Delirium, Tome 1

Huge coup de coeur !!! ♥ ♥ ♥

Oh My God ! Voilà le mot qui décrit parfaitement mon ressenti sur ce livre, cette lecture.
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J'ai officiellement sorti le livre qui traînait dans ma PAL depuis le plus longtemps (sans compter mes classiques du collège-lycée, bien sûr) ! Cela devait bien faire dix ans que je l'avais acheté, mais à l'époque, j'avais lu énormément de dystopie et j'avais peur d'y voir trop de répétitions avec d'autres univers. Plus tard, sa taille imposante et la crainte d'être un peu trop âgée pour vraiment l'apprécier m'avaient repoussée. Pourtant, j'ai absolument adoré ce roman ! Cela m'a rappelé toutes les raisons pour lesquelles j'adorais les dystopies. J'avais peur d'avoir déjà lu toutes les sagas du genre réussies, mais je me trompais, c'est une vraie pépite que je viens de découvrir !

L'idée de base m'a rappelé la saga Uglies de Scott Westerfeld. Dans la première, une opération obligatoire pour tous à seize ans permet d'atteindre la perfection physique et les « moches » sont exclus de la société. Dans Delirium, c'est l'amour et plus généralement les sentiments qui sont supprimés après une opération au cerveau obligatoire à l'âge de dix-huit ans. En effet, l'amour a été classé comme une maladie par le gouvernement des États-Unis.

Cette société pose des questions beaucoup plus profondes. Est-ce que la douleur provoquée par les chagrins d'amour, un deuil, etc. justifient de vouloir ne plus rien ressentir pour les éviter ? Pour ne plus souffrir, doit-on également oublier la joie, l'enthousiasme, l'empathie, l'amour pour sa famille ? de plus, avec des citoyens qui ne se soucient plus de rien, le gouvernement peut plus facilement les contrôler.

J'ai beaucoup aimé la façon dont est amenée l'évolution de l'héroïne. Malgré un lourd passé familial, c'est au début du roman un vrai petit robot qui a hâte de se faire opérer pour oublier tout ça. Petit à petit, elle prend conscience de la manipulation et de l'oppression de leur gouvernement. J'ai trouvé le développement du récit très intéressant. Au fur et à mesure de mon avancée dans le roman, je l'ai trouvé de plus en plus sombre et violent et j'ai trouvé qu'il se rapprochait par moments plus de la série télévisée The Handmaid's Tale : la servante écarlate, plutôt que d'un roman young-adult.

Forcément, quand on est habitués à lire des sagas dystopiques, il y a certains éléments que l'on voit venir, mais ce n'est pas pour autant que je ne les ai pas appréciés. Il y a quand même eu certains rebondissements qui ont su me surprendre et j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de tension, d'action et de réflexion dans ce premier tome.

J'ai été agréablement surprise parce que je ne m'attendais pas à l'aimer autant. J'avais peur d'avoir passé l'âge des sagas young-adult car je n'accrochais pas autant que je pouvais le faire lorsque j'étais ado, mais je pense simplement que l'univers n'était pas aussi bien construit ou que les personnages n'étaient pas aussi bien développés. J'ai tout simplement adoré ce début de saga et j'ai hâte de découvrir la suite !
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Lena vit dans un monde dans lequel l'amour est considéré comme la pire des maladies. Elle aura bientôt 18 ans et pourra alors subir le "Protocole" : une opération du cerveau qui empêche les citoyens de tomber amoureux, mais qui leur enlève aussi tous les sentiments puissants. Lena a hâte d'être opérée et fiancée à un garçon choisi par des spécialistes pour être son partenaire. Mais elle rencontre Alex, un jeune homme qui va bouleverser toutes ses certitudes....

Lena est une jeune fille ordinaire, naïve, drôle et froussarde. C'est pour moi la force de cette dystopie, car l'héroïne n'est pas une rebelle qui veut changer les choses, mais au contraire une adolescente qui veut rentrer dans le moule. Au fur et à mesure du roman, Lena va se révéler, et remettre en doute toutes ses certitudes en découvrant l'amour. Cela ne va pas être un processus évident, mais jusqu'ou va-t-elle être capable d'aller pour Alex ?

