AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,11

sur 229 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Quatre ou cinq étoiles ? J'ai longtemps hésité, mais ce roman d'anticipation qui nous miroite le monde de demain mérite bien les cinq, pour l'écriture qui sait restituer de manière vivante et visuelle un univers que nous souhaiterions encore loin, très loin de notre quotidien...mais pour combien de temps encore ?
Et c'est bien ce que Ligny sait faire...nous faire (très) peur dans ce roman extrêmement noir. J'ai mis beaucoup de temps a terminer ce livre...arrivee a la moitié du roman, je suis allée faire le plein de livres d'images a la bibliotheque municipale pour avoir des "bulles d'air" en provision... A force d'être balayée par des tempêtes de sables ou de l'eau, des ouragans, de trainer les pieds dans le sable omniprésent sous un soleil accablant, de me mesurer a la soif, la faim, les maladies, les insectes et autres parasites...et pire...devoir me confronter quotidiennement a la pire menace qui existe : les hommes qui n'ont plus grand chose en commun avec ce qu'on appelle "l'humanité"... Ces hommes et femmes qui pour survivre, n'ont plus que les moyens les plus primitifs...brûler, manipuler, voler, trucider, tuer...et pire encore... Ne plus pouvoir contempler la nature, dilapidée par les prédateurs qui n'ont que "hommes" de nom (!)...parce que il ne restera plus rien...L'auteur ne m'a pas permis de lire un livre, il m'a permis de le vivre ; vivre et ressentir aussi ce que vivent et subissent une poignée d'hommes et femmes qui affrontent des conditions de vie innommables...
Commenter  J’apprécie          482
Je suis arrivée sur cette lecture au "hasard" des challenges, un pavé primé, d'un auteur dont le nom commence par un L. Ou comment Babelio permet de faire des découvertes, et en plus ici une belle découverte.
La SF n'est pas franchement le genre de roman vers lequel je vais naturellement.
Je me suis laissée emmener dans un histoire un peu noire, tellement noire que j'ai du suspendre la lecture quelques jours avec des choses plus légères et plus faciles.
Mais toute cette noirceur, est documentée et expliquée, et donc devient parfaitement réaliste.
Mon problème est que ce type de raisonnement heurte un peu trop mon optimisme naturel, et je ne sors pas de cette lecture d'une humeur très joyeuse. Mais ça donne matière à beaucoup de réflexions.
Commenter  J’apprécie          202
Exodes ... ou le récit entrecroisé de 6 destinées dans un monde d'où l'espoir a fui. Trop chaud sans doute. Car la Terre décrite dans Exodes est celle d'un futur pas si lointain, un futur qui pourrait bien nous pendre au nez, ou au nez de nos enfants, si le réchauffement climatique continue sa course infernale. Il fait chaud, terriblement chaud, la végétation, les animaux sont presque tous morts, la lutte pour survivre est quotidienne : trouver l'eau, de quoi manger, ne pas tomber malade surtout.

Au milieu de tous ces morts, certains ont la chance de vivre dans les Enclaves, sortes de dômes qui protègent leurs occupants des méfaits du réchauffement climatique. Mais les enclavés savent que ce n'est que partie remise. Ils cherchent d'autres solutions, désespérées, pour fuir cette Terre moribonde.

Les six chemins que l'auteur nous narre nous emmène aux quatre coins d'une Europe qui dépérit ...

