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3,77

sur 604 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Thriller captivant dans une Mongolie où la vie traditionnelle des nomades est menacée par l'exploitation minière.

Un polar dans lequel on trouve un peu de tout : des cadavres dans la steppe, des légendes anciennes et des châtiments à la manière de Gengis Khan, des ramifications de complot à New York et en Australie, des artistes vagabonds et des amours nomades.

Yeruldelgger n'est plus policier, il s'est retiré dans la nature pour méditer. Mais il n'a pas besoin de chercher les ennuis pour qu'ils lui tombent dessus! Bien loin de la capitale et de sa chère Solongo, il se retrouve sans le vouloir au coeur de conflits meurtriers. Entreprises multinationales, corruptions politiques, drames écologiques et populations sacrifiées, le « khan Delgger » aura bien du mal à faire la paix avec lui-même et à affronter les morts qui l'entourent.

Un bon suspens qui conjugue le dépaysement des traditions mongoles et les enjeux de l'industrie et de l'écologie.
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Vous doutiez que les héros de vos romans préférés soient des hommes comme les autres ?
Vous les imaginiez super-héros ?
Dans La mort nomade, Ian Manook casse le mythe.
Tout d'abord ,Yeruldelgger, son policier, qui est à la Mongolie ce que Bosch est à Los Angeles chez Connelly, Yeruldelgger, donc, est en train de soulager un besoin naturel derrière un rocher, quand arrive une femme qui vient lui demander son aide pour retrouver sa fille disparue.
Avouez qu'on a du mal à s'imaginer notre ex-flic les fesses à l'air avant de nous entrainer dans de nouvelles aventures.
Il fallait oser, Manook l'a fait.
Si j'osais à mon tour (oui, bien sûr,  je vais le faire) je dirais que, pour notre nouveau retraité, les emmerdements ne font que commencer...
Dans ce roman, Yeruldelgger n'est pas le personnage principal, on le retrouve régulièrement mais il y a plein d'autres protagonistes et de toutes nationalités.  Des Mongols, évidemment, des Français,  des Américains,  des Australiens ou des Chinois.
Là-dedans, vous avez pêle-mêle des victimes, des criminels, des flics, des putes, des ministres, des journalistes, des écolos, bref tout ce qu'il faut pour faire un monde où les riches cherchent à être toujours plus riches, où les pauvres sont exploités,  où les dirigeants sont corruptibles et corrompus où les policiers sont impuissants ou corrompus eux aussi et où certains tentent de renverser des montagnes pour se faire entendre.
Ce livre est un polar avec tous les ingrédients, de l'action et du suspense notamment , mais ce troisième volet consacré à Yeruldelgger est aussi un plaidoyer pour la Mongolie, sur les dangers de l'exploitation, par des multinationales sans scrupules, d'un sous-sol riche en matières premières.
Manook vous invite à rentrer sous la yourte, pour vous imprégner des traditions. Attention, si l'Urga est planté à l'entrée, n'en franchissez pas le seuil, au risque de rougir en entrant dans l'intimité de ses occupants.
Si j'ai été scotché pendant les trois quarts de ce roman, j'avoue que la fin, m'a un peu chagriné.  Pas tout à fait la fin d'ailleurs, puisqu'elle est plutôt réussie. Non, mais quelques pages avant, au moment des explications. Ça m'a rappelé ces "grands débats " auxquels on assiste en ce moment, qui sont censés vous donner la clé d'un monde meilleur mais qui vous perdent en route parce que trop long.
Bien sûr l'auteur s'en défendra, prétextant un discours nécessaire, il a sans doute raison, j'ai trouvé, pour ma part, que cela cassait le rythme du récit.
En tout cas, ce que je retiendrais c'est le plaisir que m'a procuré cette lecture.
Je continuerais de lire Manook, ou quel que soit le nom qu'il se donne.
P.S. : Urga, est aussi le titre d'un magnifique film de Nikita Mikhalkov aux multiples récompenses que je vous invite à découvrir si vous ne l'avez déjà fait.





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il s'agit d'un troisième volet d'un roman policier que nous avions énormément défendu à sa sortie et qui nous amène sur des contrées particulièrement exotiques et dépaysantes..

Le premier Yeruldegger, oeuvre d'un auteur à l'époque inconnu dénommé Ian Manook ( pseudonyme de Patrick Manoukian, ancien journaliste de 65 ans qui a déjà écrit sous d'autres pseudos) était un roman haletant, original et parfaitement dépaysant,puisqu'il avait pour décor la Mongolie, un pays peu usité par la littérature, policière ou générale.

