Premier sang

Patrick Nothomb est décédé en mars 2020. Sa fille lui rend hommage dans un récit d'enfance écrit en ”je”. Biographie pleine d'humour, de fantaisie et d'élan, mais aussi de gravité et de tragique, pour raconter la genèse d'un diplomate au Congo au moment de l'indépendance, orphelin de père, à la famille fantasque et pourtant aimante. La démonstration qu' ”il ne faut pas sous-estimer la rage de survivre”. L'opus 2021 est un bon cru.

Patienter une année pour boucler l'histoire en pas moins de deux heures.
Quelle déception, au risque de me répéter: On est loin d'Hygiène de l'assassin et malgré tout chaque année je suis fidèle au rendez-vous.
Une fois de plus le sujet de prédilection d'Amélie Nothomb est abordé: la mort. Un bel hommage à feu Patrick son père qui est le protagoniste de cette autobiographie.
Ce qui m'a rendu le roman plus agréable c'est que j'ai appris certaines choses que j'ignorais sur Patrick Nothomb, de son enfance au début de sa vie de Consul en passant par sa vie universitaire à Namur, ma ville natale.
Il a fallu le temps mais c'est à la page 170 que l'on aperçoit enfin le mot fétiche de l'auteure.

“Le présent a commencé il y a vingt-huit ans. Aux balbutiements de ma conscience, je vois ma joie insolite d'exister.”

Cela faisait très longtemps que je n'avais pas lu Amélie Nothomb. Cette fois, elle nous parle de son père. C'est un roman vite lu, et sans doute vite oublié… Pas qu'il soit mauvais, il est facile et agréable à lire et on ne s'ennuie pas. Mais j'ai été déçue en le lisant, je n'ai pas pris beaucoup de  plaisir dans ma lecture.

Les éditions de Mme Nothomb chez Albin Michel ne possèdent pas de 4ème de couverture . D'habitude cela me dérangerait, personnellement j ai besoin de connaître un tant soit peu le sujet du livre que je m apprête à ouvrir . Mais pas avec elle , elle a ce talent de conteuse qui fait que je peux plonger dedans sans savoir et être surpris . Agréablement jusque là…même si celui ci est en partie autobiographique, il s agit de l histoire de son père, et le sachant maintenant, cela participe pour moins à l avoir un peu moins apprécié que les autres lus jusque-là.

Je suis loin d'être un lecteur inconditionnel d'Amélie Nothomb. Je suis un peu lassé de son occupation du paysage médiatique, tout les ans, à la rentrée littéraire.
Je souhaitais lire celui-ci, s'il arrivait entre mes mains, en raison du prix Renaudot, par curiosité.
Comme les autres livres d'Amélie Nothomb, je l'ai trouvé ni bon, ni mauvais. Mais en tout cas, rien ne justifie ce prix Renaudot.
Il fallait sans doute faire plaisir à l'auteure qui avait manqué le Goncourt avec "Soif" !

Le début du conte-roman était plutôt sympa, un mix entre « le petit poucet » et « le petit lord Fauntleroy ». Mais j'ai trouvé moins bien la seconde partie qui n'avait pas grand-chose à voir avec le style de la première. Lu rapidement sans grand intérêt. « Hygiène de l'assassin » c'était quand même autre chose !

C'est toujours étonnant de lire un roman d'Amélie Nothomb. Une écriture claire et précise. Une lecture rapide.
C'est une histoire personnelle sur son père, mais aussi un récit historique sur la fin. Ne connaissant moi-même que peu cette famille j'ai découvert beaucoup. J'ai aimé être dans les pensées de Patrick. On s'attache à cette famille un peu particulière et on comprend le grain de folie qui entoure l'auteure qui fait preuve dans ce livre d'une grande sensibilité.

Je ne connais pas l'univers d'Amelie Nothomb dont la notoriété est grande. Ce roman à la forme simple se lit facilement et l'écriture en est belle. La figure du père, enfant puis adolescent et enfin adulte y est centrale. Il y a de jolis passages sur l'enfance, le lien fragile avec la mère et ces vacances surprenantes qu'il passe avec ses cousins si mal nourris. le choix de la première personne est adroit.
Il n'en demeure pas moins que j'ai eu le sentiment de lire le travail bien calibré d'une dame brillante qui sait fort bien comment plaire à ses lecteurs. C'est joliment fait mais sans vraie profondeur. Voilà en tout cas mon avis pour l'heure. Il est possible qu'une seconde lecture vienne modifier mon jugement actuel assez mitigé...

Premier livre d'Amélie Nothomb pour moi. Je me suis lancé dans cette lecture en me disant, il est peut-être temps de découvrir cette fameuse autrice dans tout le monde parle…

Et bien, je ne sais pas trop quoi dire, je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé ma lecture mais, j'ai quand même l'impression d'avoir "perdue" mon temps et que j'aurais pu lire un livre beaucoup mieux que celui-là. Je ne comprends pas vraiment tout cet engouement.

Le livre est un court récit de la vie du père de l'auteure de sa naissance à sa prise d'otage au Congo. Un père qui a grandi sans le sien et avec une mère absente mais, malgré cela je ne suis pas arrivé à m'attacher au personnage.

Une lecture en demi-teinte qui aura au moins eu le mérite de me faire découvrir Amélie Nothomb

En hommage à son père décédé, Amélie Nothomb nous conte sa vie, de son enfance à sa carrière de diplomate.

J'ai trouvé étonnant le choix de la première personne du singulier et j'ai trouvé l'histoire un peu courte. Pour le reste, pas de doute, le style d'écriture d'Amélie Nothomb est bien là. L'histoire n'est pas forcément passionnante, mais je m'y suis laissée prendre. Les pages se tournent, avec facilité, et me voilà déjà à la fin. Ah oui déjà...tout ça pour ça ?

Sentiment mitigé et difficile à définir : je n'ai pas aimé mais je n'ai pas détesté. Je ne me suis pas passionnée mais je ne me suis pas ennuyée. Peut-être est-ce l'effet que les livres d'Amélie Nothomb ont sur moi ?

Je me l'étais déjà dit après la lecture de @le crime du conte de Neville et je me le redis aujourd'hui : il me faut essayer de lire @stupeur et tremblements,