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3,3

sur 153 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Edda, Grace, Heather et Kitty sont les quatre filles du révérend Thomas Latimer. Elles ont grandi à Corunda, en Nouvelle-Galles-du-Sud. Edda et Grace sont jumelles, filles du premier mariage du révérend. Heather et Kitty le sont également, nées des secondes noces du pasteur. Maude, la mère des deux dernières, n'a jamais caché sa folle préférence pour Kitty, dont la beauté exceptionnelle frappe toux ceux qui la croisent. Mais entre les soeurs, point de jalousie. Les quatre filles s'aiment et se soutiennent envers et contre tous. « Comment aurait-il pu deviner la puissance des liens qui unissaient des soeurs, des jumelles plus encore ? » (p. 359) C'est ensemble qu'elles entrent à l'hôpital de Corunda pour devenir infirmières. Dans les années 1920, en Australie, la profession est en train de changer et l'ambition des filles Latimer ne pourra qu'en bénéficier. Chacune choisit alors son destin. « Leurs personnalités avaient modelé différemment leurs traits, et leurs regards ne se posaient pas sur le même horizon. » (p. 19) Grace préfère se consacrer à un époux et à une famille. Edda est déterminée à devenir la meilleure et à voyager pour oublier sa déception de ne pas avoir suivi d'études de médecine. Heather veut également se consacrer à son métier et ne pas s'encombrer d'un mari. Kitty hésite entre bonheur conjugal et indépendance. Les années passent, les soeurs restent soudées même si la vie écarte leurs chemins. « Comment pourrait-on faire l'économie du chagrin lorsqu'on perd la moitié de soi-même ? » (p. 100) Autour d'elles, alors que l'hôpital se modernise sous l'impulsion de son nouveau directeur, l'Australie souffre de la Grande Dépression.

Après avoir lu Les oiseaux se cachent pour mourir et L'espoir est une terre lointaine (méconnu, mais bien plus épique que le précédent), j'espérais un autre grand roman australien de Colleen McCullough, un texte passionné et passionnant. Hélas, ce roman est plaisant, mais sans profondeur. Il s'attache surtout à rappeler sans cesse, jusqu'à l'overdose, combien les soeurs Latimer se ressemblent, mais pas tant que ça. « Lorsque vous connaîtrez mieux les soeurs Latimer, vous vous rendrez compte qu'au sein de chacune des deux paires de jumelles les traits communs se trouvent nettement délimités chez l'une tandis que chez l'autre on les croirait un peu gauchis, déformés comme dans les miroirs concaves ou convexes des fêtes foraines. » (p. 198) Comme s'il était vraiment nécessaire de démolir à ce point le mythe selon lequel les jumeaux de même sexe sont identiques, copies conformes sans distinction, ni saveur. Mon regard sur la question est sans doute biaisé puisque j'ai un frère jumeau et deux petites soeurs jumelles qui n'ont ABSOLUMENT RIEN de conforme. Autre point que l'auteure répète encore et encore, c'est l'immense affection qui lie les quatre jeunes femmes. « Les filles du pasteur ne demandent rien d'autre que de voir leurs soeurs nager dans le bonheur. » (p. 388) Sorti de cela, le roman tente une réflexion assez maigre sur l'indépendance et l'émancipation des femmes. Bref, Les quatre filles du révérend Latimer offre un bon moment de lecture, mais bien décevant par rapport à d'autres romans de la même auteure.
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On est dans la saga féministe avec le récit des destins de quatre soeurs vouées à leur époque à être des épouses et des mères. J'ai beaucoup aimé les portraits de chacune, des caractères forts et convaincus que l'épanouissement personnel passe par l'assouvissement de ses désirs et l'accomplissement de ses rèves, de sa vie tout en menant vie amoureuse et maternelle.
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Avis mitigé pour ce livre.

J'ai adoré les personnages d'Eda, Grace, Heather et Kitty que j'ai trouvé très attachantes et intéressante toutes à leur manière.

Après l'histoire en elle-même (au début) est sympathique, on prend plaisir à suivre les aventures des "filles" mais elle devient (trop) vite lassante et les péripéties des quatre soeurs, de plus en plus "tirés par les cheveux" finissent par nous faire perdre notre intérêt pour l'histoire ...

