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Satoko Fujimoto (Traducteur)Éric Cordier (Traducteur)
EAN : 9782915517033
160 pages
IMHO (01/03/2005)
3.84/5   43 notes
Résumé :
Entre Freaks de Tod Browning et les poupées désarticulées de Bellmer, Suehiro Maruo explore les méandres de la vie agitée de Midori, orpheline adoptée par le patron d un cirque de monstres difformes. Cul de jatte vicelard, manchot tricard, et jongleuse perverse redoublent d imagination et tentent par tous les moyens de tourmenter la jeune fille à grands renforts de punitions d une subtile cruauté.
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La jeune fille aux camélias.... heu... Ou le bouquin plantage sous le sapin de la part du chéri, et en plus destiné à ma gamine... et que non non non, même pas en rêve... Maruo pour notre môme, non mais t'es pas dingue ! ( et je lève les yeux au ciel...)

Je ne sais pas s'il s'est fait avoir par la couverture très belle (ça lui est déjà arrivé, de se faire avoir par les couvertures)... je ne sais pas s'il l'a lu, voir feuilleté pour avoir l'idée saugrenue de vouloir l'offrir à notre môme ( et ce même si c'est une grande ado)...
Parce que Maruo il est quand même connu pour son glauque malsain cul, ou Ero-Guro comme on dit (érotique-grotesque, je dirais plutôt space et malsain voir cauchemardesque que grotesque)....

Je lui ai donc demandé le pourquoi de la chose, il m'a dit pour la manière de dessiner.. « c'est beau ! »
Et bon ok Maruo a en effet un style très très particulier, la beauté dans l'horreur c'est vrai.. Oui Maruo c'est beau, très beau... mais heu non.. Parce que c'est aussi profondément dérangeant, étrange, avec Maruo nous sommes bien souvent dans le fantasme pervers, la perversion malsaine, sorte de fil du rasoir.. Et vu notre môme, à l'heure où j'écris cet avis, hurle à tue tête le générique de Black Clover (shonen de base fantasy), je me dis que non j'ai pas spécialement envie qu'elle se lise des trucs comme ça.. je la sens pas super prête pour se prendre ça dans la face, c'est pas bien utile même...

Donc c'est moi qui me suis retrouvée avec ce livre... chouette... Pourquoi mon chéri ne peut pas s'empêcher à chaque Noël, (il me fait le coup à chaque fois), de me mettre une tite couche de glauque ?... aucune idée..^^

Maruo a un côté hypnotisant, de la difficulté à détourner le regard, alors que ce qu'on regarde nous révolte, révulse, fout grave mal à l'aise.. et pourtant ouais mazette c'est beau.. je dois dire que j'ai beaucoup plus ressenti cela avec La chenille, qu'avec La jeune fille aux camélias.. pour La Chenille j'ai encore certaines cases dans ma rétine, et certaines sensations de lecture ( pas super bonne les sensations) alors que cela remonte à des années...
Je ne sais pas trop ce qu'il va me rester de celui-là... et je me rends compte que j'ai même pas fais le pitch de cette histoire ma foi sordide...

Pitch :
Midori, pitchoune de douze ans, après qu'elle ai tout perdue ( père et mère morts) se retrouve à bosser dans un cirque, une parade de monstre... et heu c'est glauque de chez glauque...
Midori devient la victime du pire sans passer par la case meilleur, victime de toutes les brimades possibles, les humiliations, les tortures tant physiques que mentales... le cirque bat de l'aile et le patron (glauque et malsain comme le reste, même s'il n'est un freaks) embauche pour remonter les finances et attirer les spectateurs Masamitsu le Magnifique, un nain magicien, qui fait un tour ma foi renversant et impossible... Masamitsu va prendre sous son aile et ailleurs la jeune Midori... Mais qui est-il ?

