Alors que les autres Romantiques invoquent les fantômes, les striges, les goules. Gérard de Nerval, lui,
interroge les profondeurs du rêve.
Pour l'auteur d'Aurélia, les Lorelei ne sont pas vampires
ni les danses-de-mort tumultueuses, l'étrange est silencieux et la nuit douce avant que d'être terrible.
C'est une invitation au voyage dans des contrées inconnues d'où l'on ne revient pas toujours.