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J'ai beaucoup aimé cette bande-dessinée, plus encore que je ne l'imaginais lorsque je l'ai choisie à la médiathèque. Les dessins m'ont beaucoup plu et les personnages ont des "trognes" très reconnaissables et attachantes. On suit les habitants d'un village dans la campagne québecoise, en particulier Marie qui reprend le magasin général alors que son mari vient de décéder. On se rend compte de l'importance de ce commerce qui est le seul point de ravitaillement du village, mais c'est aussi une sorte de cordon ombilical avec la petite ville voisine puisqu'on y trouve le téléphone et que Marie semble être la seule à avoir une voiture et qui fait aussi office de taxi à l'occasion.

Ce premier tome est comme une introduction à la série : il se passe beaucoup de petites choses, mais il n'y a pas une vraie intrigue. On découvre les personnages hauts en couleur, leur mode de vie tandis que les saisons passent, les bons moments et les plus difficiles. C'est souvent drôle (et le parler québecois n'y est pas pour rien), c'est presque aussi souvent émouvant...

J'ai adoré et j'ai hâte de lire le prochain tome, la semaine prochaine...
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Deuxième lecture, comme souvent avec les BDs que j'apprécie le plus : je commence par lire l'histoire, puis je reviens plus tranquillement apprécier le dessin, le découpage, la narration...

Pour le Magasin général, j'ai en fait emprunté les albums petit à petit en médiathèque, et dès le premier, j'ai su que je ferai un jour l'acquisition de la série. C'est maintenant chose faite, j'ai choisi l'intégrale en trois volumes, qui sont en plus de bien beaux objets.

Comme à mon habitude, je préfère chroniquer les albums de façon séparée. Dans ce premier opus, on fait la connaissance de ce petit coin de Québec -- le village est un personnage à part entière et son évolution au fil des saisons rythme le récit -- et de ses habitants. Tous, premiers et seconds rôles, auront leur importance par la suite, au gré des différents albums, mais celui-ci est centré sur la jeune veuve Marie, qui assume désormais seule la responsabilité du magasin du village, indispensable à tous, et pas seulement pour l'incroyable éventail de marchandises qu'il propose. On y trouve en effet le seul téléphone du village, le seul véhicule à moteur...

Le dessin des deux compères Loisel et Tripp, éclairé par les couleurs de François Lapierre, sert à merveille un récit qui se met en place par petites touches, tout en délicatesse. Les interventions de Félix ajoutent juste ce qu'il faut de nostalgie, sans tristesse. Un très beau départ pour une série qui va encore se bonifier au fil des albums et se révéler incontournable.
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Grande découverte pour moi, j'ai emprunté à la bibliothèque ce premier tome car j'ai tout de suite adoré les dessins qui sont magnifiques et j'ai tout autant adoré l'histoire ! Les deux auteurs, Loisel et Tripp, se complètent à merveille. J'ai adoré le fait qu'il y ait des passages avec seulement des illustrations, elles sont tellement bien réalisées, qu'elles nous font vivre la bande dessinée pleinement !

L'histoire de ses Québécois des années 20 est très prenante ! On découvre la vie de ses villageois de Notre-Dame-des-Lacs, toute en simplicité. Ce premier tome tourne autour du personnage de Marie, qui devient l'unique gérante du magasin central du village après la mort de son mari Félix. On découvre de nombreux personnages, ils sont tous touchant et je pense qu'au fil des tomes je vais m'attacher de plus en plus à eux !

J'ai adoré le langage très chantant ! Ce côté vraiment typique avec le québécois, en lisant la bande dessinée, on peut entendre l'accent, ce qui est génial et rend souvent le récit comique.

Je pense que ce tome installe gentiment l'histoire et nous fait découvrir ses nombreux personnages avant de nous faire découvrir de vrai rebondissement (enfin je l'espère). Je vais de ce pas lire le tome 2 !
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un vrai plaisir, cette BD qui se passe dans la campagne québecoise des années 20: plaisir des yeux, avec les trognes des habitants du village, plaisir des mots avec ce parler québecois et ses expressions... Les personnages sont plus attachants les uns que les autres: entre le jeune curé un peu dépassé par ses paroissiens qui devient ami avec Noël, un vieux mécréant; Serge arrivé de nulle part, plus raffiné au départ que ses braves paysans mais qui va trouver sa place; jusqu'aux petits animaux adorables qui participent à l'histoire: chat, chien, canard... et surtout la jolie et sentimentale Marie, propriétaire du magasin général indispensable au village, devenue veuve et qui rêve d'une autre vie. Ici, les querelles sont violentes mais ne durent pas, des solutions sont trouvées. Les jurons et les baffes révèlent vite une certaine affection. 9 tomes qui passent trop vite!
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Magnifique. Une BD de très grande qualité. Graphismes superbes, histoire très touchante. Les recherches sur les expressions québécoises, tout est léché. J'ai attendu la sortie de chaque album avec tellement d'impatience !
L'histoire de personnages hauts en couleurs d'un tout petit village du Québec au début du XXeme siècle.
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Quel bonheur de suivre le quotidien de ces villageois québécois du début du XXème siècle. Dès que j'ouvre les pages de cet album comme des suivants de cette série, j'arbore un large sourire. Simplicité, truculence, débrouillardise, on a vraiment envie de les avoir pour voisins...
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Le décor : la campagne québécoise des années 1920, dans la paroisse de Notre-Dame-des-Lacs. le magasin général est la boutique centrale du village et l'histoire commence par le décès de son propriétaire Félix. Sa femme Marie reprend tant bien que mal le relais. On découvre dans ce village la vie des habitants, on commence à cerner leurs habitudes, leur mode de vie...Il y a beaucoup de personnages (trop ?) dans ce premier tome de présentation. La langue savoureuse parlée dans la région apporte un humour très agréable. le décor semble planté pour la suite : à suivre.
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Cet album nous ramène dans le fin fond du Québec des années 1920-30, dans la petite paroisse rurale de Notre-Dame-des-Lacs, habitée par quelques familles. En ouvrant cet album on va s'inviter au sein de cette petite communauté campagnarde québécoise au moment où elle vient de perdre Félix Ducharme, qui tenait le Magasin Général, la plaque tournante de ce petit village.

