La Datcha

Une fois les premières pages tournées, il est difficile de se détacher de la Datcha. Encore une fois, Agnès Martin-Lugand, a su nous livrer l'histoire d'une femme moderne avec son lot de problème quotidien, ses histoires d'amour Malgré qu'elle soit très différente de moi, je me suis attachée à elle et j'ai été ému par son histoire.

J'ai été transporté dans l'ambiance de cet hôtel si particulier, où les murs sont chargés d'une histoire familiale. La datcha est "le personnage principal" de ce roman. À la fois protecteur, bienveillant, elle pourrait presque faire office de figure maternelle. Ce lieu est incarné, enveloppé de secrets qui nous sont révélés au fur et à mesure de la lecture par le regard d'Hermine. La culture russe est assez présente dans le roman, un aspect que j'ai fortement apprécié.

Quel bonheur de retrouver une plume qui décrit si bien les sentiments humains, les émotions. La magie opère encore une fois. Tous les personnages de ce roman se posent des questions sur le foyer d'une maison, où se sent t-on chez nous ? Des questions sur la famille, celle du sang et celle qu'on se crée. Chaleureux, émouvant, j'ai passé un agréable moment de lecture. Il y a des histoires qui réconfortent, expriment des peines, font sentir l'allégresse, la datcha en fait partie.

Pousser les portes de la datcha c'est la promesse de sourire, danser et verser quelques larmes à travers le talent de narratrice de l'auteure.

J'ai aimé ces moments passés auprès d'Hermine à la Datcha, cet hôtel de charme où elle va trouver le foyer qu'elle n'a jamais eu. Quand elle arrive dans ce petit village et que Jo le propriétaire de l'hôtel lui propose un travail, sans conditions, elle est un peu réticente, mais elle se sent pourtant irrésistiblement attirée par les lieux et se dit qu'elle n'a pas grand chose à perdre. Elle n'imagine pas alors que c'est plus qu'un travail qu'elle va y trouver mais bien une famille d'adoption auprès de Jo et Macha.

Cependant, après des années de reconstruction, ayant formé sa propre famille, son bonheur va se trouver entaché par un deuil.

Difficile d'en dire plus sans spoiler mais c'est une histoire d'amour, de secrets de famille, de résilience, de réconciliation et de pardon empreinte de douceur, de mélancolie mais aussi d'espoir.

Les personnages quant à eux sont tous très attachants et pour moi ça a aussi son importance ☺️

Cette fois encore je suis sous le charme de la plume, Agnès Martin Lugand arrive toujours à m'envoûter par ses romans dans lesquels le rythme est pourtant lent. L'écriture est très visuelle et je me sentais bien à la Datcha. Je n'avais pas envie de la quitter.

Jo et Macha recueillent Hermine, une jeune fille à la dérive qui ne sait plus où aller.
Cette dernière reste sur ses gardes croyant rester que 6 mois dans ce paradis où elle est logée, nourrie et aimée.
Puis petit à petit elle se libère et se donne corps et âme à cet hôtel provençal "la Datcha".
Elle est attirée par le fils de ses patrons mais il s'en va suite à un évènement tragique qu'on découvrira vers la fin du livre.
Le meilleur ami de Vassily arrive à toucher son coeur et ils auront 2 enfants mais la vie n'est pas toujours facile et ils se séparent tout en restant très unis pour leurs enfants.
Elle est bien aidée et entourée par Charly, sa femme, Gaby ses meilleurs amis.
Lors du décès de Jo et Macha par la suite, son premier amour et l'héritier de la "Datcha" revient mais les rapports sont très tendus ne sachant pas ce que deviendra ce bel hôtel familial et surtout leur avenir à tous.
Pour la suite lisez-le et si vous avez envie d'une histoire agréable et qui fait du bien, n'hésitez pas.
Bonne lecture.

Un roman agréable.
On découvre des personnages attachants qui forment une famille, un havre de pais sous la plume délicates de l'auteur. Plume débordante d'humanité et d'émotions. Puis on soupçonne quelques secrets et après trop de longueurs, le dénouement n'est pas à la hauteur.
Un avis mitigé : j'ai aimé la découverte des lieux, l'ambiance. On s'y sent bien à la Datcha. J'ai aimé la personnalité d'hermine mais le récit est trop lent et la fin ne m'a pas convaincu.