* La famille Gorayan qui a la chance de vivre dans l'enclave de Davos, en Suisse. Ce monde-là est clos, sélectif jusqu'à donner envie de vomir, l'oligarchie de Darwin Alley fomente des projets archi-secrets pour les tirer de là. Ceux-ci ont l'air d'avoir la meilleure chance de survie ... A moins que ...
* En Italie, Paula Rossi et ses deux fils en quête désespérée d'un médecin qui pourra guérir la maladie du plus jeune. ...
* Mélanie, qui vit à l'écart d'un petit village français (je suppose en fait, pas le souvenir que cela soit dit clairement) qui tente de survivre. Les villageois ne l'aiment pas, elle est bizarre : elle recueille les animaux blessés et les soigne. Quelle naïveté peut pousser un être humain à être végétarien dans un monde pareil ?
* Fernando, qui fuit Séville et sa mère bigotte dans l'espoir de rejoindre le Nord, où le temps serait plus clément. Il rencontrera les Boutefeux sur son chemin, ces êtres sans foi ni espoir qui arpentent la Terre en quête de quelque chose à brûler, comme si le soleil ne s'en chargeait pas déjà lui même.
* Mercedes, la mère du précédent, qui a rejoint la secte "Los Niños del Paraíso" dirigée par un Padre à la main de fer. Son rêve à elle c'est l'arrivée des Anges de Dieu sur Terre qui viendront sauver les plus méritants, dont elle espère faire partie ...
* La famille Erikson vivant sur les îles Lofoten en Norvège. Ils possèdent un bateau pour pêcher ... pêcher des poissons contaminés par la pollution. Les îles sont plus épargnées que le sud du pays mais elles sont littéralement envahies par les réfugiés venus du sud. Ils sont trop nombreux pour l'espace dont ils disposent.

Pour avoir écouté Jean-Marc Ligny en conférence,je me doutais que ce n'était pas un homme optimiste. A la lecture de ce livre, le doute n'est plus permis. le portrait qu'il nous dresse de ce futur est sans concession, sans espoir. A l'image des Boutefeux qui purifient les villes par le feu, l'auteur exorcise les démons du réchauffement climatique en les poussant jusqu'au bout. Campagnes désolées, mers polluées envahies par les méduses, épidémies, rivières asséchées, tempêtes de sables et orages dévastateurs, rien ne nous est épargné, au point, il me semble, d'en faire un poil trop. Avertissement ? Ou bien est-il déjà trop tard ?

Cette lecture se veut être un coup de poing, dans le ventre, là où ça coupe la respiration. Cela a presque été mon cas. En fait, comme dit plus haut, j'ai trouvé ça un brin outrancier. Tout ça va trop vite pour être naturel, tout ça est trop pollué, désertifié, battu et rebattu par les tempêtes et les épidémies pour que tant d'êtres humains puissent encore être en vie à ce stade. J'ai trouvé aussi que les personnages étaient vachement stéréotypés, sans doute dans le but de nous montrer une panoplie de comportements possibles. Les deux mis ensemble donnent l'impression d'un discours pédagogique à l'usage de ceux qui ne savent pas : voilà je vous montre l'étendue des catastrophes possibles et différentes options de réaction de gens, différentes options géographiques aussi. Cela m'a semblé un brin artificiel.

Par contre, c'est le seul reproche que je ferai à ce livre dont les pages se tournent toutes seules - le lecteur est, lui aussi, en quête d'un vain espoir jusqu'à la dernière page- ; la destinée de chacun des protagonistes prend aux tripes et les descriptions apocalyptiques font froid dans le dos.


Lien : https://dragongalactique.com..
Commenter  J’apprécie          102
Et si les conditions climatiques rendaient la vie impossible ?
Et si nous n'avions plus d'eau, presque plus de nourriture, plus de médicaments ?
C'est à cette hypothèse que s'attelle Ligny dans ce roman. Et ses réponses sont pessimistes : les riches se protègent dans des dômes, les autres survivent en communauté où règnent la violence, le vol et les drogues. Il n'y a pas d'espoir dans ce livre : le tableau est apocalyptique. L'humanité (sur Terre) ne survivra pas à ces conditions. Ça ressemble à l'état de nature de Hobbes (en dehors du dôme) mais l'espoir d'une civilisation est mort.
Si le roman Aqua était emprunt d'une solidarité (au moins de classe), dans ce nouveau roman il n'y a pas la place pour des " valeurs humanistes ". Et si cette fiction devenait notre réalité ?
Commenter  J’apprécie          72
Pénuries et réchauffement hors de contrôle : les populations s'enfoncent dans la débâcle terminale tandis que riches et puissants, dans leurs enclaves blindées, rêvent d'immortalité et de voyage interstellaire. À moins que tout ne se passe pas comme prévu… Un roman d'aventures enlevé où la sécession des élites suit sa logique propre.

Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2023/02/23/note-de-lecture-exodes-jean-marc-ligny/

Détruit par les pénuries de ressources – l'eau au premier chef – et par un dérèglement climatique devenu parfaitement erratique, le monde sombre. La très vaste majorité de la population qui n'a pas encore péri se terre dans les ruines, en petites communautés de survivants réunies par un stock de vivres, un puits, une source, ou quelques armes et munitions – selon une approximative doxa survivaliste, qu'elle ait été planifiée ou totalement improvisée lorsque les vagues du chaos ont frappé localement à telle ou telle porte. En dehors de ces caves, réelles ou métaphoriques, entre maladies mortelles en recrudescence accélérée et manque quasi total de médicaments, la folie prospère, incarnée par les bandes de mangemorts, pratiquant un cannibalisme brutal et instinctif, et celles de boutefeux, qui veulent réduire les restes du monde en un gigantesque incendie sur lequel tuer, danser et bâfrer, sous l'influence de la drogue monstrueusement addictive qu'est la rabia negra, avant de disparaître. Et puis il y a les enclaves : une centaine de villes dans le monde, sur-armées et sur-sécurisées, où les riches et les puissants, avec leurs mercenaires et leurs serviteurs, font semblant de pouvoir continuer à vivre leur vie d'avant – en rêvant en secret, au plus haut niveau, de longévité accrue, d'immortalité et d'échappée interstellaire.

Dans ce désert du réel, nous observons les trajectoires de collision, probables ou improbables, mais en tout cas volontiers dantesques, d'un chercheur en génétique et d'une fonctionnaire de l'immigration de l'enclave de Davos, d'une jeune mère de famille du nord de l'Italie cherchant à faire soigner quoi qu'il en coûte l'un de ses deux enfants cruellement malade, d'un boutefeu espagnol lancé dans une croisade peut-être bien plus personnelle qu'il n'y paraît, et d'une fervente catholique de Séville lancée par hasard (ou pas du tout par hasard) dans un périple organisé par un bien curieux chanoine vers le Saint-Siège, à bord d'une voiture blindée tout à fait digne de « Mad Max », justement.

Pouvant aisément apparaître comme une suite « logique » de « aqua™ »(2006), dont on retrouve de nombreux motifs amplifiés par la longue inaction persistante face au réchauffement climatique – mais pouvant parfaitement être lu indépendamment -, « Exodes », publié en 2012 chez L'Atalante, s'inscrit dans un certain « classicisme » désormais du sous-genre post-apocalyptique, ce qui le rend sans doute moins puissant et moins original que son prédécesseur, quoique tout aussi réussi sur la seule dimension de roman d'aventure.Une fois l'imaginaire « Mad Max » solidement installé dans nos consciences de lectrice et de lecteur (par les trois premiers films de 1979, 1981 et 1985, principalement, une fois pris le temps de leur imprégnation culturelle), sans même parler du déferlement zombie apocalyptique sur nos écrans au moins depuis 2001, il est de moins en moins évident de demeurer à la pointe de la littérature, de science-fiction ou non, sur un canevas de survivants dans un monde détruit : on sait quelles contorsions de génie, entre usages décalés de la poésie et variations rusées de registres, un Colson WhiteheadZone 1 », 2011) ou une Emily St. John Mandel (« Station Eleven », 2013) avaient dû imaginer pour y parvenir.