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Je remercie chaleureusement les éditions de l'Archipel ainsi que Babelio pour l'envoi de ce joli roman. Je ne connaissais Colleen McCullough que de nom, de par l'écriture de son best-seller Les oiseaux se cachent pour mourir (que je compte d'ailleurs bien découvrir un jour). Les quatre filles du révérend Latimer constitue le tout dernier écrit de l'auteure, avant sa disparition. Ce roman fait office de saga familiale puisque nous suivons le destin de deux paires de jumelles, toutes quatre unies comme les doigts de la main, et ce sur une période s'étendant de 1925 à 1933. Si j'ai apprécié ma lecture, notamment grâce à des portraits joliment esquissés tout en étant suffisamment creusés et réalistes, j'ai pour autant trouvé quelques longueurs ainsi qu'un climat mettant en avant une certaine amertume. Ce sont, je crois, les deux seuls points négatifs que je retiendrai, et qui font que peut-être je n'ai pas accroché autant que je l'aurais souhaité. Malgré tout, j'ai plutôt passé un bon moment.

En Australie, dans l'entre-deux-guerres, quatre soeurs rêvent de liberté et d'indépendance. C'est décidé, elles suivront des études à l'hôpital de Corunda, afin d'obtenir le diplôme d'infirmière. Edda, l'aînée, a pour objectif de devenir médecin, ce qui n'est pas sans déplaire à Maude Latimer, la seconde épouse du pasteur au caractère bien trempé. Grace, sa jumelle, la suit afin qu'elles ne soient pas séparées. Kitty, peut-être la plus fragile des soeurs mais aussi la plus jolie, en profite pour échapper à la mauvaise influence de sa mère qui la rend maintenant malheureuse depuis plusieurs années. Heather (Tufts), la plus pragmatique, suit sa soeur de près afin de veiller sur elle.

De fil en aiguille, ces jeunes femmes évoluent, rencontrent l'amour, font des projets. Les routes se séparent, se rejoignent à nouveau. Une chose est sûre : elles seront toujours là les unes pour les autres. Grace sera la première à se marier. Les revenus modestes de Bear, son époux, seront bien justes pour qu'elle parvienne à élever leurs deux enfants et à garder la tête hors de l'eau… Edda, la plus indépendante, entretiendra une liaison avec un homme sans renoncer pour autant à son désir d'exercer la médecine. de son côté, Kitty rencontrera un homme richissime souhaitant s'élever dans la politique. Heather s'entichera quant à elle d'un homme plus âgé, travaillant à l'hôpital. Des joies, des peines, bon nombre de difficultés mais aussi la venue de la Grande Dépression sillonneront leurs destins tout en mettant parfois leurs nerfs à rude épreuve.

J'ai adoré Edda et Kitty, mes deux personnages préférés de ce roman. La première pour sa force de caractère et son indépendance. La seconde pour sa fragilité, mais surtout car je me suis sentie plutôt proche de son personnage. Par contre en lisant le tout début du roman, je m'attendais à ce que Maude joue un rôle particulier. Malheureusement j'ai trouvé que son personnage s'effaçait un peu trop vite de l'intrigue, dommage. J'ai pour autant apprécié voir évoluer les personnages au fil des années. J'ai également trouvé le pasteur plutôt sympathique, de par l'attachement qu'il montre à ses filles et son côté rassurant. du côté de l'écriture, l'auteure met en avant un style littéraire agréable, non sans apporter une petite touche d'humour ce qui est appréciable. Comme je vous le disais, j'ai pour autant trouvé que les évènements de vie s'inscrivaient vite dans une spirale assez négative. Heather est peut-être celle qui s'en sort le mieux d'un certain côté… La fin nous livre quelques rebondissements ! Je suis plutôt contente du choix de Kitty, et je ne sais pas si j'aurais osé celui d'Edda…

En résumé (car je pourrais encore vous en parler pendant des heures), un roman agréable à lire et prenant de par son côté destin de femmes dans cette période des années 20-30. J'ai également pu apprendre de nombreux éléments sur l'histoire de l'Australie. Malheureusement, il y a des longueurs. Je me suis ennuyée au cours de certains passages. Et puis, j'aurais peut-être souhaité autre chose pour Grace. Malgré quelques points négatifs, nous suivons pour autant le destin de ces quatre soeurs avec plaisir.
Lien : http://labibliothequedebened..
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J'ai lu LES QUATRE FILLES DU REVEREND LATIMER.
Aie aie aie … quelle déception !
Il y a quelques années j'avais découvert cette auteure grâce à son incroyable roman LES OISEAUX SE CACHENT POUR MOURIR. C'est donc les yeux fermés que je me suis lancée dans cet autre roman de Colleen McCullough.
Durand les premières pages je m'attendais à lire une réécriture des quatre filles du docteur March mais en une version australienne se déroulant pendant la grande dépression (post 1ère guerre mondiale). Et, de toutes évidences, ce n'est pas ça du tout.
La première partie du roman nous présente les quatre filles du révérend Latimer ; deux paires de jumelles aux caractères très différents mais qui vont toutes les quatre entrer en formation d'infirmière ; certaines par conviction, d'autres pour suivre leur soeur.
C'était fort intéressant de suivre cela : de voir la place et l'image qu'avaient les infirmières à cette époque. J'ai aimé la description de l'Hôpital, de la société de l'époque. Et j'aimais les personnages principaux.
Puis la première trouve l'amour et là … ce fut le drame pour moi.
Je m'attendais à suivre les différentes relations des soeurs, un peu comme dans little women mais ça n'avait aucun rapport … dans ce roman, tout est très superficiel. On nous décrit les relations humaines avec un détachement terrible ! C'était très frustrant et très inconfortable comme lecture.
Je ne me sentais pas investie et les personnages de le semblait pas beaucoup plus.
Puis la suite ne m'a plus guère enchantée : c'était aberrant. Tous les choix étaient illogiques et sans fondement ; pas de moral, pas de message …
La fin semblait bâclée et pas du tout anticipée … j'ai été sidérée par les choix de l'auteure plus d'une fois. Je ne comprenais pas du tout où elle voulait m'amener.
Au final, je pense être passé à côté d'un message important … ou alors c'est qu'il n'y en avait pas du tout …
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Les quatre filles du révérend Latimer est un roman qui met en scène quatre jumelles : Edda et Grace, les aînées, et leurs demi-soeurs, Kitty et Tufts. Afin de se soustraire à leur (belle-)mère, elles décident toutes les quatre d'entreprendre des études d'infirmières, avant que chacune ne commence à suivre sa propre voie.

