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Thomas Cromwell a permis à Henri VIII d'annuler son mariage avec Catherine d'Aragon afin d'épouser Anne Boleyn. Les conséquences sont graves car l'Eglise d'Angleterre a pris son indépendance en rompant avec Rome.
Tout devrait donc être parfait, le roi satisfait….
Et bien non.
Anne Boleyn a bien donné une fille au roi, Elizabeth, mais de fils point.
Les intrigues vont bon train, les inimitiés entre la famille Boleyn et la vieille aristocratie aussi. Les rumeurs sont également nombreuses dans toutes les strates de la société : malédictions, sorcellerie, adultère, impuissante, inceste…
Quand le roi fatigué du caractère impérieux d'Anne s'entiche d'une nouvelle dame de la cour, la douce et effacée Jane Seymour, c'est le secrétaire du roi qui va devoir se charger de la sale besogne, et sale elle sera.
Je me suis laissée à nouveau emportée par le récit de cet épisode bien sombre de l'histoire d'Angleterre.
On connait l'issue et pourtant la plume d'Hilary Mantel nous entraine dans les coulisses à la suite de Cromwell, appuyé par sa famille élargie, quelques alliés qui peuvent selon les circonstances se retourner contre lui, malmené par des ennemis, des rivaux.
La lecture de ce tome a été plus aisée. On retrouve peu ou prou les mêmes personnages et donc on n'est moins perdu dans les méandres de ce véritable nid de vipères qu'est la cour. de plus, j'étais cette fois préparée à l'énonciation et j'ai pu avec aisance entrer dans les pensées les plus intimes de Cromwell ce qui est un atout majeur pour prendre la mesure de ce personnage hors du commun. Je l'avais trouvé très humain dans le 1er volume. A la lecture de celui-ci, il me faut nuancer. Il s'avère l'être effectivement avec ses proches, les personnes qu'il apprécie. Mais s'il n'aime pas, s'il se sent trahi, si la raison d'Etat l'exige, il est sans pitié.
Et s'il était capable de faire preuve d'humour au début de sa carrière, là il faut bien admettre que ça rigole moins. le poids énorme de ses fonctions, sa conscience bousculée par les évènements et le rôle qu'il y joue y sans aucun doute pour beaucoup.
Passionnant.
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Hilary Mantel nous fait vivre au rythme de la cour de Henry VIII vue par les yeux de son conseiller Thomas Cromwell. Tout se déroule sur une période très courte, moins d'un an. Henry VIII décide de répudier sa deuxième épouse Anne de Boleyn - incapable de lui donner un héritier légitime. Il fait appel à Thomas Cromwell afin d'organiser un procès (qui n'en a que le nom) pour se débarrasser de son épouse et de ses prétendus amants. Thomas Cromwell décrit les relations entre les différents protagonistes, et également sa vie personnelle avec son fils depuis le décès de sa femme. Tout ceci est très bien écrit. Il n'est pas nécessaire d'avoir lu le tome I pour rentrer dans ce livre.
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Il y n'a pas à dire, il manque de suite dans les idées, Henri VIII… Après avoir secoué ciel et enfer pour briser son mariage avec la reine Catherine d'Aragon et épouser Anne Boleyn, le voici déjà lassé de sa nouvelle femme au bout de trois années seulement de mariage ! Il lorgne du coin de l'oeil la pâlichonne mais docile Jane Seymour et soupçonne son épouse d'infidélité, mais sa véritable faute est bien plus capitale : comme sa prédécesseure, la reine ne parvient pas à lui donner un héritier mâle. Pour rompre cette union encombrante, le souverain se tourne à nouveau vers son secrétaire, l'efficace et discret Thomas Cromwell qui avait déjà orchestré pour lui la rupture de son premier mariage. Mais les Boleyn s'accrochent férocement au pouvoir et il faudra des trésors d'habilité et d'obstination pour les en déboulonner – qualités dont Cromwell est, heureusement, pourvu en abondance.