Bienvenue à la Datcha.
La Datcha, c'est une ancienne ferme située dans le Vaucluse qui a été transformée en hôtel. Mais pour Hermine, c'est bien plus que ça. C'est ce qui l'a sauvée, 20 ans auparavant, lorsque Jo et Macha lui ont proposé de venir y travailler. Abandonnée par sa maman étant petite, elle a trouvé en Jo et Macha la famille qu'elle n'a jamais eue. A présent mère de deux adolescents, elle vit toujours à la Datcha et elle s'y sent à sa place. Seulement, rien n'est éternel et son avenir là-bas est peu à peu remis en cause…

✨️ Mon avis :
Ce n'est pas le premier roman d'Agnès Martin-Lugand que je lis et encore une fois, j'ai passé un très bon moment de lecture. L'autrice nous emmène dans la belle région du Luberon et décrit tellement bien les décors et les lieux que l'on a l'impression d'y être. La Datcha est un lieu où il fait bon vivre, rempli de douceur, de bienveillance et d'amour mais nous comprenons également qu'il y règne des secrets du passé bien enfouis.

Les petites longueurs que j'ai pu ressentir dans le milieu du roman ont finalement été compensées par cette fin magnifique et touchante, à tel point que j'aurais voulu encore prolonger un peu mon séjour à la Datcha. 🥰

Même si « A la lumière du petit matin » reste mon préféré de l'auteure pour l'instant, la Datcha est un roman qui offre une jolie parenthèse ensoleillée dans notre quotidien. 🌞
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Très belle histoire, dont on dévore les pages.
Un univers ensoleillé, et plein de bons sentiments : difficile d'arrêter de lire lorsque l'on a commencé les premières pages ! On partage le parcours des personnages, émouvants et résiliants ; on se plait à partager les moments décrits par cette « auteure ».

J'ai lu ce livre la semaine de sa sortie, mais il est vrai que j'ai mis un certain temps avant d'en publier la chronique, faute de temps. Cela a été un réel plaisir pour de retrouver les personnages d'Agnès Martin Lugand, qui parvient toujours à m'émouvoir. Je me suis beaucoup attaché au personnage d'Hermine. J'ai adoré séjourner à la Datcha à ses côtés, même si cela n'aura été que de courte durée. Chaque roman de cette auteure est toujours un moi un moment de vive émotion, d'intense plaisir de lecture et de bien être. Encore une fois, elle ne m'a pas déçue.

Ce roman nous invite au sein d'un bel hôtel « LA DATCHA » dans le Lubéron. Hermine, une jeune fille un peu paumée et sans famille est accueillie par les patrons de cet hôtel.

L'ouvrage retrace son enfance difficile et sa nouvelle vie de femme dans ce cadre magique malgré les fantômes du passé qui subsistent.
J'ai mis du temps à rentrer dans l'histoire mais je ne regrette pas d'avoir persévéré (le mot est un peu fort).

Le personnage principal est très réservé quant à l'expression de ses sentiments et l'écriture d'Agnès MARTIN LUGAND est pleine de nuances permettant aux lecteurs de faire travailler leur imagination.

A première vue, ces non-dits me gênaient mais avec le recul cela donne de la profondeur aux personnages principaux.

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J'ai retrouvé avec plaisir la plume d'AML, si singulière et ses histoires riches en émotions. Même si j'ai vraiment adoré l'univers de la Datcha, son passé et l'histoire touchante de Jo et Macha ; je suis restée un peu en retrait face au destin et la personnalité d'Hermine. Cela reste donc une très bonne lecture, fluide et addictive, sans qu'elle soit inoubliable pour autant.

J'ai profité de ce printemps et des siestes de mon fils pour lire « mon » 8e roman signé Agnès Martin-Lugand : La Datcha. Une nouvelle fois, l'écrivaine française nous livre le destin fictif d'une femme, que l'on accompagne dans une quête. Ici, c'est avec Hermine que l'on fait connaissance. Abandonnée par sa mère, enfant esseulée, elle fait la rencontre qui va changer sa vie avec Jo, qui la prend sous son aile et celle de sa femme, Macha. Une magnifique histoire de famille, de sang, de coeur et de terre.

Si le roman n'est pas un « page turner », je me suis cela dit laissée bercer par cette histoire. La petite voix qui a accompagné ma lecture avait une tonalité douce. Et de nombreux passages m'ont émue. J'ai eu les larmes aux yeux. Je dois dire qu'avec un nourrisson de trois mois, je suis particulièrement émotive, sensible et réceptive sur les sujets qui touchent à la famille.

J'ai refermé La Datcha en étant vraiment heureuse de ma lecture, que je vous conseille.


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