Dans un imaginaire aussi encombré depuis une vingtaine d'années au minimum, Jean-Marc Ligny trouve pourtant une belle ligne d'échappée, qu'il met en oeuvre avec un grand brio, en se penchant, à nouveau mais différemment, sur l'envie de sécession des riches et ultra-riches (accompagnés d'une part incompressible, éventuellement, de leurs mercenaires et serviteurs), poussée ici à son paroxysme logique (à peine quelques crans au-delà, toutefois et hélas, du travail documentaire d'un Hervé Kempf dans son « Comment les riches détruisent la planète » en 2007). Spéculant sur la logique de cette fuite égoïste, inscrite au coeur des logiques de celles et ceux qui pensent (sincèrement ou non) « porter le monde » dans la lignée d'Ayn Rand, et donc n'avoir guère de responsabilité vis-à-vis de la populace, l'auteur explore avec un redoutable mélange d'alacrité et de schadenfreude ces lendemains qui ne chantent guère.

Lien : https://charybde2.wordpress...
Commenter  J’apprécie          60
Dans la lignée de J.G Ballard ou J.Brunner, ce roman post-apocalyptique dépeint d'une manière pragmatique et plutôt effrayante les comportements humains face à la lente et inexorable extinction de l'humanité. Construit comme un vaste puzzle, Exode s'attarde sur différents personnages à la poursuite de ce qu'ils pensent être leur avenir. Certains vivent sereinement sous des dômes, les "enclaves", certains se battent pour survivre ou espèrent trouver un endroit préservé, d'autres enfin n'ont plus aucune illusion et n'aspirent plus qu'à "partir en beauté". S'attacher à ces personnages, c'est parcourir une terre redevenue hostile, rencontrer des esprits ravagés, côtoyer des êtres meurtris, éprouver leurs tourments, leurs espoirs, ressentir leurs blessures tant physiques que mentales,c'est vivre à travers eux l'urgence de la catastrophe. Échapper à l'enfer ou le déclencher, leur destin va fatalement se croiser et finir par se lier pour parachever le sinistre tableau d'un monde à l'agonie. Une vision de l'apocalypse dûment documentée, mettant en avant, outre d'éprouvantes expériences humaines, un constat d'échec sans appel. Un roman d'une noirceur extrême, percutant et parfaitement maîtrisé, aussi cohérent que réaliste à la fin aussi sombre qu'inéluctable ou l'auteur fait montre d'un humour plus qu'acerbe pour souligner le manque de clairvoyance et de discernement de l'espèce humaine.
Commenter  J’apprécie          60
Exode est un rassemblement de récits d'hommes et de femmes qui finissent par s'enchevêtrer. Les personnalités sont extrêmement différentes les unes des autres afin de créer un véritable éventail sociétal. C'est sombre, lugubre. La mort et le meurtre viennent dérouter le lecteur en un fulgurant éclair narratif.
Impossible de lâcher ce livre que j'ai quasiment lu d'une traite. le style est fluide et l'univers parfaitement construit. Lire cette fiction semble être comme marcher dans l'un de nos futurs possibles, il en résulte une sensation de réalisme effroyable !
Commenter  J’apprécie          50
Roman apocalyptique comme je les aime. Cependant un peu trop violent et pessimiste. Je pense que la fin de l'humanité (inéluctable) ne se fera pas ainsi. Il y aura de multiples attitudes et modes de fonctionnement, seuls de petits groupes arriveront à survivre un certain temps. Les gens ne sont pas tous ultra égoïstes et violents, il y a malgré tout de la bonté dans l'être humain.
Commenter  J’apprécie          50
Après Roland C. Wagner et Pierre Bordage, je poursuis mon exploration de la science-fiction française avec Jean-Marc Ligny, un autre auteur à la longue carrière et récipiendaire de plusieurs prix majeurs dont le Grand prix de l'imaginaire et le prix Rosny aîné. Sa trilogie « climatique » a eu un grand succès avec Aqua TM (2006), Exodes (1012) et Semences (2015), trois romans partageant une même thématique, le changement climatique, mais pouvant se lire indépendamment les uns des autres. Et c'est par Exodes que j'ai d'ailleurs commencé.

