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3,09

sur 767 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'avais envie de lire quelque chose d'amusant, échec sur toute la ligne. J'ai détesté les personnages, tout le monde en fait beaucoup trop dans la bêtise, la méchanceté, le no-limit à tel point que c'en est désolant. J'ai peiné pour terminer le livre. Ça me rappelle le film "Bernie" de Bernie Bonvoisin que j'avais détesté.
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Comment ma bibliothécaire a réussi à me faire lire ce bouquin?

« J'ai remarqué que vous aimiez beaucoup la saga du Bourbon Kid alors vous devriez aimer Les vacances d'un serial killer. C'est un humour caustique, à prendre au second voire au millième degré, c'est décalé et vous rirez ».

Ok, alors tentons le coup!

Elle ne s'est pas trompée, il y a bien une intrigue décalée avec un humour spécial et une histoire tirée par les cheveux. Oui mais… Elle a oublié de me prévenir que les personnages seraient aussi caricaturaux.

[Avis complet sur mon blog]
Lien : http://lesentierdesmots.word..
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Plusieurs personnes m'ont vanté l'univers décalé et extravagant des romans de Nadine Monfils. Je n'ai absolument pas retrouvé ce qu'on m'avait prédit dans cette première aventure de Mémé Cornemuse. En vérité, je n'y ai trouvé aucun intérêt. Dans un suspense insoutenable, j'ai attendu en vain que l'intrigue sorte de ses rails et c'est la seule chose qui m'a empêchée d'abandonner avant la fin. La narration est complètement linéaire et tous les événements sont prévisibles voire téléphonés. Des personnages, tous plus antipathiques les uns que les autres succombent les uns après les autres. Il suffit d'imaginer le pire pour que ce soit effectivement l'action suivante dans l'histoire. Même au deuxième ou au troisième degré (attention aux brûlures !), l'humour noir, qui est certainement le pilier de ce livre, ne m'a même pas arraché un sourire. de temps en temps, quatre lignes de poésie côtoient une demi-page de psychologie et puis ça repart dans le factuel meurtrier au ras des oyats. Les deux ados auraient pu déjanter un peu cette histoire convenue, mais ils restent des personnages secondaires rappelant les cinéastes de C'est arrivé près de chez vous. J'essaierai de lire un autre livre de Nadine Monfils mais dans un autre genre parce qu'en ce qui concerne le nanar genre série noire, j'ai déjà ma dose.
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Je ne sais que dire de ce livre, tant il m'a tardé d'arriver à sa dernière page. Rien ne m'a convaincu, ni l'humour ni le surréalisme des situations, ni le style de l'auteure.
Pour autant, je peux comprendre que certains adorent ce livre et aient passé un excellent moment en sa compagnie. Je déplore juste que ce ne fut pas mon cas.
A lire pour se faire sa propre idée.
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Un peu déçue. Je pensais trouver un polar drôle et il s'agit plus d'un road movie familial avec des personnages caricaturaux, pas de réel fil conducteur et une écriture plutôt grivoise. On suit les pérégrinations de la famille Destrooper, notamment au travers d'Alphonse le père et de mémé Cornemuse, la belle mère très portée sur le sexe, la drogue et l'argent.
Ca se lit vite mais peu d'intérêt mis à part d'avoir appris du vocabulaire belge et flamand.
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Achat d'impulsion à la Fnac et séduit par le titre sans doute....me voila bien déçu ....je me suis empressé de finir vite ce livre et de le glisser dans la poubelle....trop caricatural pour y trouver un intérêt ....en tous cas pour moi .
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A la recherche d'un petit livre à lire à la plage léger à l'humour mordant, je m'oriente vers celui-ci malheureusement le drôle n'était pas au rendez-vous. Les personnages sont trop caricaturaux, les dialogues surjoués. C'est un peu la tartine de too much.
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Ça a même failli être « pas du tout » ! J'ai eu beaucoup de mal à accrocher à ce texte. J'ai fini par m'y faire sur les 20 dernières pages…
De nombreux propos vulgaires, énormément de stéréotypes sur les gens du nord, des beaufs dans toute leur splendeur (je n'ai rien contre le Nord et la Belgique, ce sont mes origines). Tout est dans le trop, trop caricatural, trop second degré, trop grossier, trop du grand n'importe quoi. de tous les personnages c'est encore la grand-mère qui est la plus surprenante : une nymphomane qui manipule son monde, les hommes tombent comme des mouches mais pas comme vous l'imaginez, au sens littéral du terme : raides morts !
Un livre qui est un grand succès en librairie, mais pas pour moi.
Lien : http://metaphorebookaddict.w..
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95 pages de ce roman m'auront suffi. Impossible pour moi d'aller plus loin sous peine de grave indigestion. Cet humour pourra vous plaire si vous aimez la grossièreté ( Définition de grossièreté. Caractère de ce qui est grossier, épais : Grossièreté des traits. Manque d'éducation, de finesse, de goût : La grossièreté de ses manières est choquante. Caractère de ce qui choque la bienséance ; parole ou action inconvenantes ). Les personnages sont tous foncièrement horribles, chacun dans leur genre. Je venais juste de finir péniblement son "Babylone dream". Courageusement, j'ai essayé de lui donner une deuxième chance. Mais non, je ne suis pas assez solide. comme je ne l'ai pas terminé je ne peux pas mettre d'étoiles.
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Nadine Monfils, née en 1953, est un écrivain et une réalisatrice belge. Auteur de plusieurs dizaines de romans, elle navigue sur tous les genres, poésie, humour, fantastique, érotique, polar, littérature jeunesse et a animé de nombreux ateliers d'écriture.