Le roman est raconté au point de vue interne de Lena, mais il donne aussi un grande place aux personnages secondaires. Je dois avouer que j'en ai préféré quelques uns à Lena. Par exemple Hana, la meilleure amie de Lena, qui est beaucoup plus rebelle qu'elle. Ou Alex, le petit ami parfait: beau, drôle, intelligent, doux, prévenant.... J'ai aussi été beaucoup touchée par Gracie, une petite cousine de Lena.

Je dois avouer que j'ai parfois eu envie de secouer Lena, face à ses doutes et son inaction, mais plus le récit avance et plus son personnage s'étoffe.

J'ai dévorer le roman en à peine deux jours et j'ai hâte de m'attaquer à la suite ! Si vous aimez les dystopies ce livre est fait pour vous.

Je cherchais une lecture jeunesse pour mes quatrièmes sur le thème de l'amour. "Nos étoiles contraires" ne me semblait pas approprié dans la mesure où de nombreux élèves cherchent toujours les adaptations cinématographiques pour éviter de lire. Donc trop simple ici.
J'ai lu la quatrième de couverture de "Délirium" et j'ai adoré l'idée : une dystopie qui aborde le thème de la dictature (programme de troisième). L'amour vu comme une maladie à laquelle on peut remédier par une opération à laquelle on se soumet aux portes de l'âge adulte. C'était une lecture dense. le livre est épais et je pense qu'il est plus approprié pour de bons lecteurs. Mais je me suis régalée : la description du sentiment amoureux est fine, juste, utilisant de nombreuses métaphores géniales. Je n'ai qu'une hâte : que ma fille gagne quatre ans pour lui mettre ce bijou entre les mains. En attendant, je vais bien sûr me plonger dans la suite de cette série...

Je viens tout juste de le finir, et comment dire... MAGNIFIQUE!

J'ai décidé de me lancer dans la dystopie, et laisser mois vous dire que ce n'est certainement pas la dernière que je lis, Ah ça Non!

L'histoire est très bien écrite, au début, on apprend les règles, le fonctionnement de la ville, ou devrais-je dire du monde. le contexte est vraiment passionnant! On est plongé dans l'histoire dès le début.
L'amour est considéré comme une maladie et à leur majorité, les jeunes subissent une opération pour être immunisés. Là, on se dit Wouah! Qu'est ce que cela nous réserve!

Et puis, on découvre Lena et sa famille, ses habitudes, bref, sa vie dans ce monde régit par les autres. Et elle se montre très étrange, elle souhaite subir cette opération, qui pour elle lui évitera de nombreuses souffrances. En clair, elle est persuadée de ses biens faits.

Et là, BAM ! Elle rencontre Alex, tout s'écroule devant elle, elle change d'avis sur le protocole et comprend beaucoup de choses. Leur histoire est d'ailleurs très touchante et tellement belle... C'est d'ailleurs ce qui lui fait prendre conscience que le protocole va l'empêcher de vivre leur amour.

La fin est ... A la fois horrible et géniale. [spoiler]Géniale, car Lena réussit à s'enfuir et Horrible parce qu'Alex s'est sacrifié pour elle... J'en avait les larmes aux yeux de le "voir" se faire prendre... [/spoiler] j'étais toute retournée de la tournure des évènements...

En conclusion, j'ai adoré! Et là, je me dis, qu'elle bonne idée d'avoir acheté le tome 2 en même temps que le tome 1!!!!! Je vais de ce pas me plonger dans le second tome pour connaitre la suite!!!!
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Le style d'écriture qu'utilise l'auteur est très fluide. On peut lire des heures sans se lasser de ce livre qui est vraiment émouvant et passionnant. Il y a beaucoup de rebondissements et de surprises.
On se met vraiment dans la peau de Lena : ce qu'elle ressent, on le ressent à notre tour en le lisant.
La fin est vraiment triste. j'ai vraiment envie de savoir ce que devient Lena dans ce nouveau monde , la Nature, sans Alex.
En tout cas, ce livre est passionnant, entraînant, addictif et émouvant.

Whoa, je viens tout juste de le finir il y a même pas 5min et j'en suis encore avec les larmes au bord des yeux ! Tout simplement magnifique ! Bien que l'histoire me plaisait je ne pensais pas tomber sur une fin aussi pleine d'émotion.

Encore une fois c'est une histoire d'amour coupée par une société tyrannique qui a prit le pouvoir, et fait croire au habitant que c'est pour leur bien. Et bien sur il y a (encore une fois) une partie du monde qui reste caché où les habitant vivent libre et heureux et ou la nature domine : comme dans insaisissable, promise, divergente, et même la révolte de Maddie Freeman.