Les personnages du cirque m'ont grandement fait penser à ceux de Tod Browning et son film Freaks seulement dans le film de Browning ce n'était pas du tout le même sujet, les freaks se faisaient ostraciser et persécuter à cause de leur apparence alors qu'ils étaient bons à l'intérieur, remplis de sentiments, ici pas la même du tout, ils sont aussi laids à l'extérieur qu'à l'intérieur, mauvais méchants retors et profondément répugnants et à tous les niveaux... y en a pas un pour sauver l'autre.
Il ne faut pas être grand clerc pour définir le personnage de Masamitsu, et pourtant les questions se posent quant au pourquoi, ses raisons profondes, tout autant que sa destiné...
Une fable, un conte surréaliste complètement, surréaliste dans son traitement, tant narratif que graphique.. tant au niveau des réactions des autres par rapport à Masamitsu et ses pouvoirs...

Les rêves, l'interne de Midori est tout autant naïf et beau, que ruines enneigées... l'image d'ailleurs de ce bâtiment en ruine, j'avais l'impression de l'avoir déjà vu en photo, elle m'a d'ailleurs renvoyé à un autre manga Le pays des cerisiers (qui n'a rien à voir, pas de l'ero-guro du tout), le côté témoignage et preuve de l'horreur des bombes.. et je ne sais pas si cela est voulu par Maruo ou si c'est moi qui me fais des films, c'est tout à fait possible et pour les deux options. Et en écrivant cet avis je me pose la question, cela a-t-il un rapport ?.. dans les mangas quels qu'ils soient d'ailleurs, le souvenir, la trace de ce passé est bien souvent présente, représentée d'une façon ou d'une autre... mais c'est un peu normal, enfin je pense.
Et là pour ce Maruo, pour cette jeune fille aux camélia je me demande... si ça a un rapport avec la choucroute...

Le sexe n'est pas frontal comme a pu le faire Maruo dans d'autres histoires, et pourtant il est là, en arrière plan, toujours, grotesque ou malsain, ça suinte, le côté pégeu et dégueulasse, mais en filigrane en suspension dans l'air et dans la tête... et je ne sais pas si c'est pas pire...

Maruo a bien souvent adapté en manga des romans, là non l'histoire est de son cru, et il laisse plein de trous faut dire ce qu'y est, il laisse son lecteur un peu dans la panade sur certain point, veut-il faire travailler le lecteur ? C'est fort possible, et nous donne une fin totalement complètement ouverte...

Et pour en revenir à la couverture qui a attiré l'oeil de mon chéri.. Maruo la trouve putassière, mais comme quoi ça marche... ^^
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Retour à Maruo Suehiro, avec un de ses plus célèbres titres, La Jeune Fille aux camélias. Une relecture, en fait : cette BD avait été ma deuxième lecture de l'auteur, après son adaptation de L'Île panorama d'Edogawa Ranpo. Sauf qu'à l'époque, La Jeune Fille aux camélias m'avait laissé passablement froid – ou perplexe… du coup j'ai sans cesse retardé ma chronique, au point où il était devenu impensable car absurde d'en livrer une. Depuis, cependant, j'ai lu d'autres BD de Maruo : d'abord L'Enfer en bouteille, que j'ai bien aimé sans plus ; ensuite et surtout, La Chenille, une autre adaptation d'Edogawa Ranpo – or j'ai adoré cette dernière BD, et supposé qu'il pourrait être intéressant de revenir après coup à La Jeune Fille aux camélias… C'est aujourd'hui chose faite, et mon indifférence initiale, sinon ma perplexité, n'est plus qu'un mauvais souvenir. Je suppose que cela n'est pas si étonnant : certains auteurs se gagnent, se méritent, il faut les apprivoiser – ou peut-être vaudrait-il mieux formuler les choses dans l'autre sens : il faut s'y éduquer. Concernant Maruo, j'en suis convaincu.



