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sur 286 notes
Après son excellent thriller biblique « Apocryphe » et le tout aussi bon « À vif », un polar plus classique qui nous emmenait dans les tréfonds de la folie, je n'ai pas hésité un seul instant à me lancer dans ce thriller scientifique teinté de surnaturel. Je ne suis pourtant pas friand du genre, mais sachant que René Manzor aime se renouveler tout en demeurant un excellent conteur d'histoires, j'étais confiant de passer un excellent moment de lecture…et c'était bel et bien le cas !

« du fond des âges » invite à suivre le calvaire du célèbre glaciologue Marcus Taylor, dont le fils a disparu depuis trois ans et qui doit de surcroît se remettre d'une mission scientifique en Antarctique qui a très mal tournée l'année précédente. Envoyé au pôle Sud en compagnie d'une équipe de chercheurs afin d'y étudier une bactérie ensevelie depuis des siècles au plus profond de la glace, il sera en effet l'unique survivant de cette expédition. Lorsque tout d'un coup, son fils de huit ans réapparaît dans les rues de Christchurch, poursuivi par un russe qui cherche à l'abattre, le mystère devient total !

René Manzor propose donc un récit à double temporalité, qui se déroule d'une part en Nouvelle-Zélande, où le lecteur cherche à comprendre d'où vient ce gamin réapparu après trois ans, et d'autre part sur une base russe perdue au beau milieu de l'Antarctique, revenant sur cette expédition mortelle qui a confronté des chercheurs à une bactérie revenue du fond des âges

Dès la scène d'ouverture, décrivant une course poursuite effrénée dans les rues de Christchurch, entre un tueur russe et un pauvre gamin de huit ans, René Manzor cueille le lecteur avec ce récit au rythme endiablé qui se transforme très vite en véritable page-turner. Les passages au coeur de l'Antarctique raviront les amateurs de « survival » qui viennent de lire « The White Darkness » de David Grann et s'avèrent également prenants au possible, les protagonistes étant confrontés à des ennemis invisibles, allant du froid extrême à cette mystérieuse bactérie. Au fil des pages et de ces allers-retours entre la Nouvelle-Zélande et le pôle Sud, passé et présent finissent par se rejoindre, au coeur d'un récit particulièrement addictif.

