassion pour cette femme qui fait de son mieux pour gérer le deuil tout en restant digne. Quand elle oublie de mettre ses chaussures et part dehors en chaussons alors qu'elle est tellement coquette en temps normal, j'ai eu le coeur brisé pour elle, tout en trouvant la situation assez cocasse.

Dès le début du roman, on rentre direct dans l'ambiance avec un beau « Ça c'est rock'n roll putain de merde! ». Elsa Levy n'a pas peur des mots crus qui feraient lever les yeux au ciel à certains amoureux de la bienséance. Pour moi, c'est clairement ce style décalé et non scolaire qui rend le roman intéressant. le choix des mots est osé ainsi que les comparaisons.On accrochera ou on n'accrochera pas, mais ça a le mérite d'être totalement assumé.

Bien malgré lui, Johnny va aider Louise à surmonter son deuil et lui montrer qu'il est grand temps de vivre sa vie et se libérer de son besoin perpétuel de plaire à son père (un peu dommage quand même qu'il ait du mourir pour qu'elle le réalise). Elle se trouvera des points communs inattendus avec le chanteur, se noiera dans sa vie pour oublier d'affronter la sienne. Et il sera même celui qui lui donnera les armes pour un savoureux pied de nez rock'n roll à la fin du roman: de quoi bien terminer ce livre.
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J'ai eut du mal à lire ce livre au vu du sujet traité, le deuil, comme vous vous doutez bien en voyant le titre... Malgré la force du sujet, je n'ai pas fui face à cette espèce de défi personnel, je l'ai lu jusqu'au bout, malgré les difficultés qui se sont présentées à moi. La plume d'Elsa Levy est plein de sentiments : douceur, douleur, tendresse, dureté... À nombre de reprises, je me suis retrouvée à comprendre ce que Louise a pu traverser et combien cette situation peu finalement être bien réelle, la réalité de l'histoire n'a était que plus forte face à moi ... Au point où je me suis demandé si c'est ce qui était arrivé à l'auteure ?

Ce roman a perturbé mes émotions, mais m'a ainsi fait sortir de ma zone de confort et il m'a aussi permis de comprendre ce qui a pu se passer lors d'un de mes malheureux souvenirs auquel je suis lié depuis des années. Il a était une sorte de libération, mais aussi un claque à laquelle je ne m'étais pas forcément attendue, une claque émotionnelle qui m'a mise face à la réalité de nos jours...
J'aimerais remercier cette auteure pour cette oeuvre emprunte de réalité et de force inéluctable ! Mes émotions s'en dessus, dessous, sont la preuve que son texte est à découvrir alors foncez !
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Je ne remercierai jamais assez Babelio et Harioutz pour son excellent conseil de lecture. J'ai adoré ce livre qui vient d'être auto-publié en plein confinement par Elsa Levy.
Mon père vient d'être emporté par le Covid et je dois dire qu'en ces temps de deuil lire un livre qui dédramatise la mort m'a fait beaucoup de bien. C'est le pouvoir magique de la littérature !

Entre Bordeaux, où ses parents vivent, et Paris où Louise travaille à librairie Des pages & des pages, la jeune fille va apprendre le décès brutal de son père qui n'a que 50 ans. Il est déjà très douloureux d'apprendre ce genre de nouvelle mais quand cela arrive le même jour que la mort de Johnny Hallyday, le 5 décembre 2017, on a l'impression de n'être pas grand-chose vu le ramdam que font les médias. Alors que Louise est choquée de voir la librairie où elle travaille se transformer en point de vente de biographies diverses et variées de l'idole des jeunes qu'elle considère plutôt comme un plouc, elle rentre à Bordeaux pour épauler sa mère. C'est l'occasion pour la jeune fille de penser aux bons moments passés avec son père, le proviseur Bernard Langlois. Mais celui qui a été professeur d'anglais à la fac et qui faisait chanter ses élèves sur John Baez, les Cure ou David Bowie se fait voler la vedette par Johnny.
Alors que Louise aurait aimé rendre le moment unique, elle se surprend elle-même en s'intéressant au taulier et surtout à s'y attacher. Il faut dire que les documentaires sur Johnny sont nombreux et présentés comme une série difficile à lâcher.
Petit à petit, Louise, qui a de terribles montées de tristesse parce qu'elle ne reverra jamais son père, se sent aussi libérée de l'autorité paternelle. Il faut dire qu'en tant que proviseur, il avait érigé l'école comme une religion pour Louise dont le seul projet devait être la réussite scolaire. Alors forcément, voir sa fille passer des heures devant la télé à écouter Johnny Hallyday aurait été inconcevable et donc interdit par Bernard Langlois, mais maintenant qu'il va être incinéré il ne risque plus de se retourner dans sa tombe.
Cet humour m'a enchantée car le ton est juste et même si la version numérique comporte beaucoup de coquilles cela ne retire rien est la qualité d'écriture d'Elsa Levy.


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Louise est une jeune femme qui travaille dans une petite librairie parisienne. Son père décède le même jour que Johnny Hallyday. Entre funérailles nationales pour Johnny et l'enterrement classique pour Bernard. Ce livre nous laisse voir les réflexions et sentiments de Louise pour les deux enterrements. Entre ces deux décès, Louise met sa vie sur pause et observe les personnes qui l'entourent et de s'auto-analyse. 


