Le temps des secrets, le temps des premières amourettes.
Le temps où l'âge bête commence.
Marcel passe toujours ses vacances au sein de la maison de campagne mais là au lieu de passer son été avec son ami Lili, il rencontre Isabelle, une mystérieuse jeune fille, un peu hautaine mais dont il va tomber follement amoureux. Cela va créer des tensions mais Marcel va apprendre que des fois entre amour et amitié il faut choisir.
Puis Marcel rentre en sixième et la un nouveau monde s'ouvre à lui. Un monde où il n'est plus le fils du professeur, un monde où il lui faudra se faire de nouveaux amis et s'habituer à de nouveaux profs.
j'ai bien aimé c'est à la fois touchant et rigolo.
Touchant car ce sont les temps des premiers amours, où par amour on fait n'importe quoi.
Rigolo car ce sont les premières blagues de sixième.
Le temps où l'âge bête commence.
Marcel passe toujours ses vacances au sein de la maison de campagne mais là au lieu de passer son été avec son ami Lili, il rencontre Isabelle, une mystérieuse jeune fille, un peu hautaine mais dont il va tomber follement amoureux. Cela va créer des tensions mais Marcel va apprendre que des fois entre amour et amitié il faut choisir.
Puis Marcel rentre en sixième et la un nouveau monde s'ouvre à lui. Un monde où il n'est plus le fils du professeur, un monde où il lui faudra se faire de nouveaux amis et s'habituer à de nouveaux profs.
j'ai bien aimé c'est à la fois touchant et rigolo.
Touchant car ce sont les temps des premiers amours, où par amour on fait n'importe quoi.
Rigolo car ce sont les premières blagues de sixième.
Le cycle « Souvenirs d'enfance » est composé de quatre romans : La Gloire de mon père (1957), le Château de ma mère (1957), le Temps des secrets (1960) et le Temps des amours (1977, posthume).
Ce cycle autobiographique trouve son origine dans la demande d'un magazine à Marcel Pagnol d'écrire une nouvelle pour Noël. L'auteur choisi de raconter l'aventure des châteaux décrite dans le Château de ma mère. L'envie d'en raconter plus, de léguer à la postérité son histoire familiale germe dans son esprit et donnera naissance à ces quatre romans.
RÉSUMÉS
La Gloire de mon père débute le jour de la naissance de Pagnol et s'achève sur la remise de la photo immortalisant le triomphe de son père : deux magnifiques bartavelles abattues grâce au « coup du roi ». le roman nous présente les lieux et les personnages : Jospeh, le père, instituteur à Aubagne ; Augustine, la mère, douceà la santé fragile ; Paul, le petit frère, complice des meilleures bêtises ; Rose, la tante maternelle, et son époux, Jules, un fonctionnaire. Durant l'été 1904, Joseph et Jules décident de louer une villa perdue dans l'arrière-pays provençal. Cette région devient alors le théâtre des expérimentations, découvertes et aventures de Marcel et de Paul. Et surtout, de la chasse, introduite par l'oncle Jules.
Le Château de ma mère prend la suite directe du premier tome. Marcel, rendu inconsolable à la rentrée des classes car il a dû quitter son bel arrière-pays, ne cesse de vouloir y retourner. Jospeh fini par se décider à emmener sa petite famille tous les weekends à la villa. Sauf que la route est longue. Très longue. Mais une rencontre vient leur faciliter la tâche : Bouzigue, ancien élève de Jospeh leur confie la clé du canal pour couper leur route. Les Pagnol doivent alors traverser quatre propriétés de châteaux. Un en particulier terrorise Augustine… le dernier chapitre du roman fait un bond dans le temps pour dévoiler le secret du titre.
Le Temps des amours reprend la narration là où l'avant-dernier chapitre du tome 2 l'avait laissée. L'heure est arrivée pour Marcel de tomber amoureux pour la première, et d'en subir les conséquences… Il faut dire que sa petite chérie, Isabelle de Montjamour, est un sacré numéro. le dernier tiers du roman relate l'entrée de Marcel au collège. S'ouvre alors un monde rempli de nouvelles possibilités et rencontres.
Le Temps des secrets prolonge l'action dans l'univers du collège du Thiers. le thème de l'amour est réellement abordé à la fin du roman, lorsque Lagneau demande de l'aide à Pagnol pour l'aider à déclarer sa flamme à son amoureuse. (Je ne peux pas vous en dire plus que cela : c'est ce que j'ai lu sur la quatrième de couverture… avant de réussir l'exploit de perdre le livre chez moi… donc je ne l'ai pas encore lu… voilà, voilà).
MON AVIS
Les romans familiaux sont souvent soit aimés soit détestés. Pour ma part, c'est une belle réussite. Les personnages sont traités avec douceur, même lorsqu'il se moque d'eux.