La Jeune Fille aux camélias, de son prénom Midori, est semble-t-il un personnage récurrent dans le répertoire du kamishibai, ce « théâtre » reposant sur des illustrations, qui semble avoir eu une certaine influence sur le développement du manga (voyez en tout cas la Vie de Mizuki) ; c'est un personnage de petite fille (douze ans, dans la BD) soumise aux pires avanies – nous en connaissons bien des avatars en Occident, mais Maruo m'incite à privilégier le cas de Justine…



Ici, dans un cadre années 1920 (disons fin Taishô, début Shôwa) visiblement typique de l'auteur, Midori, abandonnée par son père, jetée à la rue après la mort de sa mère, tombe entre les griffes d'un cirque, ou plus exactement d'un freakshow qui ne manque pas de nous évoquer le Freaks de Tod Browning – ou, bien, bien postérieure à la BD de Maruo (qui date de 1984), la quatrième saison d'American Horror Story, tiens : je viens de voir ça, j'ai bien aimé… Or, si, dans le film de Tod Browning, les vrais monstres n'en ont pas l'apparence, ici, la hideur physique est une incarnation de la hideur morale. Ces freaks sont des êtres répugnants ; non que leur totale licence soit répréhensible (on est chez Maruo, hein), mais ce microcosme est profondément sadique, chaque monstre se vengeant de ses propres souffrances sur qui se trouve plus faible que lui ; tout au fond de ce puits des sévices sans cesse répercutés, il y a Midori – elle prend pour tout le monde, soumise à des vexations qui s'apparentent à de la torture, physique comme morale, et éventuellement sexuelle ; en notant cependant que La Jeune Fille aux camélias n'est pas à cet égard une BD aussi crue et frontale que La Chenille – nous sommes assurément dans de l'ero guro, ici, avec tous ces monstres, ces séquences folles, ces sévices impensables, mais on ne fait pas vraiment dans la pornographie, en tout cas pas au sens le plus strict ; bien, par contre, dans un certain érotisme malsain ; vraiment très malsain…



Mais c'est semble-t-il l'apanage des spectacles de monstres : les finances sont désastreuses. le patron, qui suinte la perversion, accapare le peu d'argent gagné par ses employés, qui crient famine, mais il est bien conscient qu'il lui faut trouver quelque chose pour relancer ses affaires, sous peine de devoir baisser le rideau… C'est alors qu'il rencontre Masamitsu le Magnifique – un nain, et un prestidigitateur doué, dont le clou du spectacle consiste à entrer et sortir sans l'ombre d'une difficulté dans une bouteille. Il y a forcément un truc, non ? Forcément…



Masamitsu rencontre un immense succès – or il a aussitôt pris Midori sous son aile : assistante, envisagée d'abord paternellement, mais bientôt amante. Ce qui ne manque pas de susciter la jalousie et la haine des monstres… Mais Masamitsu le Magnifique semble doté de bien étranges pouvoirs, décidément ; et est-il véritablement l'homme bon qui a charmé Midori et a pansé ses plaies ?



Il n'y a pas forcément grand-chose de plus à dire concernant le scénario (original, là où les BD de Maruo que j'avais lues jusqu'alors étaient souvent des adaptations). Il demeure assez minimaliste, au point presque de l'abstraction, notamment dans les dernières séquences – de plus en plus dénuées de dialogues. Noter que le texte très, euh, « poétique » ? dès les toutes premières pages, ne facilite pas non plus la tâche du lecteur à cet égard (ça n'était sans doute pas évident à traduire, pour le coup… Au passage, j'ai regretté qu'à plusieurs reprises les kanji du décor ne soient pas traduits en note). le sens (?) à accorder à tout cela n'est du coup pas si évident – au-delà même de l'ambiance surréaliste qui caractérise la BD dès le départ, et qui se déchaîne avec la colère de Masamitsu.