Après un premier tome fort bien écrit mais très dense et parfois un peu difficile à suivre, « le pouvoir » nous conte la suite de la carrière de Thomas Cromwell et son point d'orgue, à savoir la chute d'Anne Boleyn. L'intrigue est plus resserrée que celle du tome précédent, s'écoulant sur une poignée de mois, et a gagné en fluidité et en cohérence. le scénario est mené de main de maître. Machinations politiques, querelles religieuses, complots de Cour, intrigues familiales, adultères s'y enchainent à toute vitesse, donnant au récit un rythme trépidant qui entraîne le lecteur et ne le relâche pas avant la dernière page. le tout reste pourtant intelligent et subtil sans jamais aller dans la surenchère scandaleuse, défaut dont souffrent beaucoup d'oeuvres consacrées au règne des Tudors. On frémit d'impatience et d'excitation mais on sourit aussi beaucoup car les touches d'humour sont nombreuses, notamment au niveau des dialogues très vifs et plein d'esprit.

Car Thomas Cromwell n'est pas seulement un homme d'état ambitieux et talentueux, c'est aussi un sacré comédien ! Fidèle dans ses amitiés, impitoyable dans ses haines, il n'a jamais pardonné aux Boleyn d'avoir précipité la chute de son ancien maître, le cardinal Wolsey, mais a su dissimuler sa rancune jusqu'à que les circonstances lui permettent d'éclater au grand jour. C'est aussi un homme lucide et la conscience de la fragilité de sa position – Henri qui s'est retourné contre tous ses anciens amis ne se retournera-t-il pas tôt ou tard contre lui ? – ne le rend que plus humain et attachant. Personnage étrange, très secret, dissimulant derrière une éternelle façade de bonne humeur et de flegme de lourds chagrins et des colères foudroyantes, il est pour une bonne part dans la séduction exercée par l'oeuvre de Hilary Mantel. le premier roman a été celui de son ascension, le deuxième celui de son apogée, le troisième contera sa chute. Inutile de dire que je l'attends avec la plus vive impatience !

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Deuxième volet de la trilogie consacrée à Thomas Cromwell, "Le Pouvoir" se concentre sur la chute d'Anne Boleyn et les raisons qui l'ont précipitée.
L'avidité d'Henry VII est tout d'abord exprimée. le roi d'Angleterre, très versatile en matière de femme, a croisé Jane Seymour à l'issue du premier volume de la trilogie, "Dans l'ombre des Tudors", et cette rencontre n'a pas fait de bien à Anne Boleyn, encore et toujours qualifiée de "concubine" par de nombreux sujets d'Henry et par des souverains étrangers. Fasciné par la jeune Jane, pourtant décrite ici comme très quelconque, Henry va demander à Cromwell - de façon à peine voilée - de le débarrasser d'Anne.

Comme seconde justification à l'exécution d'Anne Boleyn, il y a les préoccupations dynastiques d'Henry, déçu de ne toujours pas avoir de fils capable de lui succéder. le souverain voit les années passer et commence à s'inquiéter de son âge et de ses capacités à engendrer un héritier mâle digne de s'asseoir sur le trône d'Angleterre après sa mort. Et pour Henry, s'il n'a pas de fils, c'est nécessairement la faute de son épouse. Une compagne plus jeune et moins vindicative lui semble donc tout appropriée pour enfin lui donner un fils.

Et Cromwell, l'exécuteur des basses oeuvres, celui qui travaille dans l'ombre (comme l'indique si bien le titre du premier roman de Mantel) va agir selon la volonté du roi et "débarrasser" Henry d'Anne. Car Cromwell sait que s'il ne satisfait pas son souverain, d'autres que lui le feront : la tête du secrétaire particulier ne restera alors pas longtemps sur ses épaules, vu la propension d'Henry VIII à ordonner des exécutions... Et puis, Cromwell a certains griefs personnels à régler et sa propre envie de vengeance à assouvir : il reste d'abord et avant tout l'homme du cardinal Wolsey et, fidèle à la mémoire de son premier maître, la machinerie judiciaire qu'il met en branle pour faire tomber Anne met aussi en cause des hommes qui, par le passé, ont nui au cardinal. Ou qui se sont gaussés de Thomas Cromwell lui-même, car l'homme est rancunier.

