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On retrouve avec joie Antoine Émile et Pierrot dans cette nouvelle aventure.
Notre râleur national Pierrot et Antoine rejoignent sur son invitation Mimile en Guyane pour un voyage au coeur de la jungle et du pays de l'or jaune.
Une BD toujours aussi sympa à lire, avec ses petits messages passés à peine subtilement (ici sur l'exploitation des mines d'or en Guyane) mais c'est ça qui marche et qui donne envie de lire la suite, d'autant que l'humour et les punchlines de nos 3 compères sont toujours au rendez-vous, et heureusement !!
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Ha... toujours sympa de retrouver "les vieux dégantés". Les échos avec les luttes actuelles sont toujours là pour le plus grand plaisir. Mention spéciale au message autour de la stupidité du remembrement agricole ! Par contre j'ai trouvé ce tome moins drôle que les précédents. Plus qu'à lire la suite.
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Je ne sais pas vraiment pourquoi j'ai attendu autant de temps avant de lire un autre tome des Vieux fourneaux. J'avais peut-être peur d'être déçue et de moins aimer ? Mais ça n'a pas été le cas !

Dans ce sixième tome, nous retrouvons nos trois comparses pour une virée en Guyane. Tout part d'une idée de Mimile, qui a ommis de dire à Antoine et Pierrot les véritables raisons de ce voyage... Au programme : des pluies tropicales, une pièce de théâtre improvisée, une ancienne prétendante de Pierrot et, surtout, la surprise de Mimile...

J'étais ravie de pouvoir enfin retrouver les trois personnages que j'apprécie tant, les vieux anarchistes, même si j'ai trouvé dommage qu'il n'y ait pas davantage de confrontation et de rencontre entre les générations. Bien que j'ai un poil moins aimé que les tomes précédents, l'histoire était à la hauteur de mes attentes !

Encore une fois, j'ai beaucoup rigolé lors de ma lecture, mais pas seulement. En effet, ce voyage en Guyane est en réalité l'occasion pour Mimile de dénoncer la pollution de la Guyane pour enrichir les pays riches. Wilfrid Lupano a dénoncé, une fois de plus, des agissements, au travers d'un scénario rocambolesque.

J'ai adoré cette lecture, un régal d'une cinquantaine de pages mêlées de rires, d'émotions et de contestations. Retrouver les trois vieux militants était un véritable plaisir. On pourrait croire à une fin de saga mais ça n'est pas encore le cas... Tant mieux, dans un sens !
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Nouveau tome qui se passe en Guyane où Émile a invité Antoine et Pierrot. La recette fonctionne toujours pour moi et j'aime beaucoup ces bandes dessinées (au point que ça fait partie des rares séries que j'achète).

Le tome est centré sur l'or avec deux historiettes: la première est une leçon d'histoire donnée par le loup en slip avec un nouveau spectacle de Sophie sur la rencontre entre les occidentaux et les autochtones de Tonga où le roi Ulukalala II découvre la monnaie et considère que c'est trop dangereux par rapport au troc car ça crée l'avarice et l'égoïsme. J'ai découvert aussi la notion de “chrématistique” d'Aristote. J'adore ces spectacles du loup en slip! J'aimerais qu'ils existent vraiment pour emmener mes enfants.

La seconde passe par la découverte de la nature envahissante à la suite de notre trio infernal et surtout de sa destruction à travers les mines d'or clandestines et le projet de mine d'or gigantesque contre lequel les autochtones se battent : “Pour une bague en or, c'est 20 tonnes de déchets toxiques déversés dans la forêt.”
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Résumé : Pierre et Antoine sont invités par Mimile en Guyane, ce qui est loin de ravir Pierre qui va détester la nature, les moustiques, la pluie… Mais ils vont aussi participer à de bonnes actions, par suprise !

Mon avis : J'adore cette série avec nos héros âgés, mais loin d'avoir la langue dans leur poche, et faisant le plein d'aventures.

Et là, ils vont être servis, car Mimile leur envoie une invitation mystérieuse pour la Guyane. Autant Antoine est enchanté, autant Pierre ne va pas arrêter de râler contre la nature trop naturelle, les moustiques trop piquants, la pluie trop forte, ou les singes trop envahissants. Mais nos amis auront l'occasion de renouer avec leur passé de pirates, sur les planches, comme dans la vraie vie.

Leur voyage va être ponctué de rencontres mêlant passé et présent, et ils vont contribuer à de bonnes actions et continuer à être activistes.