L'interprétation de la fin est du coup assez ouverte ? Je suppose… On y croise pêle-mêle l'actualité d'alors, les freaks en folie, Masamitsu indéfini dans tout ce qui sépare le démon méphistophélique et le bon samaritain (on a du mal à croire en un bon samaritain...), tandis que Midori, perdue dans le monde comme dans son inconscient, se confronte de la sorte à l'image de ses parents – tout ceci sous la neige. À tout prendre, le rêve tourne assez clairement au cauchemar – peut-être parce qu'il ne pourrait en être autrement, mais que faut-il en penser au juste ? Forfait…



Dans une improbable (et hilarante) mini-pièce de théâtre qui conclut la BD, Maruo « déclare » que, la BD achevée, elle ne lui appartient plus ; ou, plus exactement, empruntant les traits (ou les mots) de Tsuji Jun, il lance que ce n'est pas à l'auteur de commenter son oeuvre ; « devenant » Terayama Shûji, il ajoute que le non-sens peut constituer du sens (peut-être), suscitant ce commentaire éloquent de « Nabokov » : « … foufoune… » Plus loin, avec « Tsuji » pour interlocuteur et critique, « Maruo » explique (?) avoir voulu caricaturer un certain sentimentalisme japonais, mais qu'on l'a pris au premier degré, bon… Que faire de tout ça ? Ben, ce que vous voulez, j'imagine…



Ceci étant, l'intérêt essentiel de la Jeune Fille aux camélias réside de toute façon dans son dessin – qui est tout simplement parfait, et bien mis en valeur par le choix de la bichromie : dans les premières séquences, qui évoque un cauchemar à la « Figures infernales », le rouge s'invite dans le noir et blanc, et bientôt le domine, qui pare le spectacle grotesque et sadique de teintes de sang, de feu et d'abîme. Après quoi, le trait extrêmement fin de Maruo n'est pas noir, mais bleu sombre, ce qui produit un rendu intéressant.



Les tableaux totalement surréalistes du calvaire de Midori, mais aussi, tout autant, ceux de ses rêveries naïves, produisent des pages complexes et saisissantes, très réfléchies, réalisées avec une attention immense, qui sont autant d'oeuvres à part entière. En outre, il y a toujours, dans ces planches, quelque chose qui remue, quelque chose qui « n'est pas normal », et qui renforce encore la puissance du trait – cela peut être aussi bien la folie des freaks affichant une sorte d'anti-humanité (l'apanage notamment d'une femme-serpent bien différente de celle d'Umezu Kazuo, outre l'incarnation du harcèlement sexuel qu'est la momie), ou la mise en avant de la naïveté et de la fragilité de Midori, dont les yeux, périodiquement, adoptent une taille démesurée, avec les cils adéquats, qui en font un personnage de shôjo (eh) très naïf et enfantin, à la fois totalement à sa place et totalement décalé dans ce contexte grotesque (et là, pour le coup, j'ai repensé à La Femme-serpent d'Umezz – mais Midori, à vrai dire, aurait pu figurer dans d'autres de ses BD, au-delà de ces traits ponctuellement appuyés).



La relecture a donc été bénéfique, et, maintenant, j'ai pu apprécier La Jeune Fille aux camélias à sa juste valeur : c'est bel et bien un très bon titre, un Maruo de qualité – même si, pour l'heure, ma BD préférée de ce maître de l'ero guro demeure la bien plus frontale La Chenille. Il me faudra de toute façon approfondir tout ça…
Lien : http://nebalestuncon.over-bl..
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Quel cirque ! pas celui des exploits acrobatiques, avec musique et parade, mais celui des miséreux petits cirques ambulants qui offraient aux regards les malheureux "monstres" humains. Ici, pas de femme à barbe, ni d'Elephant-man, mais une femme serpent, un homme tronc, une "momie", un garçon-fille et quelques autres...
Midori est une ravissante très jeune adolescente abandonnée par son papa, seule au monde depuis la mort de sa maman, qui, un sinistre jour, a accepté de devenir saltimbanque dans ce bizarre cirque en espérant y trouver pitance et protection. N'ayant aucune difformité à présenter au public elle est donc la bonne à tout faire de ce petit monde. Maigre pitance et nombreuses humiliations sont devenus son lot. Jusqu'au jour où le Prince Charmant arrivera : un nain illusioniste dit "Le Magnifique" !