Après un second volet de bonne facture, on retrouve pour la troisième fois avec plaisir le commissaire Yeruldelgger qui donne son nom à la série, dans la Mongolie des nomades et des chamanes

Retiré dans les plaines mongoles, loin d'Oulan-Bator, notre cher commissaire pensait pouvoir trouver la paix, mais c'était sans compter ces 2 femmes nomades , trainant dans leurs sillons une multitude de crimes commis dans différents endroits du globe, de New York, à Knowlton au Canada ou encore à Perth en Australie.

L'enquête policière est toujours chez Yeruldegger passionnante et pleine de surprise, et l'on retrouve avec plus de plaisir encore les descriptions des paysages et les spécificités de cette culture si différente de la notre sur pas mal de points.

Traversé, comme les précédentes enquêtes de Yeruldelgger, par de passionnantes réflexions géopolitiques et scientifiques, Manook n'en a pas finit de nous montrer une Mongolie partagée entre valeurs ancestrales et développement économique trop radical.


Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Toujours aussi efficace, le père littéraire du belliqueux ex-policier mongol!

Ian Mannok reprend une formule romanesque qui gagne, par le dépaysement, le sens du dialogue qui fait mouche (on peut d'ailleurs lui reprocher un certain excès dans l'outrance) et la noirceur de l'enquête. La confrontation des traditions séculaires et de la modernité mortifère de la Mongolie est encore une fois l'ossature de ce polar des steppes, construit par chapitres courts et nerveux, possédant chacun un événement percutant.

Pas de temps mort donc, dans les pas de Yerruldelgger qui sort, contraint et forcé d'une improbable retraite de policier un brin chaman, pour croiser la piste de quelques macchabées. Son implication dans les événements va d'ailleurs être plutôt négligeable.

L'essentiel se passe ailleurs: autour de lui s'organise une danse macabre de pas moins de 22 cadavres, en cercles concentriques de coups de mains nerveux et raffinés dans leur exécution.
Les infos nous arrivent de tous côtés, par de multiples personnages et imposent de la concentration et de la patience pour que le puzzle se mette en place. Se dessine une toile sauvage en filigrane, sur fond de nationalisme, corruption, enjeux stratégiques, géologiques et écologiques.
Mauvais temps pour le nomade mongol !
Et triste constat pour notre civilisation avide de profit.

La mort nomade conclut brillamment une trilogie dépaysante et bien ficelée.
Delgger Khan erre pour longtemps dans les sables chantants du désert de Gobi.

4/5 étoiles
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♫ Elle préfère l'amour nomade, c'est juste une question de crédo ♪ Elle rêve d'un long voyage au 7ème ciel ♫ Elle préfère l'amour nomade ♪ Elle se laisse aller sur les hommes ♫ La steppe en est fière, c'est tradition ♪

Entre Yeruldelgger et moi, ce fut tout de suite le coup de foudre, dès les premières pages du premier tome, quand j'ai découvert ce policier mongol pas comme les autres et son équipe.

Les deux premiers tomes m'avaient emportés dans les steppes de Mongolie, dans la misère de la capitale, Oulan-Bator, en France et je me demandais ce que le 3ème et dernier opus allait me réserver.

Un grand coup de pied au cul, c'est ce que j'ai reçu…

L'auteur nous offre un roman noir sur fond d'écologie qu'on viole dans tous les sens, sur un peuple qu'on spolie (pour rester polie et ne pas dire "qu'on baise en long et en large"), sur un peuple en butte avec ses traditions, avec ceux qui veulent les respecter et ceux qui trouvent ça d'un pathétique…

Niveau traditions, on en apprend plus dans cette trilogie que dans un guide du routard et c'est plus digeste ici, bien que, en ce qui concerne la cuisine locale, je ne pense pas que je me laisserai tenter par du ragoût de queue de mouton ou de la tête de chèvre bouillie…

Rien à dire du côté du dépaysement car l'auteur nous immerge dans la culture mongole aussi bien que si nous étions sur place. Oserais-je dire « mieux » ?

Oui, j'ose le dire parce que ses personnages ne pratiquent pas la langue de bois, nous livrent le fond de leur pensée et les traditions mongoles qui nous semblaient « chouettes » le sont beaucoup moins une fois expliquées en profondeur.

Ce qui fait aussi la force de ce roman (comme pour les autres), ce sont les personnages qui sont typés, travaillés, qui évoluent, auxquels on s'attache et qu'on a du mal à voir partir ou à quitter.

Même les méchants et les salauds sont travaillés, on aime les détester, on aurait envie de les étriper nous-mêmes et c'est encore pire quand le méchant est en col blanc. Oui, ici, rien à voir avec de la kaillera, on fraie avec le beau monde des magouilles, qu'elles soient politiques ou financières.

L'humour est aussi omniprésent des ces pages, comme si l'auteur avait bouffé un clown, me donnant des grands sourires fort bienvenus dans cette atmosphère fort sombre car l'auteur nous entraine dans ce que l'Humain a de moins glorieux : fric à gogo, prostitution, asservissement de l'Homme par l'Homme, destruction d'un pays, destruction d'un peuple, foutage en l'ai de la nature, et j'en passe.

