Premier tome de cette série qui me déçoit. L'action, délocalisée en Amérique du sud, manque un peu de rythme et de piquant. Certaines blagues touchent juste mais le scénario est un peu faible. Je reste sur ma faim quand à l'introduction de certains personnages, comme l'ex amoureuse anarchiste.
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Quel plaisir de retrouver cette petite bande, tout débute dans ce récit par une colère contre le capitalisme et l'interrupteur de la lumières dans les toilettes d'un café.
Ce récit va nous emmener dans un lieu plus dépaysant qu'à l'habitude car nous allons voyager en Guyane avec cette fine équipe.
Un récit un peu moins drôle que les opus précédents mais avec un aspect plus écologique également car il parle notamment des dégâts provoqués pour que l'humain s'enrichisse comme avec l'or entre autres.
Des dialogues un peu moins piquants que dans les précédents tomes mais cependant c'est toujours une agréable lecture et je poursuivrai l'aventure avec cette joyeuse bande.
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Beaucoup moins convaincue par cette escapade des Vieux Fourneaux en Guyane. Et même l'opération Geneviève organisée par "Ni yeux ni maîtres", en ouverture de ce tome, m'a moins fait rire que leurs précédentes manifs anti-système. Donc Pierrot et Antoine retrouvent dans l'hémisphère Sud Mimile et son ami Errol qui conscients que l'extraction d'or a un coût humain et environnemental peu justifiables, remettent par un tour de passe passe, et en connivence avec l'institutrice Clémence Kousou, leur trésor au collectif de lutte contre un projet minier local. Un nouveau chapitre s'écrit pour les Vieux Fourneaux, avec de nouvelles rencontres, dont Blandine, qui dans sa jeunesse avait le béguin pour l'anarchiste Pierrot, qui ne l'a calculait même pas.
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J'ai retrouvé avec plaisir notre trio infernal. Cette fois, direction la Guyane, pour une histoire un peu en marge. On reprend des ingrédients connus : nos héros, beaucoup de râleries, une injustice pointée du doigt,...
On retrouve, parfois vite fait, quelques personnages connus, je pense notamment à Sophie, devenue personnage (très) secondaire depuis quelques volumes. mais aussi le vieux pirate et son accent anglais. L'histoire est bien ficelée, et dénonce, comme le précédent, une aberration écologique... liée, comme toujours, au capitalisme (avec quelques petites notions de philo/économie anar au passage). Et, loin de juste dénoncer cela, nos larrons vont trouver le moyen de proposer une solution, et de donner un petit coup de pouce.
J'ai passé un bon moment de lecture, j'ai bien rigolé des frasques et des expressions constamment renouvelées de ces irrésistibles vieux fourneaux. Rien à redire au sujet de ce tome... Mais un peu déçue quand à l'évolution de cette série. Si j'apprécie que chaque tome dénonce un sujet de société, j'ai le sentiment qu'il n'y a plus vraiment de fil rouge, ou que celui-ci est dilué. Certaines choses restent en suspens depuis quelques temps, comme si l'auteur avait changé d'idée en route. Je me demande du coup où l'on va, et, j'avoue, j'aurais aimé qu'il y ai autre chose qu'une succession d'histoires.
Au delà de cette petite déception, c'est toujours un plaisir de retrouver un nouveau tome des Vieux Fourneaux !
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Antoine et Pierrot, toujours aussi râleur, partent retrouver Emile en Guyane et ils ne sont pas au bout de leurs surprises.
On retrouve avec plaisir nos papys rigolo et militants, et l'aventure passe trop vite.
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Autant les 3 premiers albums étaient drôles et les personnages de râleurs attachants, autant depuis le 4ème la série ne fait que se diluer dans le politiquement correct écolo-anarchiste et que les dialogues ne sont même plus amusants.
Il aurait mieux valu se limiter à la trilogie de départ et repartir sur de nouvelles idées que de surfer sur la vague du succès qui ne peut que décroitre.
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Retour de nos grognons préférés qui repartent en guerre en Amazonie contre le dérèglement climatique, les chercheurs d'or, les capitalistes de toute sorte.
Ce qui est un peu fort car finalement ils ont basculé dans le camp des "riches" mais comme ils sont fidèles à eux mêmes, ils vont redistribuer à leur manière.
Moins portée sur la tendresse que sur l'action que le précédent opus; cela reste de bonne tenue.
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