Les vacances d’un serial killer

C'est du lourd ... mais pas dans le sens où je l'utilise d'habitude ... malheureusement !!! Un bouquin déjanté, pourquoi pas ?! Mais là franchement c'est TROP ! Nadine Monfils est dans les extrêmes tout au long du livre ... Un petite plage de réalisme aurait été la bienvenue pour "profiter" de cette lecture ... Là, c'est en ce qui me concerne l'overdose ... le TROP tue ...

C'est une des rares fois où j'ai eu envie d'abandonner un livre…et je ne sais toujours pas ce qui m'en a empêché : peut-être l'espoir que l'histoire allait enfin démarrer, le style s'améliorer…En fait, je n'ai rien aimé : ni l'histoire, ni le style, ni les personnages…
Une famille composée d'un père (Alfonse) « brut de décoffrage », d' une mère (Josette) frivole et bête, caricature de la femme superficielle, de deux ados (Steven et Lourdes) rivés à leurs écrans et d'une grand-mère indigne part en vacances sur les plages du nord, destination de rêve s'il en est ! Dès le voyage, les péripéties improbables s'enchaînent : d'altercations en meurtres non prémédités, de déconvenues en vengeances….Les personnages sont tous des « paumés »….version littéraire des membres de la « famille Groseille » du film La vie est un long fleuve tranquille !
Certes, j'ai bien compris que l'ensemble était au second degré, mais je n'ai vraiment pas aimé cet humour basé sur le grotesque, le vocabulaire cru, voire grossier ou vulgaire, les situations scabreuses ! Je me suis ennuyée tout au long du livre !

Que dire... Je m'attendais vu les critiques a me marrer du début à la fin mais pas du tout.


J'ai trouvé l'histoire très moyenne, les personnages ne sont pas du tout attachants, voir même repoussants tant c'est caricatural et stupide; de plus je suis toujours déçue par la présence de vulgarité dans mes lectures, c'est pour moi totalement rebutant, surtout lorsqu'elle n'est pas indispensable et qu'elle n'apporte rien a l'histoire. Voilà qui est dit.


Cependant il faut avouer que n'ayant pas non plus adhéré au livre le Magasin des suicides de Jean Teulé je commence à me demander si ce genre de roman est fait pour moi.

J'avais déja lu un roman de Nadine Monfils dont le nom m'échappe sans être convaincu, j'ai voulu retenter le coup, surtout que pas mal de personnalités
que j'apprécie ( JP Jeunet, Michel Blanc= citent cet auteur en référence .
Mais je pense ne pas être assez attiré par le barré et le second degrès en permanence pour me laisser happer par ce roman. le début est assez amusant, certains dialogues sont assez percutants et savoureux. Et puis on finit par se lasser de l'humour graveleux, de l'argot employé à toutes les sauces.
Sans compter le nombre d'ellipses dans l'intrigue ou les raccourcis qui font qu'on ne comprend plus rien à rien... Même pas un bon moment de lecture mais du lourd du début jusqu'à la fin. Une vraie déception...dommage!!!

Rien qui retienne et qui ne semble véridique dans ce bouquin très vite lu. On s'arrête pas sur l'histoire en elle-même totalement décalée. Seuls les personnages retiennent un peu l'attention car certains sont bien caricaturés. Un peu d'humour, mais ce livre ne laisse pas de souvenir impérissable.

Oulala... Je me suis forcée à aller jusqu'au bout, mais que ce fut difficile....
Bien sûr, on sait d'avance que les personnages sont caricaturaux, mais à ce point là... aucune nuance dans les personnages, dans les décors, dans les situations. C'est un assemblage de vulgarités gratuites, on ne s'attache à aucun personnage.
Sans compter des incohérences dans l'histoire qui démontre un manque de soin à l'écriture.
Si au moins cela m'avait fait rire, mais non...
Grosse déception, cette autrice m'attirait bien, mais après ce premier essai, je ne vais pas aller plus loin.

Grosse déception! Cette lecture ne passera pas à l'histoire... Personnages grotesquement esquissés, intrigue invraisemblable, dialogues « garrochés », bref, une littérature très ordinaire et un humour qui ne m'a pas du tout rejoint... Dommage pour Blankenberge : on n'a vraiment pas le goût d'aller y voir...