J'attendais beaucoup de la part de Colleen McCullough, dont j'ai adoré Les oiseaux se cachent pour mourir, au lieu de quoi j'ai été extrêmement déçue par ce livre. À aucun moment je n'ai réussi à entrer dans l'histoire, pas plus que je me suis attachée aux personnages.

Le principal problème de ce roman vient d'eux, d'ailleurs, car ils sont incohérents. Tantôt ils agissent d'une manière, tantôt d'une autre. À l'exception peut-être de Grace, les soeurs m'ont paru interchangeables, et dès que je croyais en avoir cerné une, son attitude et ses réactions recommençaient à m'échapper. Je me suis également lassée d'entendre répéter tout du long combien elles étaient belles et intelligentes, et de voir la fortune toujours finir par leur sourire, d'une manière ou d'une autre.

Quant à l'intrigue, tout du long, je me suis demandé où l'auteur avait l'intention de mener ses lecteurs, parce qu'il n'y a pas fil conducteur, ni même de suspens. La vie des quatre soeurs Latimer défile simplement au gré des années 20 et 30 en Australie, parsemée d'évènements que l'on ne voit pas venir avant qu'ils surviennent, et qui s'enchaînent inlassablement.

De ce fait, ce roman n'est clairement pas addictif, sans parler des longs passages consacrés à la médecine, à l'économie et à la politique. Si les premiers ont su un peu capter mon intérêt, les autres, en revanche, m'ont surtout ennuyée.

Bref, je suis très déçue par ce roman, qui ne souffre pourtant même pas de la comparaison avec Les oiseaux se cachent pour mourir, tant ils n'ont rien à voir. Je n'ai juste pas accroché du tout.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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Ce roman parle de la vie de quatre soeurs en Australie durant l'Entre deux guerres.

Il y a certains points qui m'ont dérangé. Ce n'est pas un roman ancien mais c'est peut être du à l'écart d'âge entre l'auteure et moi.

Je trouve que la relation entre les soeurs est toxique. Sous le côté hyper complice, il y a beaucoup de non-dits, de comportements malsains.
Grace pousse son mari au suicide. Elle l'avoue et ça ne choque pas ses soeurs ni ses beaux-frères. Elle, qui voulait être indépendante, va réclamer de l'argent. Bref, j'ai détesté ce personnage.

J'ai beaucoup aimé le côté historique. Je ne connais que très peu l'histoire de l'Australie (notamment la relation avec l'Angleterre à l'époque).


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J'ai bien aimé ma lecture, malgré pas mal de longueurs, mais il est vrai que, quand j'ai terminé le livre, je n'ai pas eu d'autres pensées que : « Tout ça pour ça ? ».

Chacune des soeurs Latimer a une personnalité bien distincte, au point qu'on en oublie qu'Edda et Grace, ainsi qu'Heather « Tufts » et Kitty sont jumelles.
J'ai trouvé dommage que l'auteur survole Heather. Il faut dire qu'elle est la seule à ne pas faire de vagues. Sérieuse et raisonnable, elle cesse de voir son mentor quand leur réputation à tous deux serait susceptible de souffrir de leur amitié et revient vers lui quand ce danger est passé. Elle ne se bat pas bec et ongle pour avoir une avancée professionnelle, se contentant de se montrer à la hauteur et de saisir les opportunités qu'on lui propose. Elle ne souhaite ni trouver le grand amour, comme Grace, ni être mère de famille à tout prix, comme Kitty, ni même exercer un métier qui est encore très masculin, comme Edda. Elle est là, elle est solide et attentive, mais on dirait que, comme elle ne crée pas de scandale, elle ne vaut pas la peine de s'y attarder.
Edda, elle, adore son métier d'infirmière, mais son rêve aurait été d'être médecin. Bien que la loi le lui permette, les femmes médecins n'ont pas la vie facile car il s'agit encore d'un métier très masculinisé. de plus les études ne sont pas données et son père, poussé par son épouse, ne lui a pas permis de suivre cette voie. Edda peut paraitre très autoritaire mais c'est parce qu'elle veut le meilleur pour les siens.

