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3,95

sur 1639 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'ai acheté ce livre après avoir lu que c'était un nouveau Hunger Games, dans le genre livre prenant, qu'on ne lâche plus, avec une super histoire.
Ben bof. J'ai eu du mal à entrer dedans. Je l'ai longtemps laissé sur une étagère avant de le lire. J'ai failli l'abandonner mais j'ai résisté afin de le lire jusqu'au bout, histoire de vérifier que je n'allais pas passer à côté d'une pépite. Bien, mais sans plus, ce n'est pas mon nouveau "Hunger Games".
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Delirium nous entraine dans la vie de Magdalena (ou Lena) jeune fille de 17 ans qui vit chez sa tante depuis le décès de sa mère. Elle attend avec impatience de subir le Protocole, l'opération que tout le monde reçoit à sa majorité, sensée immuniser de l'amor deliria nervosa. L'amour, qu'elle soit amitié, amour maternelle ou passion amoureuse, est présentée comme une maladie, et considérée comme un fléau.

Lauren Oliver consacre une grosse première partie de son roman à présenter la maladie et les règles qui régissent le monde où vit Lena. On découvre d'emblée que la société est totalement encadrée par un régime totalitaire (répressions, violence, milice, enlèvements, prisonniers, assassinats…). La propagande est d'ailleurs très bien mise en avant par l'auteure, qui utilise des extraits de livres ou de manuels pour introduire chaque chapitre. Je ne vais pas vous cacher que j'ai eu beaucoup de mal à me sentir embarquée dans l'histoire tant cette description avançait dou-ce-ment.
Dans la deuxième partie, l'action (parfois violente) arrive enfin, avec surtout une prise de conscience de la part du personnage principal, que j'ai eu si souvent envie de secouer. Ce personnage de Lena, si naïf, mais au font tellement perdu m'a d'abord agacé, puis ému. Elle vit dans la peur d'être atteinte par l'amour, la maladie qui a infecté et lui a volé sa mère. Grace à sa meilleure amie la téméraire Hanna, et à sa rencontre avec Alex, Lena va évoluer et prendre confiance en elle. Rébellion et désire de liberté lui permettent de découvrir les mensonges qui entourent le protocole (cryptes, sympathisants…) et de prendre conscience que le malheur est nécessaire pour connaitre le bonheur............

Lien : http://stef93330plaisirdelir..
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Dans un monde futuriste, Lena compte les jours qui la sépare de "la procédure", une opération chirurgicale qui vise à "soigner" tous les adolescents d'une maladie terrible : l'amour. Mais quelques mois avant cette opération, Lena va rencontrer une jeune homme Alex. Rencontre qui va bouleverser sa vie et la perception du monde dans lequel elle évolue.
Delirium est un roman qui se lit très vite, à peine commencé, déjà terminé! Je suis rentrée très facilement dans l'histoire car l'écriture de Lauren Oliver est très agréable, fluide et poétique. Malheureusement si la plume de l'auteure m'a convaincu, je n'ai pas été totalement transporté par l'histoire. Je ne me suis pas sentie émue par l'histoire de Lena et Alex, même la fin m'a laissé de marbre. Pourtant je suis une grande pleureuse! Par contre j'ai été touché par le personnage d'Hannah la meilleure amie de Lena et j'aimerais vraiment savoir ce qu'elle devient.
En conclusion, j'ai trouvé Delirium agréable à lire, mais je n'ai pas été totalement emballé par l'histoire. Je suis un peu déçue car j'avais lu beaucoup de critiques élogieuses et je m'attendais à vraiment mieux. Dans le même style, j'ai préféré Uglies de Scott Westerfield qui lui m'a vraiment bouleversé! Néanmoins comme je suis une grande curieuse, je lirais très certainement le tome 2.
Lien : http://over-books.blogspot.f..
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Ce premier tome ne m'a pas entièrement convaincue !

C'est avec enthousiasme que j'entamais cette lecture à la critique au combien élogieuse. Peut-être me suis-je faite un apriori suite à ces critiques. Toutefois, je sors un peu déçue par ce roman.

Par bien des facettes, Delirium me fait penser à un 1984 de Georges Orwell saupoudré de romance. Ce 1er tome met en place une gentille petite histoire d'amour, destinée à un public plutôt jeune. le dernier chapitre prend – dieu merci – une allure plus dramatique.