J'avoue que j'ai du mal à comprendre ces dithyrambes.
J'ai eu beaucoup de difficulté à le finir. Je suis pourtant amatrice de 2ème voire 3ème degré. C'est loufoque et mal écrit, j'ai vraiment au l'impression de lire un scénario de série C. Dommage...

Absolument pas absorbé par l'histoire, encore moins par la forme narrative. Très mauvais livre qui ne me donne pas envie de découvrir d'autres ouvrages de l'auteur. Mauvaise pioche ou inimitié littéraire?

C'est pendant une cure en rhumatologie que mon chemin a croisé celui de ce roman; que je vous explique: pendant une heure et demie - deux heures, chaque jour, je me retrouvais en peignoir, sans mes affaires, et donc de ce fait sans livre ou liseuse. Seulement il y avait des périodes d'attente, pendant lesquelles je m'ennuyais quelque peu. de même, pendant les séances de cataplasmes, je pouvais laisser les mains dehors. J'ai donc décidé d'occuper ces moments à mon passe-temps favori... la lecture. Pendant la première semaine, j'avais trompé l'attente entre les soins en lisant "Apprivoiser son ado" de Pascale Poux, et j'avais prévu de poursuivre avec un autre livre de poche sur les adolescents. Malheureusement, ce dernier étant trop épais, il ne rentrait pas. C'est donc avec une mission particulière que je me suis dirigée vers la petite librairie du coin: trouver une bouquin qui rentre dans la poche du dit peignoir, et comme souvent sur les groupes ce roman était cité, je me suis lancée.



Résumé
Comme chaque été, Alfonse Destrooper part en villégiature à la mer du Nord. Josette, sa femme, est bien décidée à se la couler douce, entre farniente à la plage et shopping dans la station balnéaire. Les enfants, Steven et Lourdes, emportent leur caméra pour immortaliser ces vacances tant attendues. Quant à la mémé, véritable Calamity Jane, elle les accompagne dans sa vieille caravane.
Mais le voyage commence mal! Un motard pique le sac de Josette à un carrefour et s'enfuit. Furieux, Alfonse s'arrête dans un snack pour s'enfiler une bière pendant que les deux ados, avec leur manie de tout filmer, s'amusent à planquer leur caméra dans les toilettes, histoire de recueillir quelques images truculentes. La famille Destrooper reprend finalement la route. À l'arrière de la voiture, les ados visionnent tranquillement leur vidéo. Quand, soudain, ils découvrent à l'écran le cadavre du motard gisant sur le sol des toilettes du restoroute! Et, pour couronner le tout, la magnifique pension dans laquelle les Destrooper ont prévu de séjourner est un rade pourri. Les vacances en enfer ne font que commencer... Une comédie décapante, teintée d'humour noir et d'un zeste de poésie, un hymne à la Belgique.

Mon avis
C'est un un style très particulier, rocambolesque au possible, qui je pense pourrait être rangé dans l'humour noir.

Tout au long du roman, les scènes se succèdent, toutes plus ahurissantes les unes que les autres: entre meurtres à la pelle (sans jeu de mot ;) ) et sexe inopportun, le moins que l'on puisse dire, c'est que ce roman n'est pas traditionnel.

Une ribambelle de personnages, globalement plutôt antipathiques, qui gravitent autour du personnage central du père. Une femme superficielle, une belle-mère qui vit dans sa caravane et s'adonne à la voyance, des enfants vraiment spéciaux. Bref, une troupe de gens complètement barrés qui vivent un périple à l'occasion des vacances.

Et le moins que je puisse dire, c'est que je n'ai pas accroché. du tout. Un humour auquel je ne trouve rien de drôle, des situations qui ne sont pas réalistes (c'est un euphémisme) et qui je suppose ne sont pas censés l'être...

Je n'ai pris aucun plaisir à cette lecture, sûrement n'ai-je pas tout compris, ou pas le bon esprit, et je ne m'aventurerai pas à lire d'autres romans de l'auteure. Attention, je ne dis pas que c'est nul, ou que ça n'a pas d'intérêt. Ce n'est juste vraiment pas ma tasse de thé. J'ai pourtant une partie de ma famille qui est belge, avec qui je ris beaucoup. Ce n'est donc probablement pas une question de nationalité...


Si vous aimez cette auteure, peut-être pourriez-vous m'éclairer?
Lien : http://leslecturesdunespondy..