Johnny a tué mon père est un livre vraiment originale sur le thème du Deuil. Malgré le drame de la situation, l'auteure nous plonge rapidement dans le quotidien de Louise avec humour. Elle met en parallèle la mort de son père et celle de Johnny.

J'ai apprécié ce roman qui est très bien écrit avec une plume fluide, accrocheuse et inventive. J'ai également aimé les dernières lignes qui se terminent sur une note de positivité. le massage du livre est fort: profiter de l'instant présent avec ceux que vous aimez !

Un livre à découvrir sans plus tarder. 


Je remercie l'auteure pour ce service presse !

Lien : https://leslecturesdelauryss..
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Elsa L. nous livre en ce début 2020 son 3ème acte :
Johnny a tué mon padre. (j'aime bien le rythme du titre avec padre dedans)

Petite fiche de lecture perso, en 3 axes. Rapide, hein.

Sur la culture Française je surferai
Elsa L. met en perspective la perte brutale de son père et la mort de Johnny. A l'idée ( !) qu'on s'en fait de loin, l'approche semble casse pipe, délicate. Mon père ce héros contre Johnny le zéro ? Naaaan.
Trop simple.
Toujours est il que l'auteur surfe ici sur un lien qui nous unit, tous : Johnny Hallyday. (putain ce nom quand même, ça ne s'invente pas. Ou si, trop, justement)
Dès le début du livre, Johnny est là. Mort, et donc d'autant plus présent, en pleine phase de canonisation.
Johnny nous lie, Johnny nous agace, Johnny nous hymne.
De Paris à Bordeaux, de la rue Lepic à la gare St Jean, de la Tour Eiffel à la banlieue anonyme d'une ville moyenne, Johnny est partout.
Comme en vrai. Comme dans le vie, en France, de notre génération, et celle d'avant.
« C'était si bon d'être aussi nombreux à vivre la même chose au même moment »

L'idée fonctionne. Et on suit le cheminement de la narratrice au pas, de l'incompréhension teintée d'un sentiment de supériorité à la contagion populaire. Johnny nous hante.

Adolescente je me définirai
La narratrice, justement.
1ère personne juvénile et en état de choc, elle installe une distance, une pudeur, parfois une froideur, avec le lecteur mais surtout avec les autres personnages.
Ce qui peut surprendre s'explique toujours.
Maman est un peu empêtrée dans ses clichés ? Tonton est un gentil bouffon aux idées courtes ? La marraine ne viendra pas relever le niveau ? Ni personne ?
Normal. Pas de panique. La narratrice est jeune, le deuil est tout frais.
D'où un besoin de mise à distance, de protection, de pudeur instantanée et instinctive. Pudeur qui va un peu s'évaporer au fil des pages, et des moments de solitude, voulus ou non. Elle avance, et vite, et bien.
On note parfois des phrases à la Romain Gary(day) ou Ajar (Smet) « les femmes sont toutes plus ou moins des pisseuses ou des chieuses, il n'y a qu'à regarder la queue des WC publics (…). Chez les hommes la voie est toujours libre ». Simple, efficace : vrai. Comme une jeune te balance ta vérité sans ménagement.
Dans ta gueule, avec plaisir, de rien.

L'exorcisme je pratiquerai
Et oui. Car il ne s'agit pas seulement ici de bien rire sur le hasard des dates de disparition d'un tel par rapport à tel autre. Ben non, banane. Sinon ça tient pas.
Alors quoi ? Alors on sort le mégalomégadrame (comme malicieusement et faussement annoncé) sur l'histoire personnelle douloureuse de l'auteur ? Et non, t'y es toujours pas.
Non. Car il s'agit d'aller plus loin. Ou de simplement bien lire le titre (la couverture est très réussie à ce sujet).
Elsa L. décrit une naissance. Une naissance qui prend des allures de tabou, de tabou de tribu.
Un truc que chacun (et chacune, donc) a vécu, vit, vivra. Un truc que Johnny place au centre de sa construction personnelle et artistique : le père. Et comment le tuer.
La narratrice nous raconte progressivement, au fur et à mesure des cérémonies et des hommages à l'idole des plus très jeunes en parallèle avec les préparatifs des obsèques du padre, comment ce double acte, ces actes conjugués, vont tuer le père.
C'est là que c'est très fort.
Au début, on écoute du Pink Floyd vaguement rebelle, à la fin, on érige la discipline et la rigueur comme modèle d'éducation. Que s'est il passé, alors entre temps ?
Un apprentissage, pas si sage, un récit initiatique, un vrai.
Louise L. exorcise le père et l'emprise folle que celui-ci impose, quoiqu'il arrive, peu importe qui il est.
Personne ne juge. Personne n'est juge.
Et la boucle est bouclée lorsque Louise ou Elsa L. manie l'ironie sacrée devant le jury silencieux.
Tuer le père. Ok, mais pas sans mon Johnny. Qui l'eut cru ?
Pas Bernard L..
Et c'est bien pour cela que toute la musique qu'elle aime est bonne. Et contagieuse.
A la fin du livre, je tapais du pied. Sur la tête du padre.
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