Par contre, petit bémol, même si Yeruldelgger est toujours le plus productif, le plus créatif et le plus prolifique fouteur de bordel que je connaisse, il m'a semblé qu'il était plus en retrait, plus préoccupé par sa retraite, comme s'il prenait tous ces morts qui jalonnent son chemin à la légère.

C'est l'impression que j'aie eue, comme si le Yeruldelgger que j'avais connu était devenu plus détaché, juste préoccupé par le fait de ne pas se mettre en colère, comme si le flic en lui avait disparu, comme s'il était fatigué de la vie, de s'être battu pour des choses puériles tandis que dans son dos, on en a faisait des biens pires.

Ce sera mon seul bémol car l'auteur est arrivé à nous plonger dans une affaire complexe, aux ramifications importantes, à nous faire passer de la Mongolie, aux États-Unis, à l'Australie, au Québec et à relier tout cela sans forcer sur le trait ou en quittant le réalisme dans lequel nous chevauchions.

Parce que c'est ça qui fait aussi la force de cette histoire, c'est qu'elle est réaliste, elle est même sans doute encore en deçà de la triste réalité, parce que la fiction ne dépassera jamais la réalité, hélas.

Un roman noir dépaysant, des personnages que l'on était heureux de retrouver et triste de quitter, une critique amère de notre société de consommation, de la société mongole, un triste constat sur ce que devient le pays et son peuple, des magouilles, de la corruption au plus haut niveau, une méchante qu'on aimerait étouffer avec des queues de moutons en ragoût (et lui foutre une queue de billard où je pense), des paysages à couper le souffle, une terre martyrisée, écartelée, décimée…

Un roman qui a de la profondeur, du suspense, des messages, de l'humour, de la tristesse, de l'écologie et qui vous emporte dans les immenses steppes mongoles où l'on aimerait chevaucher, les cheveux au vent.

Merci à l'auteur pour cette belle trilogie…

Et attention, entre l'amour nomade et la mort nomade, phonétiquement, il y a peu de différence… La petite mort face à la grande mort.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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3ème et dernière enquête du commissaire Yeruldelgger. Un roman toujours aussi dépaysant qui se déroule en Mongolie.

Mais je ferais le même reproche que pour le 2ème tome, une enquête dense avec plusieurs ramifications qui m'ont fait perdre par moment le fil de l'histoire. Les personnages sont toujours aussi attachants, les dialogues toujours aussi savoureux.

Mais la fin du roman m'a attristé et j'aurais préféré un dénouement moins tragique. Je quitte à regret la Mongolie et son commissaire fétiche.
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Préparez-vous a voyagé à cheval ou en 4X4 encore une fois dans la steppe mongole.
Préparez-vous encore une fois à une épopée qui vus entraîneras d'un bout du à l'autre de la planète. Une aventure en Australie et aux USA !
Préparez-vous, si vous le pouvez, à faire vos adieux au héros de cette trilogie. On sent que cela va se terminer, le commissaire étant un peu moins présent que dans les tomes précédents.
La vie est ainsi faite de fin de cycle et de recommencement.
L'auteur nous distille son talent d'écriture avec brio.
Toujours cette manière de nommé le chapitres avec les mots qui vont le terminer, produisant ainsi chez le lecteur cette envie de savoir où cela le mène.
Préparez-vous à revivre tout cela...Une dernière fois.

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Voici le troisième et dernier opus de la série dont le héros principal, Yeruldegger, est un commissaire d'Oulan-Bator.

Les trois tomes sont désormais parus en poche et cette trilogie peut donc être un joli cadeau de noël pour les amateurs du genre.

Le lecteur le retrouve fatigué et usé par sa lutte incessante contre le crime. Il a quitté Oulan-Bator pour se retirer dans la steppe et méditer. Pour cela, il a planté sa yourte au coeur du désert de Gobi où il tente d'oublier la belle Solongo qu'il aime tant mais si maladroitement.
Mais décidément le destin encore une fois en a décidé autrement.
Il avait décidé de tourner le dos à son passé de flic, mais sa tranquillité sera de courte durée : le voilà sollicité pour résoudre plusieurs affaires intrigantes qui se déroulent près de chez lui.
D'abord, il y a Tsetseg venue lui demander de l'aider à retrouver sa fille disparue depuis plusieurs mois à présent.
Puis Odval, qui vient de découvrir que son amant, un géologue travaillant pour le BRGM français, vient d'être assassiné, et sa yourte entièrement détruite.
Enfin, il y a le jeune Ganbold qui a découvert un charnier au coeur de la steppe...
Mais ce n'est que le début !
En effet, les morts s'accumulent non seulement en Mongolie mais aussi à l'étranger. L'intrigue part dans différentes directions et s'expatrie jusqu'à New York, au Québec, en France et en Australie. Bien évidemment, les différents événements sont comme d'habitude, reliés entre eux, vous vous en doutez...
Bien qu'il ne veuille pas s'engager, et désire avant tout se tenir éloigné de ces crimes, Yeruldegger va se retrouver en plein coeur d'une révolte mongole contre les compagnies minières locales...et se mettre à la poursuite d'une superbe femme fatale, Madame Sue, qui règne d'une main de maître sur des entreprises internationales plus que mafieuses, et arrive à corrompre tout un pays, au détriment bien entendu des populations locales, ce que notre héros, vous le savez bien, ne peut laisser faire.

