Sonya Florey entreprend l’exercice difficile d’analyser comment s’articulent littérature et économie néolibérale sur la période 1980-2010. À partir d’un large corpus d’œuvres, plus de quarante romans ou récits en langue française, elle réfléchit à la place de l’écrivain et aux nouvelles formes d’écriture pour traduire un réel déjà saturé de discours de communication et traversé par l’idéologie néolibérale.
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