Mais malgré leurs même principe, ces histoires restent toutes différentes les unes des autres, chaque société à son propre problème. Et c'est ça que j'adore dans ses romans destinés aux jeunes adultes. Ils aident à donner un point de vue de la société que l'on ne peut pas forcément voir avant, et même nous vivons sous un régime "parfait" ou presque, on se rencontre que l'on ai pas toujours libre de ses choix.

Ce qui rends se roman plus intéressent que les autres c'est que Lena s'obstine à vouloir suivre le protocole car elle pense que c'est pour son bien, mais au fond elle sais très bien que c'est parce qu'elle à peur des conséquences qui pourrait lui retomber dessus. En effet les habitants sont élevés sous l'angoisse de "tomber malade", d'attraper le Delirum car tous porte à croire qu'ils seront heureux après leurs "vaccins contre le virus" je vais dire car c'est un peu comme ça que je le vois. Mais au final elle s'en sort et on voit bien que d'autres personnes (comme ça meilleure amie ou d'autres vulnérables ou invalides) pense contre la dictature du pays.

Enfin bref j'ai surtout été captivé par la fin qui nous laisse sur beaucoup de questions sans réponse ! Très bonne dystiopie que je vais continuer de lire et que je vous conseille vraiment.

Delirium c'est le livre par excellence dont les émotions sont toujours aussi intenses que ce soit notre première ou deuxième lecture.

La narration se fait du point de vue de l'héroïne, Lena, une jeune fille de dix-sept ans. Cette dernière vit avec son oncle, sa tante, et ses deux petites cousines : Jenny et Grace, dans une société futuriste et totalitaire. Dans cette société l'amour est considéré comme une maladie et chaque individu en est "guéri" dès l'âge de dix-huit ans par une opération. le concept ne peut qu'interpeller... après tout qui n'a jamais souhaité ne plus rien ressentir ? Effacer ses peines, ses douleurs ? Qui ne s'est jamais dit que la vie serait moins bien compliquée sans tout cela dans un moment difficile à vivre ? Eh bien après avoir lu Delirium, je crois que la prochaine fois qu'une situation de ce genre se présentera vous verrez les choses différemment.

On se prend très vite à l'histoire et on s'attache également vite aux personnages. Lena commence le livre comme un "gentil petit soldat", elle a une peur profonde de "la maladie" puisque sa mère en a été atteinte, malgré plusieurs opérations infructueuses, et cela l'a poussée au suicidée. Alors lorsque sa meilleure amie, Hana, commence à tester les limites de l'interdit elle perd pied et se retrouve peu à peu à remettre en cause ses certitudes et ses frayeurs. L'amitié entre Hana et Lena est très bien écrite, de manière très forte et tangible, avec ses hauts et ses bas. J'ai d'ailleurs énormément apprécié que pour une fois une amitié dans un roman Young Adult ne soit pas idéalisée au point de ne plus avoir l'air réelle.

Cependant ce qui changera complètement la vie de Lena c'est la rencontre avec un certain Alex. Ce dernier lui ouvre les yeux sur bien des choses, dont l'amour, si interdit, justement. La romance entre les deux jeunes gens est très bien écrite et extrêmement touchante. Comme l'amitié entre Hana et Lena, cette romance est empreinte de réalisme, sans clichés ou précipitations. L'évolution des sentiments, les doutes, incertitudes... tout cela fait qu'on se prend bien vite au jeu et qu'on vit cette histoire avec les personnages. C'est vraiment un des points forts de Lauren Oliver : savoir donner le temps à ses personnages et à leurs sentiments sans prendre de raccourcis qui pourraient mettre en péril le réalisme de son histoire.

J'ai vraiment été transportée au fil des pages avec Lena, ressentant ses peines, ses doutes, ses choix avec elle. La fin du livre donne vraiment des frissons et lors de ma première lecture je me souviens avoir été complètement choquée par le cliffhanger final. J'arrivais tellement pas à me décoller de cette histoire que j'avais terminé ma lecture à presque deux heures du matin et face à la fin j'étais assise dans mon lit, les yeux grand ouverts, et surtout une forte envie de balancer quelque chose ou de crier un bon coup (ce que je n'ai pas pu faire puisque réveiller tout le quartier à 2h du mat' c'est pas vraiment le top).

