Elles avaient bien du charme ces « amies d'Héloïse » auxquelles le public fit un si grand accueil et qui valurent à Hélène de Monferrand le prix Goncourt du premier roman. Jamais encore on n'avait parlé avec une telle liberté de ton de ces amours qui, pour singulières qu'elles paraissent, obéissent aux lois de toutes les amours. La très jeune Héloïse y faisait son éducation sentimentale, semant sur son passage des drames dont elle n'était pas toujours responsable ; ... >Voir plus