Comme tout l'équilibre de cette communauté repose entièrement sur le curé et le Magasin Général, Marie, la veuve de Felix, sera vite rattrapée par le quotidien du village et n'aura donc pas vraiment le temps de faire le deuil de son mari.

L'histoire, qui se ‘limite' en fait à suivre le quotidien de cette communauté, est donc assez simple. Mais, cette simplicité du récit permet de mettre en avant le caractère des différents personnages, tous plus expressifs les uns que les autres.

Il y a d'abord Marie, toujours prête à rendre service, qui est une ode au courage des femmes dans ces moments difficiles. Et puis il y a ce curé vraiment attachant et non dépourvu d'humour qui est pour l'instant mon favori avec le sympathique charpentier. Et comment passer à côté de ces trappeurs qui sortent des bois entourés de mouches comme les trolls de la série « Trolls de Troy » (faut-il également craindre pour le look d'un éventuel coffret de cette trilogie ? ).

Tous les personnages sont tellement remplis d'humanité et de générosité que l'on ne s'étonnerait d'ailleurs pas de voir apparaître Charles Ingals au coin d'un des champs . Et afin d'augmenter l'authenticité de ce petit village dans la prairie, les auteurs (avec l'aide du montréalais Jimmy Beaulieu) ont également opté pour une narration franco-québécoise compréhensible des deux côtés de l'Atlantique et riche en expressions locales savoureuses.

Et que dire de ce dessin hybride Loisel – Tripp ? Régis Loisel (« Peter Pan », « La quête de l'oiseau du temps ») au crayonné des planches et Jean-Louis Tripp à l'encrage et à la finalisation des dessins. Une alchimie magnifique entre ces deux grands talents, qui nous reproduisent cette tranche de vie québécoise avec brio et nous livrent plusieurs planches muettes merveilleuses.

Bref, même si pour l'instant le scénario est un peu léger, on s'attache aux personnages dans ce premier tome d'une cohérence graphique remarquable. On apprécie et on va presque jalouser ce bonheur, cette quiétude, cette solidarité et cette tolérance qui animent cette microsociété harmonieuse dont la vie tourne autour du Magasin Général et de Marie. Quel contraste avec l'intolérance qui règne au sein d'une société articulée autour d'un petit écran !

Hostie !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Un ptit tour par le Québec ça vous tente ?! C'est une réelle immersion...alors attention pas de méprise : aucune Céline Dion à l'horizon ! ... Car la BD se déroule en 1926 ! Mais vous ne perdez pas au change : car c'est tout un village que vous gagnez. Il y a le curé ...et ses grenouilles de bénitier, il y a son institutrice, son simplet et puis il y a le magasin général tenu par la taiseuse mais généreuse Marie qui vient de perdre son époux...mais n'en disons pas plus ! Une fois le cap de la langue si particulière passé c'est une vraie immersion...je serai d'ailleurs bien restée encore un peu d'où l'étoile manquante pour ce goût de trop peu...peut être tari par le second tome !
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Entre-deux-guerres, Québec, Notre-Dame-des-Lacs est un petit village où la joie de vivre a depuis longtemps quittée les habitants. Ils forment malgré tout une communauté solidaire gravitant autour de deux piliers, l'Eglise, et le Magasin Général véritable coeur de vie du village et seul lien avec le reste de la province car il est équipé d'un téléphone et les propriétaires possèdes un véhicule motorisé.
Le temps se déroule à un autre rythme à cette époque, en plus des cycles agricoles, à chaque hiver, les hommes partent travailler dans les camps forestiers pour de longs mois coupés de leurs familles.
Seulement voilà, en quelques semaines, l'abbé est décédé et est remplacé depuis à peine une semaine quand décède Félix, le patron du Magasin Général qui laissera Marie, veuve et sans enfants.
Marie, gentille épouse « de » , serviable, aimable avec tout le monde, n'est même pas née ici. Trouvera-t-elle la force et le courage de prendre les rênes de la boutique ?
Magasin Général est à la base le premier tome d'une trilogie qui deviendra elle-même la première partie d'une trilogie car la série compte au total 9 tomes. Ce premier opus, écrit et illustré à quatre mains par deux talentueux créateurs que sont Régis Loisel et Jean-Louis Tripp, n'a qu'un défaut, celui d'être le premier de la série dont le rôle est de mettre en place le décor et de nous présenter les personnages, il est donc un peu lent. Cependant, ce rythme ralenti, nous permet d'appréhender les dialogues qui, écrit en français du Québec avec l'accent rural, n'est pas des plus faciles à maîtriser.

Lien : http://imaginoire.fr/2020/10..
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