La présentation de l'auteur est succincte, mais nécessaire en vue des critiques que je vais faire de son roman « les vacances d'un serial Killer ».
on s'attend à du polar décalé maniant l'humour comme seuls les Belges en sont capables. Et, question décalage, on est véritablement servi.

Un couple de beaufs, une mémé alcoolique, droguée, obsédée sexuelle et totalement barrée, des gamins fainéants, débiles, drogués, accros à la vidéo, un meurtre dans les toilettes, une pension désastreuse au bord de la mer, un temps de merde et...

Je vous laisserai découvrir les autres ingrédients par vous-même, non pas pour préserver votre plaisir de lecture, mais tout simplement parce que je n'ai pas fini ce roman.

Il est assez rare que j'interrompe ma lecture en cours de route, bien souvent je me force à aller jusqu'au bout, au moins pour connaître la fin de l'histoire, mais là... non !
Non pas que l'histoire ne soit pas drôle, effectivement, Nadine Monfils nous propose des personnages absurdes, méchants, violents, mais surtout bas de plafond ; mais, l'absurde ne suffit pas pour faire la qualité d'un roman, surtout quand tout est poussé à son maximum.

Nadine Monfils va trop loin, offrant des personnages vraiment trop absurdes, pas crédibles pour deux sous, surtout la grand-mère, et des situations trop rocambolesques. Pour autant, d'autres auteurs à la plume ravageuse auraient pu en faire quelque chose de très bon (je pense à Pierre Desproges, par exemple, ou même Daniel Pennac), mais, là, Nadine Monfils prend le parti d'utiliser une plume minimaliste.

Je dis prend le parti, puisque, vu le pédigrée de l'auteur (d'où l'intérêt de la présentation), je suppose qu'elle sait manier sa plume quand elle le veut.

Malheureusement, là, elle ne le veut pas et se contente de narrer son histoire sans fioriture, avec un minimum d'effet scriptural comme si les personnages et les situations se suffisaient à eux seuls. C'est un peu comme si un réalisateur, décidant qu'il a des personnages intéressants, se contente de planter sa caméra et de filmer en plan-séquence d'une façon totalement statique. Au bout d'un moment, cela devient chiant.

Et c'est là le grand problème de « Les vacances d'un serial killer », le style. Impossible, pour moi, de passer outre cette fadeur stylistique. Peut-être est-ce dû au fait que je sors de la lecture de trois romans de Daniel Pennac qui, au contraire de Nadine Monfils, use d'une superbe plume qu'il plonge dans le sang du polar.

J'ai pourtant insisté, malgré l'envie très rapide d'interrompre ma lecture, me disant qu'à un moment, la plume de l'auteur ressortirait, mais non.

Et puis les situations abracadabrantesques, les personnes trop déjantées, cette vieille qui en fait trop, beaucoup trop, non, vraiment non, je n'ai pas pu.

Mais, revenons-en à la principale raison de cette sortie de route qui demeure la plume totalement plate que l'auteur a choisie pour sa narration. Un exemple : « Douce nuit, sainte nuit… Alfonse et Josette sont dans leur lit. L'intérieur de la chambre est vétuste, et la déco très kitsch. Sur les murs tapissés de grosses fleurs défraîchies sont accrochés d'affreux tableaux. Alfonse fait la moue en fixant les bateaux en capsules collées sur la toile et l'encadrement garni d'une bande au crochet. »

Je ne m'attarderai pas non plus sur le chapitrage pas toujours judicieux, qui n'arrange rien à l'affaire.

Et pourtant, j'en ai lu des critiques positives qui m'ont convaincu de me plonger dans ce roman alors que j'étais, au départ, un peu sceptique (comme quoi, la première impression...).

Au final, un roman drôle, mais qui manque d'une plume, selon moi, pour faire passer la pilule de personnages et de situations un peu trop « portnawak ».
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