Encore une fois Ian Manook nous enchante par la beauté et la poésie qui se dégagent de ses descriptions des grands espaces et des coutumes de ce pays fascinant qu'est la Mongolie. Un pays qui aujourd'hui a du mal à préserver ses traditions face à la modernité qui l'envahit et attire de plus en plus les jeunes générations.
Mais cette modernité n'a pas que du bon et implique, en même temps que le capitalisme et le pouvoir de l'argent, l'entrée du pays dans des magouilles mafieuses impliquant les politiques les plus haut placés.

Le roman nous fait sombrer dans le réalisme, l'actualité, où la noirceur et la violence, comme dans ces précédents opus, peuvent choquer par moment le lecteur.
Personnellement quelques rares longueurs ont entaché mon plaisir de lire.
Comme l'indique le titre, l'amour et le sexe sont très présents dans cet opus où l'amour et la mort se côtoient. La "mort nomade", faisant référence à l'amour nomade, c'est-à dire à la tradition qui prévaut dans la steppe de profiter des rencontres fortuites sans arrière pensée.

Voilà donc un roman noir, très noir, parfaitement rythmé et qui sait nous offrir aussi quelques passages emplis d'humour. Son côté écolo rappelle à quel point la nature a été là-bas comme ici, ravagée par l'industrie, pourtant pourvoyeuse de travail.

L'émotion est au rendez-vous car s'il arrive encore à résoudre les affaires et à arrêter les méchants dont on connait assez vite l'identité, Yeruldelgger cette fois, va devoir affronter de nombreuses pertes et laisser derrière lui tout ce qu'il aimait le plus, mais chut...je ne vais pas vous en dire plus !

C'est la fin de la trilogie et même si ce roman-ci est d'après moi nettement en-dessous des deux précédents opus, je ne regrette pas de l'avoir lu car il clôt la série par une fin ouverte, qui laisse au lecteur la possibilité d'imaginer une suite possible...
Lien : http://www.bulledemanou.com/..
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J'ai lu ce roman dans le cadre du Prix Polar organisé par le Livre de Poche, que je remercie au passage de m'avoir permis de lire ce dernier opus consacré au commissaire Yeruldegger. Je connaissais le personnage pour avoir lu il y a quelques années le premier tome qui lui était consacré et qui s'appelait d'ailleurs « Yeruldegger », j'avais été séduite par le décor, par le contexte historico-politique de ce pays dont j'ignore tout, par le portrait de cet homme incorruptible en butte à un système judiciaire corrompu. Je pensais retrouver cela dans ce roman. Alors certes, on a bien à nouveau une charge dénonciatrice contre des multinationales qui pillent les terres de Mongolie et les détruisent pour des intérêts financiers énormes, on retrouve cette corruption endémique qui fait que le moindre inspecteur peut être assassiné dès lors qu'il approche de trop près des vérités qui dérangent. Mais j'ai été un peu déçue de voir que l'auteur nous baladait un peu partout dans le monde (aux USA, en Australie) pour les fins de son histoire, nous obligeant à nous concentrer sur des personnages secondaires qui ne nous intéressent pas beaucoup et qui, surtout, détournent notre regard de Yeruldegger. Superbe Yeruldegger, perdu dans le désert du Gobi à plus d'un titre, obligé de sortir de sa retraite, plongé dans un complot qui le dépasse, ballotté par ceux qui le rencontrent, cherchant désespérément à trouver la paix. Ce personnage m'a beaucoup émue, il y a une tristesse infinie qui émane de lui et qui rend la fin poignante. Il faut lire ce livre pour lui.
Lien : https://labibdeneko.blogspot..
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Et bien je suis ne suis pas déçue par ce 3ème volet des aventures de Yeruldelgger !
Alors que notre héros aspire à une retraite spirituelle, le voici pris dans un maelstrom de crimes sur fond d'une tradition qui se débat avec un modernisme triste et un niveau de corruption record des instances de pouvoir locales...
C'est formidable de rebondissements, de culture mongole, d'humanisme.
Un excellent moment...
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