Un vrai régal que de lire ce tome 6, avec un titre qui fait immédiatement sourire, car faisant référence à Tintin, et des aventures bourrées d'humour, mais sans oublier une part de réflexion sur la vie et l'action de l'homme. A lire !
Lien : https://docbird.over-blog.co..
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Effectivement, j'ai apprécié ce tome des vieux fourneaux dont je rattrape depuis peu la lecture.
de là à dire que j'ai été surpris, pas du tout.
Il y a toujours ce discours que l'on aime, qui se veut intransigeant et révolutionnaire. On est donc plus surpris par celui-ci. Un esprit d'aventure y règne encore, un peu tiré par les cheveux, certes, mais, ça tient debout à la fin. Sauf que l'on oublie un peu que les associations qui détournent parfois l'argent, que les personnes de confiance se comptent sur le bout des doigts, et surtout, que ça ne changera pas le monde... comme cette histoire en somme.
Si vous cherchez une bd doudou, la voici, sinon, passez votre tour !
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Les vieux fourneaux dans la fournaise et les moussons. Pluie et chaleur au pays de la déforestation et des mines d'or clandestines et officielles. Mercure, cyanure et arsenic au rendez-vous.

Un tome un peu moyen au service d'une cause importante (euphémisme). La destruction aveugle des faunes et flores et population au service du profit.
Lien : https://www.noid.ch/loreille..
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C'est l'heure de l'expédition sous les tropiques pour nos vieux anarchistes en herbe : l'un des membres du "gang" les invite à les rejoindre loin de la capitale, en Guyane !
Un voyage organisé qui fait râler le parisien qui ne souhaite pas trop sortir de sa zone de confort, surtout après le deuil de son amie. Et pourtant, le voilà embringuer dans l'aventure. L'occasion de découvrir hors de nos frontières que les capitalistes font tout autant de mal à l'étranger et perpétuent un héritage colonial qui a simplement changé de forme.

De toute la série c'est l'album que j'ai le moins aimé.
Certes, les auteurs surfent toujours sur des faits de société actuels et indéniables, mais le filon m'a paru un peu trop facile. Quant à la petite histoire qui ramène à la jeunesse (et la bêtise qui va avec) du papi grincheux de la bande...je n'y ai pas vu grand intérêt...
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Le trésor de rascals les Rouges.
Tintin était le journal des jeunes de 7 à 77 ans. Les Pieds nickelés du 3e âge, Pierrot, Mimile et Antoine n'ont pas de limite pour réaliser leurs rêves d'enfance. le poids des années n'a plus cours. En partance pour la Guyane malgré les bougonneries de Pierrot, Antoine a des étoiles dans la tête. Mimile paye le voyage et l'hébergement à Apatou, commune rurale sur le fleuve Maroni qui sépare la Guyane française du Suriname. Mimile, cachotier en diable, les rejoindra plus tard. En attendant, ils auront loisir de découvrir la forêt et ses richesses naturelles. Un atèle juvénile, petit primate menacé de la Selva, élit domicile sur le crâne de Pierrot, à son corps défendant. Puis Mimile débarque et la fête peut battre son plein.
L'orpaillage illégal est un fléau pour les hommes et l'environnement contaminés au mercure. La recherche de l'or dans les rivières aurifères est visible depuis les satellites. Wilfrid Lupano a le don pour triturer un sujet sociétal, ici l'extraction de l'or destiné à satisfaire la frivolité des nantis et consorts puis faire graviter ses vieux compères complices autour. Tout en se dévoilant toujours un peu plus, ils prennent davantage de relief sans perdre ni leur entrain ni leurs âmes. L'âge ne leur a pas raboté les ailes et ce bain de jouvence dans leurs vieilles carcasses usées par la vie est vraiment réjouissant. L'humour est omniprésent. La légèreté est constante alors que des sujets graves et douloureux sont évoqués. le lecteur ne peut que s'esbaudir face aux facéties du singe-araignée qui trouve refuge sur la tête du Pierrot lunaire même s'il n'oublie pas que les primates sont décimés par les hommes et que les juvéniles privés de leurs parents et de leur groupe cherchent à s'arrimer quelque part coûte que coûte. Difficile de ne pas résister à l'allant des bons sentiments. L'altruisme est payé de retour par des chemins détournés. Paul Cauuet continue à délivrer une bande dessinée pétillante, expressive et attachante. La série se bonifie d'album en album.
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Un épisode exotique qui nous emmène en Guyane, dans une jungle source d'angoisse et donc de gags pour Pierrot le parisien. Nos apprentis pirates campagnards du Lot-et-Garonne réendossent leurs costumes pour jouer dans un spectacle de Sophie sur les méfaits de l'accumulation de la richesse pour elle-même (j'ai découvert à cette occasion la notion de chrématistique). le spectacle a plein de liens avec le passé de nos héros. Autre thème abordé : les conditions d'extraction de l'or (que j'ignorais, et c'est absolument glaçant…).
Toujours d'excellents dialogues et dessins, enlevés, bien vus, mais comme dans le tome précédent on aborde des sujets de société qui ne font pas rire du tout... On prend sa petite claque, bien méritée.
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