Moi, je pensai que ‘‘de ma vie'' je n'étais jamais monté dans un fiacre, et je courus m'y installer sans plus de façons ; les cousins en étaient moelleux, et je regrettais de n'avoir pas les fesses de l'oncle Jules pour en profiter plus largement. (Le Temps des secrets)
En effet, le cycle Souvenirs d'enfance est avant une magnifique ode à l'amour familial. La figure du père modèle qui sait tout et sur qui on peut toujours compter, celle de la mère aimante et aimée dont la beauté provient énormément de sa fragilité, celle du petit frère capable du meilleur comme du pire pour embêter son frère. L'affection amicale est également très présente avec les personnages de Lili des Bellons et de ses camarades de collège.
Tout cet amour pour ses proches se déploie avec finesse et justesse dans les scènes de repas ou de chasse, par exemple, où le petit Marcel s'amuse des disputes entre son père et son oncle à propos de la religion, ou se sent gonfler de fierté devant son père qui s'avère presque aussi adroit que son oncle à la chasse.
Mais ce qui m'a le plus frappé, c'est l'ingénieuse alliance de naïveté et d'espièglerie. Je m'explique. Pagnol raconte les événements avec sa voix de 1957-1960, celle d'un homme devenu grand-père. Cependant, toutes les actions et pensées sont justifiées avec la naïveté propre du petit garçon d'une dizaine d'années qu'il était. Les réflexions faites sont jugées selon les connaissances et les croyances de ce petit bonhomme. Mais le regard du vieil homme n'est jamais loin. Tantôt il défend son petit Lui avec la bienveillance d'un adulte, tantôt il maintient la justification puérile couplée d'une belle mauvaise foi.
"Je décidai donc de les [des mantes religieuses] étudier, c'est-à-dire que, pour déclencher une bataille entre les deux plus grosses, je les présentai de fort près l'une à l'autre, les griffes en avant. Nous pûmes alors continuer nos études par la constatation du fait que ces bestioles pouvaient vivre sans griffes, puis sans pattes, et même sans une moitié de tête… Au bout d'un quart d'heure de ce divertissement si gracieusement enfantin, l'un des champions n'était plus qu'un buste qui, ayant dévoré la tête et le thorax de l'adversaire, s'attaquait, sans se presser, à la seconde moitié, qui remuait toujours, un peu." (La Gloire de mon père)
Et ce regard espiègle nous rend complice de ces aventures de vacances qui deviennent de véritables récits épiques, à l'image de ceux de Robinson Crusoé et Buffalo Bill qui hantent l'imaginaire de ce jeune Pagnol. Ainsi, le narrateur nous raconte ses explorations des collines provençales, hantées de sangliers et de rapaces immenses, sa fugue pour échapper à la rentrée, ou encore la relevé des petits pièges avec son ami Lili.
Lien : https://culturelivresque.fr/..
Ce cycle autobiographique trouve son origine dans la demande d'un magazine à Marcel Pagnol d'écrire une nouvelle pour Noël. L'auteur choisi de raconter l'aventure des châteaux décrite dans le Château de ma mère. L'envie d'en raconter plus, de léguer à la postérité son histoire familiale germe dans son esprit et donnera naissance à ces quatre romans.
RÉSUMÉS
La Gloire de mon père débute le jour de la naissance de Pagnol et s'achève sur la remise de la photo immortalisant le triomphe de son père : deux magnifiques bartavelles abattues grâce au « coup du roi ». le roman nous présente les lieux et les personnages : Jospeh, le père, instituteur à Aubagne ; Augustine, la mère, douceà la santé fragile ; Paul, le petit frère, complice des meilleures bêtises ; Rose, la tante maternelle, et son époux, Jules, un fonctionnaire. Durant l'été 1904, Joseph et Jules décident de louer une villa perdue dans l'arrière-pays provençal. Cette région devient alors le théâtre des expérimentations, découvertes et aventures de Marcel et de Paul. Et surtout, de la chasse, introduite par l'oncle Jules.
Le Château de ma mère prend la suite directe du premier tome. Marcel, rendu inconsolable à la rentrée des classes car il a dû quitter son bel arrière-pays, ne cesse de vouloir y retourner. Jospeh fini par se décider à emmener sa petite famille tous les weekends à la villa. Sauf que la route est longue. Très longue. Mais une rencontre vient leur faciliter la tâche : Bouzigue, ancien élève de Jospeh leur confie la clé du canal pour couper leur route. Les Pagnol doivent alors traverser quatre propriétés de châteaux. Un en particulier terrorise Augustine… le dernier chapitre du roman fait un bond dans le temps pour dévoiler le secret du titre.
Le Temps des amours reprend la narration là où l'avant-dernier chapitre du tome 2 l'avait laissée. L'heure est arrivée pour Marcel de tomber amoureux pour la première, et d'en subir les conséquences… Il faut dire que sa petite chérie, Isabelle de Montjamour, est un sacré numéro. le dernier tiers du roman relate l'entrée de Marcel au collège. S'ouvre alors un monde rempli de nouvelles possibilités et rencontres.