Malgré un sentiment de « déjà-vu » inévitable, surtout pour ceux qui ont vu « The Thing » de John Carpenter, ce nouveau roman de René Manzor ne manquera pas de séduire et de divertir de la première à la dernière page. N'hésitez donc pas à lire du René Manzor !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Couvrez vous bien , l'ambiance est glaciale dans ce roman et je ne voudrais pas être obligé de vous réchauffer au lance flammes .Vous vous demandez où je veux en venir et je vous comprends .Bon , on remet un peu d'ordre dans tout cela : ça commence par une course poursuite à Christchurch , en Nouvelle Zélande et , pour savoir le pourquoi de cette violence , il nous faudra suivre une expédition avec le glaciologue Marcus Taylor ....Un chapitre sur deux , du début à la fin au point que la situation ne fait que s'aggraver et nous soumettre à une pression de tous les instants .
On le sait , René Manzor excelle depuis toujours à raconter des histoires et bien , croyez moi , il ne faut pas vous attendre à un conte de Noël ! On sera plus prés du cauchemar et on espère toujours se réveiller ...mais ....Les personnages vont tous et toutes , et poucause , montrer différentes facettes de leurs caractères dans un contexte parfaitement anxyogène mais parfaitement , aussi , mené de main de maître par cet auteur plus qu'apprécié aujourd'hui et , il faut bien le dire , " c'est du Manzor " et même , à mon avis , du bon Manzor .
Les personnages , je vous en ai parlé ( peu mais suffisamment ) , quant au décor , surtout au beau milieu de l'Antarctique , il est oppressant , glacial , étouffant , stressant au possible et on apprécie de revenir assez souvent et régulièrement en NZ .... Ce n'est pas à proprement parler un retour joyeux mais , à choisir ...Voilà , voilà . Que dire d'autre ? Ah , ben , si . Pour bien faire , il vaudrait mieux pour vous éviter le coin si vous êtes superstitieux , aprés , moi , je dis ça ...
René , c'est tout de même un sacré bonhomme pour aller écrire de telles aventures . Et le pire , c'est qu'on les aime , ses histoires !
Allez , les amis et amies , demain c'est lundi et il vaudrait mieux ne pas vous lancer ce soir dans cette lecture où ,comme le chantait un certain Claude , " le lundi au soleil , c'est une chose qu'on n'aura jamais ...".
Bonne soirée et à bientôt .
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Bonjour,
Aujourd'hui je vous propose : « Du fond des âges » de René Manzor. Un thriller passionnant et angoissant qui nous fait voyager entre la Nouvelle Zélande et l'Antarctique sur deux périodes de temps. L'auteur nous entraîne dans une intrigue haletante avec d'une part la résolution d'une enquête sur la disparition d'un enfant qui réapparaît 3 ans après et d'autre part le récit d'une expédition scientifique dans une station russe qui tourne à l'horreur.
J'ai adoré ce thriller mené tambour battant. La touche de fantastique est subtilement dosée, les personnages sont hauts en couleur, attachants, monstrueux, troublants, angoissants, manipulateurs, odieux et égoïstes. Leurs émotions, leurs douleurs, leurs peurs et leur amour hantent chaque page. Leur psychologie est finement analysée et on retrouve tous les comportements abjects de l'humain face au drame. Un roman émouvant qui aborde aussi le thème d'une maladie héréditaire mal connue. le tout est brillamment orchestré par l'écriture percutante, incisive et visuelle de l'auteur qui m'avait conquise lors de ses précédents livres. Nous baignons dans une atmosphère oppressante, glaçante et terrifiante tout au long de la lecture. Un excellent thriller à découvrir en urgence !
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Un glaciologue qui revient du Pôle sud comme seul survivant. Deux ans avant son fils disparaît. Et voilà qu'il réapparaît poursuivi par un tueur russe. Ce thriller presque (science-) fiction, on ne le lâche pas tant il est dynamique, notre auteur jouant efficacement sur les deux tableaux passé-présent : un vrai page-turner Quand on vous dit qu'il n'est pas bon d'aller déterrer ce qui se cache dans la glace à des centaines et des milliers de kilomètres.
Côté bémol : une fort ressemblance avec un certain "The thing", des incohérences et/ou de faiblesses et surtout, me reste quand même une question sans réponse... A moins d'une suite peut-être...
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René Manzor est un de ces auteurs discrets, talentueux que j'aime lire ces dernières années. Ses intrigues ont un, je ne sais quoi, qui fait que je suis assurée de passer un bon moment. Ses intrigues variées, passent aussi bien, du polar classique au thriller biblique. Avec « du fond des âges », il explore le thriller scientifique qui frôle le surnaturel et il le fait d'une main de maître.

La psychologie des personnages est bien brossée, avec une consistance propre, des sentiments et des interrogations détaillés, mais sans jamais trop en faire, tout en permettant au lecteur de se les approprier et de vivre à leurs côtés cette aventure autant humaine que scientifique tellement réelle que cela en devient effroyable.

L'alternance temporaire est parfaite, elle donne une densité au récit, dont on découvre peu à peu les ramifications, jusqu'au final où tous les éléments s'imbriquent parfaitement et c'est parfaitement parfait !

Le dernier-né de René Manzor est à découvrir si vous aimez ce type de construction et d'intrigue, aux accents prophétiques, scientifiques, aux descriptions très visuelles.

