IL ETAIT. UNE FOI, L'ISLAM..., je l'ai écrit dans une France où les gens qui osent critiquer cette religion en public courent parfois le risque de s'attirer de très gros ennuis. Dans le meilleur des cas, ces gens pris au milieu de disputes virulentes qu'ils n'espéraient peut-être pas provoquer tenteront de se disculper d'accusations de racisme, de xénophobie ou de néo-fascisme. Dans le pire des cas, la force des mots ne suffira pas à venir à bout d'assaillants bien décidés à venger l'affront de la critique orale en cognant.