Hilary Mantel n'est pas tendre avec les hommes dans ce deuxième tome. Henry VIII y apparaît comme plus versatile et capricieux que jamais. Thomas Cromwell n'apparaît pas non plus sous son meilleur jour : calculateur et partial, il n'hésite pas à frapper durement, tout en veillant à mettre ses amis et sa famille à l'abri. Malgré tout, Cromwell reste fascinant et la façon dont le dépeint l'auteure permet de mieux comprendre ses motivations : après tout, Henry VIII n'était pas vraiment le genre d'homme à pardonner l'inefficacité ou les contrariétés. Alors, pour sauver sa peau - et sa fonction - et celle des siens, Cromwell obéit.

Si j'ai apprécié dans ce roman la description sans concession qui est faite de ces deux hommes, j'ai également beaucoup aimé la compassion et la grande sobriété dont l'auteure fait preuve en décrivant l'exécution d'Anne Boleyn. Sans sensationnalisme mais aussi sans mièvrerie, Mantel nous livre les derniers moments d'une femme qui a souhaité mourir avec dignité, comme pour faire mentir ses détracteurs qui la traitaient d'épouse dépravée pratiquant des actes contre nature. Et même si, comme l'auteure l'explique elle-même, peu de témoignages fiables existent quant au décès d'Anne Boleyn, je pense qu'on aimerait tous qu'elle ait fini ainsi : avec dignité, comme pour se venger d'un époux trop volage.
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👑 le conseiller - Tome 2 - le pouvoir - Hilary Mantel 👑
Traduction : Fabrice Pointeau

Résumé :
1535. À l'ombre des Tudors, grandir demande une prudence de tous les instants. Nommé secrétaire d'Henri VIII en reconnaissance de ses manoeuvres, Thomas Cromwell touche enfin le pouvoir du doigt. Après le scandaleux divorce royal et le schisme qui en a découlé, l'Angleterre vit pourtant des heures troublées. Jamais le royaume n'a été plus menacé, les intrigues de cour plus venimeuses, le roi plus insatiable. Les têtes ne tiennent plus qu'à un fil. À commencer par celle d'Anne Boleyn, reine en disgrâce prise à son propre piège...