En effet, je trouve le début lent, et certains détails sans importance. Heureusement, l'histoire finit par se mettre en branle et l'intérêt devient soutenu. L'action ne se languit pas.

En ce qui concerne les personnages, hormis Hana et Garce, ils m'ont paru un peu fades, voire très lisses. Quant à l'héroïne, Lena, je trouve son personnage surfait. La jeune fille naïve, indécise se transforme – un peu vite à mon goût – en une jeune femme rebelle qui assume ses choix.

Au niveau du style, l'auteure parsème son roman de magnifiques figures, de jolies citations et images.

Cette lecture reste quand même divertissante. La fin du livre met l'eau à la bouche. C'est avec plaisir que je lirai le 2ème tome - à priori plus prometteur !
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Un livre sans prétention.
Pourtant, ce livre est loin d'être sans intérêt. Contrairement à la littérature pour ados qu'on peut trouver aux quatre coins d'une librairie, celui-ci s'applique à construire un monde d'anticipation assez cohérent, autour d'un postulat de départ relativement simple : dans un futur non déterminé, l'amour (amor deliria nervosa, donc) a été répertorié comme l'une des maladies les plus dangereuses de la planète. Heureusement, les scientifiques - et le gouvernement - ont trouvé un remède. le Protocole. Qu'on ne peut subir qu'à 18 ans révolus ; en attendant, les plus jeunes restent "contaminables", et donc Vulnérables - puisque c'est ainsi qu'on les appelle. Les Invulnérables ont, eux, subi le Protocole et sont donc insensibles à la douleur. Car le but est de trouver le bonheur dans la perte de tout sentiment que procure le Protocole.
Dans ce monde, Lena compte les jours qui la séparent de son Protocole, dont elle espère une sorte de rédemption, car sa famille est entachée par l'amour. Mais voilà : sa meilleur amie, au seuil du grand jour, se sent pousser des envies de liberté, et entraîne Lena dans des fêtes illégales. Elle va y rencontrer un garçon, Invulnérable, et l'amour. En même temps qu'elle découvrira de multiples secrets, sur elle-même comme sur les autres.
Ce livre mène à la réflexion : si nos sentiments nous font souffrir, n'est-ce pas de cette souffrance même que naît le bonheur, la sensation d'être vivant ? Vivre sans douleur, ne serait-ce pas déjà la mort ? Il interroge même le concept de désobéissance civile à sa manière. Soyons honnêtes, il aurait gagné à être mieux écrit : les envolées lyriques et romantiques de l'auteur ne sont pas des mieux venues. En revanche, lorsqu'elle utilise des phrases concises, rapides, là, l'écriture fait mouche. Parvenant à nous entraîner, à palpiter de peur en même temps que ses héros.
La fin, loin des conventions des romans à l'eau de rose, laisse pantois. Et on attend la suite avec impatience !
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Attirée vers le genre dystopique depuis ma découverte des fabuleux Hunger Games, je me suis tournée vers Delirium par curiosité sur cette société imaginée par Lauren Oliver. Et la première déception est Lena le personnage principal. A mon gout bien trop naïve, gentille et fragile, son évolution m'a semblé trop rapide et surfaite, je n'y ai pas cru. Je n'ai pas accroché avec elle et cela n'a pas changé au cours du roman. J'ai bien plus préféré son amie Hana forte, drôle et dynamique, je l'ai adoré ! Alex m'a laissé une assez bonne impression sans forcement me marquer.

L'histoire d'amour entre Lena et Alex est belle mais ne m'a pas vraiment touchée. Les rebondissements du livre, quoi que nombreux, se font sentir très tôt laissant peu de place au suspens. Seule très bonne surprise : la fin ! Enfin de l'action, du suspens, de l'envie de tourner les pages vite pour savoir ce qu'il se passe. Et je n'ai pas été déçue par cette fin ! L'auteur a osé casser les codes et Delirium, que je voyais juste comme une histoire d'amour sur fond dystopique encore sur l'amour, prend enfin de l'ampleur. le dernier chapitre seulement me donne envie de lire le deuxième tome, ce que je ferai à sa sortie. Mais il va devoir redoubler d'efforts pour me convaincre.
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J'en avais entendu le plus grand bien et comme j'ai été agréablement surprise par l'écriture de cette auteure dans le dernier jour de ma vie, je me suis laissée tenter et, en général, j'ai aimé.

