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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je ne vais pas y aller par quatre chemins : je me suis royalement fait suer avec ce roman. Je n'avais jamais encore lu la sulfureuse Edna O'Brien, qui fit scandale dans les années 60 en Irlande et je dois dire que là, j'ai dû vraiment m'accrocher pour terminer le livre. Une écriture qui imite parfois le langage oral, dans des phrases à rallonge qui rappelle Proust (mais sans réussir à faire le même effet parce que son écriture est "raide"), des temps narratifs qui s'embrouillent finissent par donner une impression de fouillis : on ne sait plus trop où l'on en est, on en perd le sujet et on se demande où est-ce qu'elle veut en venir...

Vraiment dommage, parce que l'histoire annoncée par la quatrième de couverture était bien alléchant et cela faisait un moment qu'Edna O'Brien m'intriguait, que je voulais découvrir son univers littéraire si décrié dans son pays il y a quarante ans et par certains aujourd'hui encore. On l'a dit féministe etc. Bref, elle avait tout pour me plaire. Peut-être faut-il lire ses premières oeuvres...

En plus je n'aime pas dire du mal de la littérature irlandaise, alors je suis doublement frustrée !
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Ah les goûts et les couleurs ! C'est en toute confiance que je me suis lancée dans la lecture de cette histoire de relation mère-fille en Irlande. le roman m'avait été conseillé sur le stand de l'éditeur Sabine Wiespieser en même temps que Les villes de la plaine de Diane Meur que j'ai adoré.

Vous vous doutez qu'il n'en a pas été de même cette fois-ci. Je ne peux pas dire que rien ne m'a plu. J'ai aimé la belle introduction et les souvenirs de New-York de Dilly.

L'écriture soit familière des lettres, soit alambiquée du journal intime d'Eleonora, mais toujours confuse, sans repère temporelle m'a décontenancée. Je n'ai pas ressenti d'émotion dans l'expression de cet amour maternel. le personnage d'Eleanora m'a laissée perplexe.

Je suis passée à côté et ne suis pas sûre d'avoir tout compris. Les lettres ont-elles été reçues par la fille ? Quel épisode Jimmy raconte-t-il ? de plus, les nombreuses références à la littérature ou à l'histoire de l'Irlande n'ont pas trouvé d'écho au vu de ma culture.

Il reste du temps pour ne pas finir l'année sur cette impression mitigée.
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je n'irais pas par quatre chemin : je n'ai pas aimé du tout ! tout n'est que fouillis, on s'emmêle dans les personnages, pleins d'aller-retour..... le roman avait bien commencé puis d'un coup , plus rien .....
bref je n'ai pas pu finir les 120 pages restantes par ennui total !
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Dilly a vécu la majeure partie de sa vie à Rusheen, lieu perdu de la campagne irlandaise. Cette femme âgée est hospitalisée à Dublin pour des examens. En attendant la visite de sa fille Eleanora, elle se remémore son passé…
Un conseil préliminaire : Ne lisez pas la quatrième de couverture avant de lire le livre ! Si Crépuscule irlandais n'est pas un thriller, le résumé dévoile en effet toute l'histoire que nous raconte l'auteure, y compris des évènements ayant lieu dans les deux cents dernières pages (sur 442).
Dans l'ensemble, ce roman a été de toute manière plutôt une déception pour moi : je n'ai pas accroché à l'intrigue (dont la construction ne m'a pas vraiment convaincue), ni aux personnages. Surtout, j'ai eu beaucoup de mal avec le style de certaines pages, volontairement proche du langage oral, ce qui m'est devenu très vite pénible, malgré quelques beaux passages. Ma rencontre avec ce roman (et cette auteure irlandaise) a donc été plutôt ratée.
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Dilly, une septagénaire irlandaise, est à l'hôpital. Elle attend avec impatience la visite de sa fille Eleonora. Les chapitres alternent les souvenirs d'Eleonora (à travers les pages de son journal) et le présent de Dilly, offrant l'explication de ce qui les a séparées, physiquement et émotionellement. Dans les années 20, Eleonora a quitté l'Irlande qui n'avait alors aucun avenir à offrir à ses "enfants", pour les Etats-Unis. C'est le moment que j'ai préféré. On suit ensuite les aventures amoureuses d'Eleonara et son mariage avec un étranger qui sera d'abord rejeté par le reste de la famille.

Je n'ai pas réussi à m'intéresser à cette histoire. Je me suis ennuyée.

Lien : http://vallit.canalblog.com/..
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Le récit s'ouvre sur Dilly qui met en ordre sa maison avant de partir pour Dublin pour être hospitalisée. Malade, elle attend la visite de sa fille Eleanora. La jeune femme est partie très jeune à Londres où elle est devenue une auteure dont les écrits dérangent. Quand elle se rend au chevet de sa mère, elle reste peu de temps et oublie dans sa précipitation son journal intime. Dilly va découvrir combien elle et se fille se ressemblent.

Il m'a fallu un temps d'adaptation pour me faire à cette écriture rêche. Une écriture qui colle au plus après de cette campagne Irlandaise soumise à la dureté. Dilly y a toujours vécu sauf durant quelques mois. Une période durant laquelle elle a voulu tenter sa chance aux Etats-Unis. L'espoir de réussir une vie là-bas a pris l'eau et elle rentrée au pays. Peu de temps après, elle s'est mariée et a remisé au placard tous ses rêves.

la suite sur : http://fibromaman.blogspot.com/2011/06/edna-obrien-crepuscule-irlandais.html
Lien : http://fibromaman.blogspot.c..
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