Retour à la cour mouvementée d'Henri VIII où Cromwell ne cesse de prendre du galon grâce à ses talents hors pair. Cette fois Henri se lasse d'Anne, cette femme qu'il n'a pu épouser qu'en prenant une décision radicale : se séparer de l'autorité papale en se nommant chef de l'Eglise d'Angleterre risquant ainsi l'excommunication et devenant une cible pour Charles Quint et François Ier. Mais Anne n'a pas tenu ses promesses, elle ne lui a pas donné le fils tant attendu et Henri a déjà une nouvelle future épouse en vu. Ce que le roi veut Cromwell doit lui obtenir, peu importe les moyens. Une nouvelle page va se tourner pour l'Angleterre, une page pleine de sang.
J'ai adoré ce deuxième tome, je l'ai littéralement dévoré, impossible de le lâcher. Si ce n'était une histoire vraie on pourrait dire que l'auteure pousse un peu trop tellement c'est fou...
Bref un nouveau tome encore plus addictif que le précédent.
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Sacré Henri VIII et ses histoires de fesses !!!
Parce que finalement cette trilogie sur Cromwell on parle des femmes du roi , de sa lâcheté , de ses atermoiements et revirements sexuels et sentimentaux .
1ere épouse Catherine d'Aragon dégagée comme une malpropre car pas foutue de donner un fils à sa majesté , damned !
La deuxième Anne Boleyn qui le fait tourner en bourrique et qui ouvre ses cuisses à tous les gentilshommes ...re damned !!
J'en suis à la 3eme épouse qui arrive Jane Seymour , une jeune pucelle .....arffff ....que va t-il se passer avec celle ci ?
Et dans tout ce fatras Cromwell qui a de plus en plus de pouvoir
Je le vois sournois et revanchard mais aussi très très malin
Il n'a pas oublié la mort de son ami le cardinal Wolsey , et ils vont payer tous ces freluquets, sacrebleu !!
Bref toute cette prose légère pour dire que cette trilogie est passionnante , déroutante , incroyable .
Les moeurs de l'époque si loin des nôtres .
La tour de Londres , les bourreaux , les décapitations ; il faut avoir le cou bien accrocher pour passer au travers des vengeances en tous genres .
Cromwell personnage diabolique , humain aussi , avec de plus en plus d'ennemis
Il a vraiment une mauvaise place , obligé du roi qu'il respecte certes mais il doit gérer les bassesses de ce dernier en jonglant avec les perfidies de la cour , de l'église et garder toute sa tête ( si je puis dire !!! )
Passionnant vous dis je !!!
Dallas à côté c'était de le gnognotte.................
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ah, je vois que le problème est réglé, je peux enfin mettre une critique sur les bouquins que j'aime ... bon, faites pas attention , j'avais un problème et je l'ai plus ...
et alors, les romans d'Hilary Mantel, c'est peu dire que je les aime, je les adore, je les dévore, je les garde comme des trésors, je les achète même en plusieurs exemplaires, pour pouvoir les partager avec mes amis .. le premier "Wolf Hall" est bien sûr le meilleur, le plus passionnant, car qu'y a t il de plus passionnant que de suivre l'ascension d'un type qui d'un misérable enfant battu est devenu le bras droit d'Henry VIII ? .... mais le 2ème tome est magnifique aussi, et le 3ème tome ... ma foi, le 3ème tome , je trouve qu'il est triste, parce que , comme chacun sait, ce monarque cruel et crétin a fait mourir Cromwell comme il a fait mourir tous ceux qui l'ont servi par leur sagesse et leur intelligence !
je suis en train de le relire pour la 3ème fois, et ensuite je vais le lire en Anglais, parce que vraiment, il y a longtemps que j'ai pas lu un tel chef d'oeuvre, et je trouve qu'on ne peut pas apprécier correctement cet humour époustouflant à la première lecture ... car on veut savoir ce qui va se passer ensuite, comme dans tous les romans , je recommande vraiment de le lire plusieurs fois ...
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On a fait la connaissance de Thomas Cromwell, fils de forgeron devenu l'un des principaux conseillers d'Henri VIII "Dans l'ombre des Tudor", premier tome de "le Conseiller".

Henri VIII a épousé Anne Boleyn en 1533. le pape ayant refusé d'annuler son mariage avec Catherine d'Aragon il fait reconnaître son divorce par des évêques anglais acquis à sa cause.
En 1535 Anne n'a toujours pas donné d'héritier mâle à Henri VIII. Une seule enfant a survécu, Elizabeth (future Élisabeth I). Anne a beaucoup d'ennemis à la cours et le peuple anglais regrette Catherine d'Aragon. Sans doute sur l'ordre du roi, Thomas Cromwell entame une procédure à charge contre Anne. Elle sera soupçonnée d'adultère, des hommes de son entourage, y compris l'un de ses frères, seront soupçonnés d'avoir été ses amants. Anne ainsi que ses supposés amants seront condamnés et exécutés.

Historiquement il semble que faute de traces écrites la culpabilité d'Anne Boleyn ne soit pas établie.