Delirium est donc une superbe lecture avec des personnages forts et des émotions coup de poing. Il est très difficile de s'arrêter avant d'avoir eu le fin mot de l'histoire, mais la fin est si violente sur le plan émotionnel que je vous recommanderais d'avoir le second tome à portée de main avant de commencer votre lecture. J'ajouterais cependant que le seul petit défaut de cette lecture est peut-être le manque d'action du au fait qu'il s'agit clairement d'un tome d'introduction servant de rampe de lancement aux tomes suivants.
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Mon premier Dystopique et c'est un TRÈS BEAU livre ! Qui pour "un monde où l'amour interdit" est rempli de sentiments... J'ai tout ressentit au plus fort encore, comme si toutes les émotions étaient décuplées. On passe de confiance, à méfiance, à confiance en soi, et en crise de doute, le tout très bien orchestré du début à la fin.
J'aime beaucoup les personnages principaux, Lena la narratrice, que l'on retrouve dans un belle histoire d'amitié avec Hana et une magnifique histoire d'amour avec Alex...
Coup de coeur pour la mise en page avec plein de citations, chansons, prières etc inventées pour cette société.
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Si vous pensez que Delirium est le dernier roman gnangnan visant un public de petites minettes en manque d'amour, vous avez tout faux. Delirium est bien plus que cela. Un condensé de bonne morale, de dose de rébellion, de désir d'être différent ... Il m'a entraîné dans un monde totalement hors du commun où je m'y suis perdue, et où je n'ai plus eu envie d'en sortir ! Une histoire qui m'a chamboulé au plus profond de moi, j'ai été touché bien plus que je ne l'aurais cru !

Nous suivons l'histoire du point de vue de Lena (diminutif de Magdalena). Une jeune demoiselle de 17 ans qui dans quelques mois va subir le "Protocole", l'opération réservée aux jeunes majeurs leur permettant d'éradiquer tous sentiments amoureux et affectifs. Parce que oui dans ce monde, l'amour est une maladie grave appelée "Amor Deliria Nervosa". Lena vit chez sa tante depuis toute jeune, en fait depuis que sa mère s'est jetée du haut d'une falaise suite à la maladie (elle a subi le "protocole" quatre fois, sans succès). Au début du roman, nous apprenons que Lena va bientôt passer son évaluation qui décidera avec qui elle sera "appariée" après l'opération. Mais le scénario que la jeune fille avait relativement bien conçu intérieurement ne semble pas lui être destiné. En effet, elle va faire une rencontre qui va tout changer dans sa vie : Alex, un Invulnérable (quelqu'un qui a déjà subi le Protocole). C'est à ce moment que le doute et la remise en question s'installent. Et si, finalement, le Protocole n'était pas une si bonne chose ?

Je pense qu'il n'est pas nécessaire de souligner qu'on s'attend obligatoirement à ce que l'héroïne tombe amoureuse, n'est-ce pas ? Pourtant j'ai été surprise de voir que l'intrigue allait beaucoup plus loin que cela : le mystère autour de sa mère, ce qui concerne les Invalides (les personnes qui ont choisi de fuir le gouvernement et le Protocole). On en apprend sans cesse au fil des pages. Lauren Oliver a su créer un univers qu'elle maîtrise de A à Z, et qu'est-ce que c'est plaisant ! Mes questions ont trouvé rapidement des réponses et pourtant, il me reste toujours autant de curiosité pour me pencher très vite dans le tome 2, et c'est ce qui m'étonne le plus ^^ J'ai vibré d'émotions avec ce tome, il est bourré de suspens, de poésie, de quelques notes d'humour parfois, et de beaucoup, beaucoup d'amour !

Une fin bien plus qu'à la hauteur de mes espérances. Je suis passée par toutes les émotions : espoir, résignation, horreur, tristesse ! Ces dernières pages sont juste une pure merveille tant au niveau de l'écriture que de ce qu'elles apportent à l'histoire. Elles ouvrent les portes au 2eme tome, et ce sont des portes que je vais m'empresser de franchir !

En conclusion, une histoire que j'ai adoré, qui pourtant n'est pas un coup de coeur, il m'a manqué un petit quelque chose que je n'ai pas su définir. Mais vivement que je me plonge dans le prochain tome !
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