En fait, j'ai d'abord été séduite par le fait qu'on a affaire à une héroïne qui est complètement vendue au système instauré et qui veut profondément être « guérie ». Sa lutte avec elle-même devient d'autant plus intéressante. D'ailleurs, le narrateur au « je » renforce cette perception parce que, nécessairement, j'étais en réaction avec Lena, la trouvant parfois un peu naïve, mais comprenant la force de l'endoctrinement. J'ai ensuite beaucoup aimé la passion d'Alex pour la poésie et le côté très révolutionnaire de celle-ci.

Dans un genre tout à fait différent, Delirium pose la même question que Terrienne de Jean-Claude Mourlevat : est-ce que ça vaut la peine de ressentir les émotions?

J'ai toutefois un peu eu l'impression de rester en surface. J'aurais aimé que les personnages secondaires soient plus développés. En même temps, il est encore une fois question ici d'une trilogie, donc il est possible que la profondeur vienne avec les tomes suivants.

Pour ma part, je me contenterai peut-être seulement du premier. Oui, il reste des questions, mais la fin se suffit à elle-même…
Lien : http://sophielit.ca/critique..
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On suit Lena, 17 ans, qui vit dans un monde où l'amour est une maladie mortelle « déliria amor » qu'il faut absolument éradiquer. Afin d'éviter la contamination des habitants, le gouvernement a établi autour de la ville des frontières pour éviter que les habitants ne sortent où que d'autres humains inconnus rentrent dans la ville et contaminent la population. Pour éviter cette affreuse pathologie, le gouvernement procède chez les jeunes de 18 ans à « La procédure » l'opération qui les immunise contre la maladie, mais aussi contre toutes formes de bonheur. Jusqu'à cette intervention les contacts avec l'autre sexe sont limités et sous le contrôle d'une personne immunisée.

Au départ, Lena compte les jours qui la sépare du protocole afin de ne pas être contaminée, mais ça rencontre avec Alex va tout changer.

Je dois avouer que j'ai été dérouté par ce livre, tout d'abord par l'histoire mais aussi par le débit, l'écriture est lente.

J'ai mis du temps à rentrer dans l'histoire et je peux même dire que je suis rentré dedans qu'à la fin, qui, sans rien dévoiler du livre, est incroyable, je dirais même que ça vaut le coup de lire plus de 400 pages en ayant du mal à rentrer dans l'histoire pour vivre une tel fin. Je suis quand même un peu déçu du livre au vu des commentaires lues.
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Cette dystopie américaine se déroule à Portland, dans des États-Unis divisés entre lieux civilisés et « Nature » où vivent les Invalides, êtres en dehors de la société et qui n'ont pas d'existence reconnue. Les adultes « normaux » sont les Invulnérables. Ils ont subi à 18 ans une opération qui les empêche de tomber amoureux. En effet, dans ce monde, l'amour est considéré comme une maladie mortelle. Lena, 17 ans, compte les jours qui la sépare du Protocole, opération qui lui permettra de devenir invulnérable. Mais, un jour d'été, elle fait la connaissance d'Alex, un garçon pas comme les autres…
Ce roman bien construit et aux personnages attachants est très agréable à lire. J'ai pour ma part beaucoup apprécié les courts extraits de livres (réels ou imaginaires) qui précèdent chaque chapitre. Mais il manque à cette histoire une pointe d'originalité et d'intensité pour être réellement marquante, même si elle est plutôt mieux écrite que la moyenne des romans pour ados.
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Lauren Oliver propose une nouvelle dystopie, un 1984 pour ados. Si la dernière en date (Promise) ne m'avait pas convaincue, Delirium réussit à soulever de nombreuses questions de fonds.

Je craignais un peu que la thématique – une société où l'amour est annihilé car ce sentiment n'engendre que souffrance – produise une lecture réductrice et futile. Non seulement, l'auteure est parvenue à éviter cet écueil mais elle emmène également le lecteur en dehors de sa zone de confort.

De nombreux rebondissements en font même une lecture haletante, je me suis mise à espérer un monde meilleur pour les attachants protagonistes. Finalement, les bons sentiments ne sont pas légion dans Delirium.

Le vrai courage est celui d'aimer car en lâchant prise, on prend le risque de tout perdre, jusqu'à soi-même. Lauren Olivier a même osé une fin qui pourrait donner raison à cette société aussi glaçante que détestable.
Lien : http://www.audouchoc.com/art..
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