L'histoire nous est racontée du point de vue de Cromwell. Personnage assez insaisissable, humain et bienveillant dans ses relations avec son fils, ses subordonnés, dans la ressouvenance de son épouse et de ses deux filles mais impitoyable avec ses ennemis ainsi que dans le déroulé de son enquête contre la reine.

Même s'ils sont assez inégaux , tout dépend de leurs auteurs, les romans historiques sont très souvent passionnants. Ils nous permettent la plupart du temps d'actualiser certaines de nos connaissances dans le domaine de l'Histoire avec un grand H en l'intégrant à une petite histoire réelle ou fictionnelle.

Conclusion "Le Pouvoir" est très intéressant de par l'histoire qu'il raconte, et la qualité d'écrivain de l'autrice.
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Le Pouvoir aborde probablement un des épisodes les plus connus de l'histoire anglaise: la chute terrible d'Anne Boleyn, la femme pour laquelle Henry VIII avait tout risqué. Et pourtant, Hilary Mantel nous fait vivre ces événements de manière si intense, si inventive, qu'on a l'impression de les parcourir pour la première fois.

S'étendant sur une période bien plus courte que Wolf Hall, une année à peine, j'ai trouvé ce deuxième tome beaucoup plus rythmé, intense, et extrêmement prenant. Dans un récit plus linéaire et probablement plus facile à suivre que l'ascension chaotique de Cromwell décrite dans le premier tome, Hilary Mantel nous livre un portrait complexe de ce personnage, ainsi que des bruits de couloirs et manigances de la cour. le Cromwell d'Hilary Mantel est un homme éclatant mais impassible, généreux mais déterminé et au final tellement attachant qu'on redoute inévitablement la fin inéluctable de la trilogie.

Le style d'Hilary Mantel demeure travaillé, complexe sans être lourd et j'ai trouvé certains passages, particulièrement certains dialogues tout simplement brillants.

Un deuxième tome passionnant donc, qui équivaut sans problème la qualité de Wolf Hall. Je crois même avoir préféré le Pouvoir, qui semble plus abouti, encore plus maîtrisé. Une trilogie à découvrir de toute urgence.
Lien : http://unmomentpourlire.blog..
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J'avais dévoré le premier tome, j'ai adoré encore plus le second. Hilary Mantel dépeint avec un talent rare une époque fascinante tant politiquement qu'historiquement : religion, complot, romance, guerre tout se mélange pour donner à cette trilogie un souffle romanesque rare et palpitant.

J'ai découvert le monde des Tudors grâce à la série puis avec les livres de Philippa Gregory qui raconte cette période du point de vue des femmes. Hilary Mantel quant à elle choisit un homme : un homme qui a vécu au coeur des intrigues, un homme ambitieux et opiniâtre, fidèle mais espiègle. Un homme de son temps.

Si dans le premier volume on découvrait l'ascension d'un homme du bas peuple, dans cette suite Thomas Cromwell est un homme politique omniprésent, omnipotent qui doit faire face à l'une des plus grandes crises d'Angleterre : la scission avec l'Église catholique. Cette période des plus palpitantes va amener une refonte d'un pays tout entier. le sujet est d'autant plus intéressant lorsqu'on découvre que c'est la lubie d'un homme -certes le roi- qui a donné lieu à ce changement radical, lubie qui va vite se porter sur une autre...

J'aime vraiment tous les romans se portant sur ce sujet et cette trilogie apporte réellement des éléments supplémentaires par la richesse des mots -bravo au traducteur- la qualité de la documentation (les informations sont portées à l'oreille du lecteur sans pour autant faire paraître ce roman comme un documentaire). L'homme n'a certes pas vécu jusqu'au bout du règne d'Henri VIII mais il en a vécu les moments les plus uniques. L'auteur nous mène progressivement vers le déroulement final...

Si vous cherchez à la fois un saga historique de qualité, légitime, avec aussi une écriture splendide, un art du romanesque unique : cette trilogie est faite pour vous !
Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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