Au coeur de l'Antarctique, de la tempête, René Manzor nous glace d'effroi, en parsemant son récit de quelques vérités, dont les scientifiques évoquent la possibilité, tout en tirant la sonnette d'alarme sur l'avenir de l'espèce humaine, face aux phénomènes météorologiques qui se profilent. La fonte des glaces réserve encore des surprises et certainement pas celles qui pourraient nous faire sourire.

Une intrigue dense qui se lit avec avidité, un réalisme saisissant, et un rythme effréné où l'urgence prend une forme bien particulière.

Sans être alarmiste, l'auteur, pousse le lecteur à la réflexion, et même s'il torture nos méninges, avec ce thriller dont l'intrigue frôle le genre horrifique, on ne perd jamais le fil conducteur scientifique très intéressant.
Lien : https://julitlesmots.com/202..
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Parmi tous les raconteurs d'histoires, René Manzor est un cas singulier. Là où nombre de ses confrères tissent leurs univers autour d'un point central, lui développe le sien en version puzzle, éparpillé aux quatre coins de l'imaginaire.

Capable de conter des récits aussi différents qu'un thriller dans le bayou ou un récit apocryphe de la vie de Jésus, avec comme ligne directrice de divertir, d'émerveiller, et de faire frissonner. de raconter de bonnes histoires, en somme !

L'auteur n'a pas la prétention d'inventer ce qui n'a jamais été exposé, mais, en toute humilité, de faire s'évader le lecteur le temps de quelques heures (comme il le fait aussi à travers ses films et scénarios).

Venant du fond des âges, cette intrigue va à nouveau surprendre. Par son approche autant que par ce qu'elle va développer.

400 pages sans une minute de battement, à soigner autant le rythme que l'ambiance, à développer l'action entre deux périodes temporelles.

Le pitch pourrait faire penser à The Thing*, le classique de John Carpenter sorti sur les écrans en 1982. Ce roman en est sûrement un hommage, mais ce serait faire injure à Manzor de penser qu'il ne fera que copier.

Il ne sera pas le dernier à écrire une aventure extrême se déroulant au pôle Sud. Mais très vite on comprend que la situation sera bien plus complexe, car elle se partagera entre l'Antarctique et la Nouvelle-Zélande (l'ami René aime faire voyager), le côté survivaliste n'étant qu'un pan de l'histoire.

Il faut dire que l'écrivain ose. Déstabiliser le lecteur, en l'emmenant sur des terrains qu'il ne pourra anticiper. Et en ne craignant pas de malmener ses personnages (le chapitre introductif voit tout de même un enfant de huit ans se prendre une balle dans le dos !).

C'est un récit d'adrénaline pure, mais qui n'oublie jamais qu'il faut aussi des protagonistes à la forte personnalité. Et que le chemin parcouru soit semé de chausse-trapes et de surprises vertigineuses. A l'image du final en apothéose, aussi inattendu que puissant en émotions.

Avec cette intrigue folle venue du fond des âges, René Manzor propose un divertissement fou, en technicolor, entre le blanc aveuglant de l'Antarctique et les chaudes couleurs néo-zélandaises.

Attendez-vous à être secoués, bringuebalés et souvent stupéfaits dans ce thriller atypique qui ne vous laissera pas une seule seconde de répit.

*NB : La novella de John W. Campbell datant de 1938, dont a été tiré le film, est ressortie en 2020 aux éditions le Bélial', dans la formidable collection « Une heure lumière ».
Lien : https://gruznamur.com/2022/1..
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"Du fond des âges" de René Manzor (éditions CALMANN LEVY, 2022) raconte le calvaire de Marcus Taylor, glaciologue renommé et de son épouse Raïna, dont le fils, Nateo, a disparu depuis trois ans.


En outre, Marcus doit se guérir des suites d'une mission scientifique sur la base Antarctique de Vostok qui a fait long feu pour s'achever dans un cauchemar l'année précédente. Envoyé au pôle Sud en compagnie d'une équipe de chercheurs pour étudier une bactérie ensevelie depuis des siècles, Marcus a dû affronter une série de catastrophes qui a mis en danger sa vie, celles de ses compagnons dont la quasi-totalité n'est pas revenue.