Grace est sans doute celle que j'ai le moins appréciée. Elle est tour à tour pleurnicheuse, agressive, intéressée…

A quasiment chacune de ses apparitions, elle m'a tapé sur le système.

Enfin, il y a Kitty. Kitty ne vit que pour les enfants : ceux du service pédiatrique, puis ceux de l'orphelinat. Elle rêve plus que tout d'en avoir à elle. La malédiction de Kitty c'est sa beauté époustouflante. Sa mère l'a menée partout comme une bête de concours sans se préoccuper des sentiments de sa fille et, une fois libérée de cette mégère, elle continue à être jugée avant tout sur ses traits.

Autour de ces quatre soeurs on voit plusieurs personnes. le révérend Latimer, leur père, gentil mais trop effacé, Maud, belle-mère d'Edda et Grace et mère de Tufts et Kitty, malveillante et égoïste, Jack, qui se comporte parfois en gamin capricieux, Bear, totalement irresponsable, Charles, lamentable à tout point de vue, et enfin mes deux personnages secondaires préférés : le docteur Liam Finucam, ami et mentor de Tufts et Rawson Schiller, un politicien qui va être d'une grande importance dans la vie d'Edda.

Le plus gros intérêt du livre, à mes yeux, c'est de nous dépeindre la vie en Australie une fois que le pays a été touché par la crise économique qui a débuté avec le crash boursier de 1929.

En parallèle, on peut assister à l'émancipation de la femme avec entre autre la création du diplôme d'état d'infirmière qui va permettre à ces dernière d'être mieux rémunérée et donc plus indépendantes.

Malgré tout, j'ai eu une impression d'inachevée. L'impression qu'il n'y avait pas de fin, qu'on arrêtait tout au milieu d'une scène. J'attendais plus de problème de la part de Maud, par exemple.

Malgré tout, si le côté « saga familiale » m'a laissée plutôt froide, j'ai beaucoup apprécié le côté historique.

On ne peut donc pas dire que c'était une mauvaise lecture, mais on est loin du coup de coeur.
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Cette histoire se lit agréablement. Cependant, livre sans profondeur. Que de description de tenues, de couleurs d'yeux et de cheveux!
Un grand nombre de phrases sont incompréhensibles. Est-ce dû à la traduction?
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Née à Wellington, en Australie, Colleen McCullough (1937-2015) a d'abord suivi des études d'infirmière, puis de neurophysiologie, avant de se consacrer à l'écriture. À 37 ans, elle publie son premier roman, Tim (Archipoche, 2015), trois ans avant son best-seller international Les oiseaux se cachent pour mourir.

Avec Les quatre filles du révérend Latimer, Colleen McCullough signe un ultime roman dans la veine de ses grandes fresques sentimentales. Malheureusement, on s'attendait à tout sauf à cette longue chronique familiale teintée d'amertume et de nostalgie !

Les quatre filles du révérend Latimer fait partie de ces grands romans féminins comme il en existe déjà beaucoup. Certes, les personnages sont intéressants : intelligentes, indépendantes, pleines d'ambition et de répartie, les quatre filles du révérend Latimer sont attachantes et n'hésitent pas à braver les interdits pour faire triompher leurs convictions. Mais la passion et la rigueur historique avec lesquelles l'auteure narre son récit ne suffisent pas à convaincre. La destinée des quatre filles Latimer, leur recherche de l'amour et leur inextinguible soif d'indépendance ne parviennent pas à séduire le lecteur, encore moins à le divertir.

On ne doute pas un seul instant que celles-ci finiront par trouver l'amour et construire leur bonheur loin des conventions mais il manque définitivement un souffle romanesque pour porter cette longue, trop longue, fresque au ton doux-amer ! La lenteur de l'intrigue lasse, agace et on finit souvent par soupirer d'ennui !

«Rien n'est jamais vraiment doux s'il ne s'y glisse une pointe d'amertume.»

Bref, on attendait bien mieux de la part de l'auteure de Les oiseaux se cachent pour mourir !
Lien : http://histoiredusoir.canalb..
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