Je connais mal la peinture, je n'ai donc pas tout compris, mais ces deux courts récits poétiques - vie, mort, création d'un peintre (Géricault et le radeau de la méduse, Böcklin), tous deux en rupture avec leurs pairs) m'ont plu par la puissance poétique de l'écriture essayant d'accrocher l'essence de l'Artiste dans l'individualité de la personne.
C'est pour moi une porte d'entrée vers les tableaux.
J'avais beaucoup aimé
Stevenson sous les palmiers de
Alberto Manguel qui est aussi dans cette collection d'
Actes Sud "Un endroit où aller".