Le roman alterne entre les deux temporalités, avec des chapitres se déroulant en Nouvelle-Zélande, où Marcus doit faire face au retour de son fils Nateo, et ceux en Antarctique où le lecteur découvre les événements qui ont conduit à la disparition de Nateo et les conséquences désastreuses de la mission scientifique.


René Manzor est un réalisateur, scénariste, écrivain et romancier français, auteur de plusieurs ouvrages.


L'alternance des temporalités est un procédé éprouvé, propre à donner un rythme effréné au thriller et une once de plus-value au suspense.


Hélas, "Du fond des âges" est le degré zéro de l'écriture et du scénario. L'un et l'autre sont médiocres, pauvres, insipides, insuffisants et incohérents. Des contextes ou des données de sensiblerie et sentimentalistes - que l'auteur s'est employé à glisser dans l'intrigue, enfants, handicapés, etc. -, ne pallient pas ces médiocrités In fine, les personnages sont exactement dépourvus de psychologie et de profondeur qu'une forme de démagogie du scénario n'est pas à même de suppléer.


Les scènes d'action sont répétitives et ennuyeuses. L'auteur utilise fréquemment des éléments d'intrigues inutiles - par exemple l'appartenance à une secte – auxquels il n'apporte aucune suite ni réponse.


"Du fond des âges" est foncièrement sans valeur et inefficace. L'intrigue est sans originalité et peu crédible : la science-fiction exige évidemment une certaine rigueur.

Je ne recommande pas ce roman décevant aux amateurs de polars ou de thrillers qui attendent d'un auteur qu'il fasse preuve de rigueur, de création et d'aboutissement.


Michel.


Lien : https://fureur-de-lire.blogs..
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Bonjour à tous, j'espère que vous avez passé une jolie fête de Noël et que tout le monde ploie sous les livres....

Je n'ai pas eu beaucoup de temps pour m'adonner à ma passion favorite mais j'ai lu celui-là avec beaucoup de plaisir.
Mon premier de René Manzor. Très prenant, un peu de science-fiction, une aventure humaine et scientifique qui nous interroge sur le devenir de notre planète et sur le permafrost.

En Nouvelle-Zélande, trois ans après sa disparition, Nateo, un enfant de huit ans réapparait menacé par un homme, prêt à tout pour l'éliminer. Que s'est-il passé ? où était-il durant ces années ?

Nous apprenons que c'est le fils du célèbre glaciologue Marcus Taylor, qui un an auparavant a dirigé une mission de scientifiques envoyés dans une base implantée en plein milieu de l'Antarctique.
Lors de leur arrivée après de nombreuses péripéties, ils découvrent des bâtiments dans un état indescriptible, personne ne les attend, disparition inquiétante puisqu'ils devaient les remplacer.

Cette aventure se déroule entre l'Antarctique et la Nouvelle-Zélande. Quel est le lien entre ces deux évènements ? beaucoup de points d'interrogation qui trouveront une réponse dans une fin inattendue et émotionnellement intense.

Une fois commencé, on a plus envie de s'arrêter jusqu'à la dernière page. du fond des âges, un récit angoissant, haletant qui ne nous laisse pas indifférent. J'ai vraiment beaucoup aimé et je découvrirai prochainement d'autres livres de cet auteur.
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Le récit est construit sur deux axes de temps alternativement.
Trois ans plus tôt, Marcus a perdu son fils. Il a subitement disparu. Son couple n'y a pas survécu.
Après deux ans de vaines recherches, il accepte de repartir en expédition. Une année dans une base scientifique de l'Antarctique. Mais rien ne se passe comme prévu : un crash, une marche forcée des survivants pour rejoindre la base, une bactérie particulièrement agressive remontée du fond des âges lors d'un carottage…
Aujourd'hui, Nateo réapparait. C'est lui et pourtant il est différent.
Ce n'est pas réellement ennuyeux mais je n'ai pas été captivée par ce roman. J'y ai trouvé bien trop de références à des films vus et revus car appréciés : beaucoup de The Thing (celui de 1982), un peu de Alien, le 7ème passager, et même un peu de L'exorciste…
Bref, une lecture sans surprise et donc une peu décevante..
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Voilà un thriller survitaminé qui commence par une scène très violente : un gamin est poursuivi dans les rues de Christchurch, avant de recevoir une balle dans le dos…

