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EAN : 9782363082152
68 pages
Arléa (02/01/2020)
2.25/5   4 notes
Résumé :
Pathologies est le récit de la vie, écrit sur le fil du rasoir, d’une fille de médecin qui grandit avec le Vidal et la peur panique de savoir que toute maladie est potentiellement mortelle (ou comme le disent les Italiens pour renforcer la réalité des choses : mortelle, mortelle). Sont alors passées au tamis de la cellule familiale toutes les grandes terreurs du possible et de l’improbable des infections et bactéries en tous genres qui nous cernent en permanence et ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Ce bouquin n'est pas inintéressant. Ce qui m'a plu, c'est plutôt le côté "histoire des maladies et de la médecine" qui permet une piqûre de rappel – c'est le cas de le dire – sur les ravages de la tuberculose, de la diphtérie et autres maladies infectieuses, et sur la révolution constituée par les antibiotiques et les vaccins (même si on a affaire ici à une famille crypto-antivaxx, ce qui n'est pas banal pour une famille de médecins).
En-dehors de ça, je n'ai malheureusement pas grand-chose de bon à dire sur ce bouquin. Les tentatives (probables) d'humour sur l'hypocondrie m'ont laissé relativement de glace et c'est bien dommage car il y aurait eu bien plus matière à la déconnade auto-dérisoire. De même, il faudrait compter combien de fois, sur 60 pages qu'il dure, l'auteure dit "ou plutôt", ou "c'est-à-dire", pour reformuler sa proposition précédente par une autre synonyme, aboutissant à des phrases bourrées d'incises et qui n'en finissent plus. Il faudrait compter aussi combien de fois elle écrit "comme je l'ai déjà dit"... et force est de constater qu'effectivement, chaque fois, elle l'a déjà dit, une voire plusieurs fois. Comique de répétition ? Je suis perplexe.
60 pages, ce n'est déjà pas long, alors quand on passe son temps à se répéter, on se dit que ça faisait finalement assez peu d'idées originales à exploiter, et sans vouloir aller jusqu'à singer une phrase célèbre de Coluche, on serait tenté de dire : quand on a si peu à dire, on ferait peut-être mieux... vous voyez, quoi. Ou d'attendre d'avoir plus de matière pour développer un peu, ce qui m'amène au dernier point : le prix.
On peut en parler ? Ça doit se lire en 45-50 mn grand max, c'est plein de redites comme on l'a vu, et ça coûte... 15 EUROS !
J'avoue avoir désespérément cherché des dorures à l'or fin, mais rien à faire, le bouquin ressemble juste à un Librio et il en a la taille et l'épaisseur. Sauf qu'un Librio coûte 2 balles.
Alors OK, me direz-vous, j'ai mauvaise grâce à m'en plaindre puisque je ne l'ai pas payé, vu que c'est une Masse Critique. Et je vous répondrai derechef : mais heureusement, que je ne l'ai pas payé !!
Toutefois, mon honnêteté proverbiale me pousse à le dire sans fard : les éditions Arléa (que je remercie malgré tout pour cet envoi, ainsi que Babelio) gagneraient fort à acquérir un peu de sens commun sur leur politique de prix. Ça me paraît même aussi urgent qu'un sérum anti-tétanique sur un antivaxx.
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Etant une personne complètement zinzin qui extrapole systématiquement (en transformant la moindre grippe en risque de méningite aiguë )( et qui est terrorisée à l'idée que mes enfants tombent car leur boîte crânienne éclaterait forcément et libérerait de fait leur cervelle en tous sens ...) : j'ai évidemment sélectionné ce livre lors de la dernière opération "Masse Critique" du site Babelio.

J'ai eu l'heureuse surprise de le recevoir.
Je remercie chaleureusement le site Babelio et les éditions Arléa (rien à voir et c'est anecdotique mais : j'ai bien aimé la petite mention "imprimé fiévreusement" )(+le marque page!!) pour cela.

Ai-je aimé ce livre : mais oui !
Je m'y suis reconnue à plein de moments, j'ai souri à chaque page.
Une lecture courte mais enthousiasmante (après ... je ne sais pas si ça fait le même effet aux personnes qui ne sont pas "zinzin" face aux maladies, peut-être qu'elles trouvent cela consternant et longuet malgré le peu de pages ?)

(Pour être honnête c'est un livre que je n'aurais pas acheté "spontanément" car il est court et je suis peu habituée à payer 15 euros pour un livre si vite lu ... Mais je suis contente d'avoir eu l'occasion de le lire, une fois de plus: merci aux éditions Arléa).
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Je remercie Babelio pour ce livre reçu grâce à ma participation à une masse critique.
Je n'aime pas dire du mal d'un livre mais là je vais y être obligée.
Le sujet pourrait être intéressant puisque y est traité l'hypocondrie au sein d'une famille. Mais hélas, je suis complètement passée à côté. le style est brouillon, répétitif. Tellement répétitif qu'à la fin du roman on se rend compte qu'on a tourné en rond pendant 69 pages: on a rien appris, il ne s'est rien passé.
Definitivement je n'ai pas aimé du tout cette lecture.
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Curieux livre sur les hypocondriaques... Passages assez drôles, malgré une écriture tortueuse, peut-être due à une traduction hasardeuse. A quoi sert ce livre dont les propos sont répétitifs ?
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
De chaque maladie, on lisait l'étiologie, l'incubation, le diagnostic différentiel et les trois adjectifs effrayants qui accompagnaient le pronostic – heureux, malheureux ou réservé. Et quant au pronostic réservé, je me demandais toujours : réservé à qui ?
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Ici je me dois d'ajouter que mon père, et par conséquent ma mère aussi , ne considérait pas l'école comme une obligation , mais comme un endroit où l'on ne pouvait aller que lorsqu'on était soi-même en parfaite santé , qu'il n'y avait aucune maladie en classe et que les conditions atmosphériques étaient particulièrement clémentes , c'est à dire un temps ni trop chaud ni trop froid , ni trop pluvieux ni trop venteux.
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Cette lampe de poche , ou mini-lampe de poche, se révélait particulièrement utile la nuit , quand , dans le noir, il me prenait le besoin de contrôler si par hasard je n'étais pas devenue aveugle, et alors un petit clic sous les couvertures suffisait , ça ne réveillait même pas ma soeur, pour m'assurer que je voyais encore.
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