Foison des références littéraires tant du vieux continent que du Japon traditionnel, foison des références cinématographiques de "Freaks", "M. le Maudit", "Le Chien andalou", références aux Cabinets de Curiosités conduisent à la découverte (pour moi) d'un courant artistique japonais combinant érotisme et grotesque et une tradition plus ancienne de gravures d'horreur et de sexe.

Ce qui a attiré mon regard, c'est la couverture qui évoque le graphisme des années 40-50 : une toute jeune fille, Betty Boop moins coquine, regarde bouche bée d'étonnement ou d'angoisse un être, une chose qui la domine. le graphisme précis et délirant, alternant douceur et tortuosité m'a complètement émerveillée. de fins traits noirs qui donnent l'impression d'être dessiné à la plume. C'est à la fois précis et déroutant, envoutant.

Très beau recueil qui sent si bon le soufre.
Hop ! il trouve sa place (petite par la taille mais grandiose pour son talent) dans l'"enfer" de ma bibliothèque.
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C'est la première de couverture qui m'a tout d'abord attirée, avec ses couleurs désuètes, ce personnage féminin à l'air surpris et les accessoires qui l'entourent. Et surtout cette torinawa, la fameuse corde dans l'hojōjitsu qui sert à ligoter un prisonnier, ou un esclave...
Je connaissais l'auteur par d'autres de ses illustrations (suite à mes nombreuses errances sur le web) mais je n'avais jamais lu ses albums. Qu'elle surprise!
À la lecture des premières pages, je ne savais pas si j'aimais ou si je détestais...les textes sont troublants, les dessins envoûtants et dérangeants. Mais qu'est ce que c'est beau! du beau malsain, de la sublime étrangeté.
J'ai été réellement fascinée par les illustrations, l'esthétique est parfaite à mon goût, un vrai bijou. Pour autant je suis consciente que cet ouvrage n'a pas sa place entre toutes les mains, mon mari a détesté :)
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La jeune fille aux camélias nous conte l'histoire de Midori, une jeune fille à la beauté juvénile. La douceur de ces traits n'a d'égale que son manque de chance et les joies que la vie lui apporte sont souvent très chèrement payés ensuite. le dessin est magnifique, ciselé, plein de détails et pourtant très clair, lisible, de cette beauté dérangeante qui semble cacher des horreurs. 🖤

Évoluant dans l'univers des spectacles "Freaks" cher à l'auteur, l'histoire nous parle de misère et de grandeur, de beauté et de monstruosité, de gentillesse et de méchanceté. Tout n'est qu'excès et Midori, elle, telle une fleur de trottoir, semble trop belle pour ce monde. Un monde qui sera bien cruel avec elle, car dans l'ero guro de Suehiro Maruo, la justice n'a pas sa place, mais rien n'empêchera la beauté de fleurir même dans les endroits sombres. ❤️🖤
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Je savais que tu ne réussirais pas.
Il fallait dès le départ prendre ma main.
Ah ! Mais c'est vrai ! Tu n'as pas de main...
Que je suis bête ! Désolé !
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Pardonnez le malheur
Pardonnez la misère
Bouge ton train
Tu deviendras babouin
Montre ton derrière
Tudeviendras une vipère
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Explosion 7
Joie et tristesse coulent avec le temps
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Explosion 5
Dispositif moralisateur du regard voyeur
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- Salles gosses ! Vous avez bien payé votre entrée, j'espère ?
- Bien sûr que non !
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"Ce Docteur Inugami est une belle surprise pour ma part, il se lit d'une traite, on enchaîne les chapitres sans voir le temps passer et le temps de le dire, c'est déjà fini."
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