Le ton était donné, l'auteur voulait y aller en force et afin d'augmenter le rythme cardiaque et de jouer avec le suspense, le vilain a fait un retour en arrière d'un an. Ensuite, il a alterné les chapitres se déroulant un an auparavant, en Antarctique et ceux se passant en Nouvelle-Zélande. Adrénaline garantie !

N'ayant pas lu le résumé, la surprise a été totale lorsque durant le voyage de l'équipe en Antarctique, ils ont eu un petit souci… Et qu'ensuite, la mission a tourné à l'horreur pure, à l'épouvante, aux frissons dans le dos.

Non pas en raison d'une créature sortie des enfers ou de l'apparition d'un vampire ou pire, d'un contrôleur des contributions hurlant "Des sous" dans la nuit noire. Bien pire que ça ! Là, on joue sur l'être humain et sa capacité à être égoïste au possible ou d'être solidaire.

On sait jusqu'où l'être humain est capable d'aller pour survivre (et même au-delà) et c'est ce qui fait le plus peur, dans ces pages. L'Homme est un monstre.

Ce thriller fait son job : il est divertissant, donne des frissons, fait peur, fait monter l'angoisse d'un côté, lors de la mission en Antarctique, puis vient casser un peu cette hausse cardiaque avec ce qu'il se passe en Nouvelle-Zélande, avant que cette partie ne devienne, elle aussi, bourrée d'adrénaline et de mystères.

L'auteur souffle donc le froid (l'Antarctique et ses températures record négatives) et le chaud (Nouvelle-Zélande, sous la canicule).

Où se situe donc le cheveu dans la soupe ? Les personnages m'ont semblé manquer de profondeur, ce qui est dommage parce que ce thriller n'hésite pas à surfer (ou skier ?) sur des faits de sociétés tels que la perte d'un enfant, le deuil impossible, les maladies génétiques rares, les bactéries, la science sans conscience, la ferveur religieuse, le déni, la survie, les démons qui hantent certains personnages,…

Mais voilà, certains ne sont qu'esquissés trop brièvement, expliquées en vitesse, comme si le nombre de pages était imparti et qu'on arrivait au bout de ce quota. Il manquait des explications sur la disparition et sur le retour d'un personnage, sur l'arrivée du Maori aveugle et sur cette culture que l'on ne connait pas.

Avec quelques pages de plus, l'auteur aurait pu étoffer un peu ces vides et donner plus de profondeur à son roman.

Il vaut mieux le considérer, avant sa lecture, comme un thriller endiablé et rythmé, qui vous fera passer quelques moments angoissants et ne pas rechercher les émotions ressenties lors de la lecture d'Apocryphe, un autre roman de l'auteur.

Ce thriller fait le job, sans aucun doute. Il ne laisse que peu de répit et sa lecture est addictive. Il ne faut pas lui demander plus. Les émotions ressenties seront du niveau de la peur et des angoisses et vu que l'écriture est assez cinématographique, vous n'aurez aucun soucis à le vivre dans votre tête. Gare aux écarts de températures… Moi, durant ma lecture, j'ai sué de trouille !

Hélas, s'il m'a bien diverti, il ne restera sans doute pas dans ma mémoire comme d'autres romans…

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