« L'argent qu'il gagnait glissait entre ses doigts et il remerciait chaudement ceux qui, en lui signalant des infortunes dignes d'intérêt, lui permettaient de les soulager. Sa bourse était toujours ouverte pour des prêts qu'à l'avance il savait bien être des dons. … A la mort de Millet, et sachant la gêne où celui-ci avait laissé sa famille, il constituait pendant dix ans une pension à sa veuve. … Nous ne serions pas embarrassé pour mentionner une foule de témoignages pareils de sa générosité toujours ingénieuse et vigilante ; et combien cependant sont restés ignorés ! »
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Corot, plus je suis admirative et de l'artiste et de l'homme.
« le jour de sa mort, refusant la nourriture qu'on lui offrait pour son repas du matin, il balbutiait avec son bon sourire : « Aujourd'hui, le père
Corot déjeune là-haut ». le soir même, à onze heures, il s'éteignait.