Exodes est un récit post-effondrement (pour éviter le terme post-apocalypse que je n'apprécie pas vraiment) dont l'histoire se situe, d'après son auteur, vers la fin du XXIe siècle, sans qu'il puisse en préciser la date exacte. La Terre a subi de profonds changements qui la rendent de plus en plus hostile à la vie : montée des eaux, forte augmentation de la température, tempêtes violentes, assèchement généralisé, épidémies… Une grande partie de la population mondiale a disparu et ce qui reste de l'humanité essaye tant bien que mal de survivre dans un monde où les États et les institutions ont disparu. Quelques enclaves, des ilots technologiques sous cloche, garantissent encore un semblant de confort matériel et d'organisation sociale mais en dehors de ces dômes la vie est rude, très rude. Dans cette ambiance de fin du monde, nous suivons le cheminement de plusieurs personnages, dont les destins vont s'entremêler au fil des pages.

Exodes est un roman choral avec pas moins de six fils narratifs différents. Inévitablement, l'exposition prend du temps et il faut atteindre les 140 pages pour avoir fait la connaissance de l'ensemble des protagonistes. Ainsi, j'ai pu sentir un peu d'impatience naitre en moi car l'intrigue tardait à se révéler. Cependant, la structure du roman est finalement très bien pensée, même originale, et permet d'éviter un écueil récurrent dans ce genre de récits, celui de nous faire attendre trop longtemps avant de retrouver un personnage, au point d'en oublier ce qu'il était en train de faire quand on l'a laissé. Six histoires différentes en 550 pages, cela fait un peu moins de 100 pages par fil narratif. C'est un peu léger et cela m'a paru trop peu pour pouvoir développer suffisamment les différents personnages. Malgré tout, un fois le roman terminé, j'ai estimé que l'auteur avait su trouver un bon équilibre, de sorte qu'il permet à la fois de faire vivre raisonnablement ses personnages sans pour autant nous servir un pavé de 1000 pages.

Parmi les points négatifs que j'ai pu relever au cours de ma lecture, il y a le langage utilisé qui est courant voire familier, y comprend dans la narration. Je n'ai pas toujours apprécié ce style et, par moment, j'aurais préféré une écriture un peu plus littéraire. Il y a aussi un certain nombre de personnages secondaires que j'ai trouvés assez caricaturaux, beaucoup d'hommes sont libidineux au possible et même des violeurs en puissance et les femmes sont trop souvent sexualisés (même constat que dans Wang de Pierre Bordage).

En revanche, le roman possède de grandes qualités. L'univers post-effondrement est à la fois classique mais aussi bien décrit et très réaliste, ce qui le rend d'autant plus effrayant (est-ce l'avenir qui nous est réservé?). L'auteur introduit également dans son univers deux catégories d'humains ayant mal tournés, les Mangemorts et les Boutefeux, que je ne décrirai pas pour préserver la surprise et le plaisir de la découverte. En ce qui me concerne, je les ai trouvé… très marquants. Et puis l'atout principal du roman reste son histoire et la façon dont elle est construite et racontée.

A la traditionnelle question : aurais-je envie de le relire un jour ? Je réponds oui sans hésiter. Je le relirai sans doute pour me replonger dans cette univers et pour revivre certaines émotions que le récit a su susciter en moi.

C'était donc une belle découverte, une première rencontre concluante avec Jean-Marc Ligny et cela m'a donné envie de poursuivre sa trilogie climatique avec, par exemple, Aqua TM. Je recommande !
Lien : https://bibliobatuco.wordpre..
Commenter  J’apprécie          40
très bon roman d'anticipation, fin du monde un peu glauque, mais qui dépeint malheureusement un avenir qui sera peut-être ressemblant à celui-ci décrit.
on s'attache à tous les personnages, tous différents et venus de "monde" également différent, c'est bien écrit et si encore nécessaire pour certain ça met en exergue l'urgence de l'action face au dérèglement climatique
Commenter  J’apprécie          40




Lecteurs (625) Voir plus



Quiz Voir plus

Lexique de "la mort peut danser" connaissez-vous?

"dagda" signifie?

dagua
papa
dieu-druide
dieu-guerrier

9 questions
4 lecteurs ont répondu
Thème : La Mort peut danser de Jean-Marc LignyCréer un quiz sur ce livre

{* *}