Le Temps des secrets prolonge l'action dans l'univers du collège du Thiers. le thème de l'amour est réellement abordé à la fin du roman, lorsque Lagneau demande de l'aide à Pagnol pour l'aider à déclarer sa flamme à son amoureuse. (Je ne peux pas vous en dire plus que cela : c'est ce que j'ai lu sur la quatrième de couverture… avant de réussir l'exploit de perdre le livre chez moi… donc je ne l'ai pas encore lu… voilà, voilà).
MON AVIS
Les romans familiaux sont souvent soit aimés soit détestés. Pour ma part, c'est une belle réussite. Les personnages sont traités avec douceur, même lorsqu'il se moque d'eux.
Moi, je pensai que ‘‘de ma vie'' je n'étais jamais monté dans un fiacre, et je courus m'y installer sans plus de façons ; les cousins en étaient moelleux, et je regrettais de n'avoir pas les fesses de l'oncle Jules pour en profiter plus largement. (Le Temps des secrets)
En effet, le cycle Souvenirs d'enfance est avant une magnifique ode à l'amour familial. La figure du père modèle qui sait tout et sur qui on peut toujours compter, celle de la mère aimante et aimée dont la beauté provient énormément de sa fragilité, celle du petit frère capable du meilleur comme du pire pour embêter son frère. L'affection amicale est également très présente avec les personnages de Lili des Bellons et de ses camarades de collège.
Tout cet amour pour ses proches se déploie avec finesse et justesse dans les scènes de repas ou de chasse, par exemple, où le petit Marcel s'amuse des disputes entre son père et son oncle à propos de la religion, ou se sent gonfler de fierté devant son père qui s'avère presque aussi adroit que son oncle à la chasse.
Mais ce qui m'a le plus frappé, c'est l'ingénieuse alliance de naïveté et d'espièglerie. Je m'explique. Pagnol raconte les événements avec sa voix de 1957-1960, celle d'un homme devenu grand-père. Cependant, toutes les actions et pensées sont justifiées avec la naïveté propre du petit garçon d'une dizaine d'années qu'il était. Les réflexions faites sont jugées selon les connaissances et les croyances de ce petit bonhomme. Mais le regard du vieil homme n'est jamais loin. Tantôt il défend son petit Lui avec la bienveillance d'un adulte, tantôt il maintient la justification puérile couplée d'une belle mauvaise foi.
"Je décidai donc de les [des mantes religieuses] étudier, c'est-à-dire que, pour déclencher une bataille entre les deux plus grosses, je les présentai de fort près l'une à l'autre, les griffes en avant. Nous pûmes alors continuer nos études par la constatation du fait que ces bestioles pouvaient vivre sans griffes, puis sans pattes, et même sans une moitié de tête… Au bout d'un quart d'heure de ce divertissement si gracieusement enfantin, l'un des champions n'était plus qu'un buste qui, ayant dévoré la tête et le thorax de l'adversaire, s'attaquait, sans se presser, à la seconde moitié, qui remuait toujours, un peu." (La Gloire de mon père)
Et ce regard espiègle nous rend complice de ces aventures de vacances qui deviennent de véritables récits épiques, à l'image de ceux de Robinson Crusoé et Buffalo Bill qui hantent l'imaginaire de ce jeune Pagnol. Ainsi, le narrateur nous raconte ses explorations des collines provençales, hantées de sangliers et de rapaces immenses, sa fugue pour échapper à la rentrée, ou encore la relevé des petits pièges avec son ami Lili.
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Toujours un bon Pagnol dans cette évocation de ses souvenirs d'enfance. La Provence est là, magnifiée par l'auteur, même si le récit s'essouffle par moments, cela reste une belle lecture de la prose si évocatrice de Marcel Pagnol.
Dans ce 3eme volet des Souvenirs d'enfance, Marcel Pagnol continue de se remémorer ses vacances dans les collines au dessus de Marseille puis ses premiers pas au lycée.
La 1ere partie nous dévoile le premier amour de Marcel pour se jaune voisine, la belle Isabelle de Montmajour (Isabelle Cassignol en réalité) qui le fascine et le mène par le bout du nez.
Mais les vacances ne sont pas éternelles et voila déjà le temps de la rentrée. Marcel Pagnol nous fait découvrir l'univers d'un lycée pour garçon dans les années 1900. Encore une fois, grâce à ses descriptions, on imagine parfaitement l'ambiance qui y règne et on découvre plein de détails et anecdotes intéressants.
Pour moi, ce livre est une plongée sympathique et rafraîchissante dans un autre siècle !
Lien : https://lectureenfantparent...
La 1ere partie nous dévoile le premier amour de Marcel pour se jaune voisine, la belle Isabelle de Montmajour (Isabelle Cassignol en réalité) qui le fascine et le mène par le bout du nez.
Mais les vacances ne sont pas éternelles et voila déjà le temps de la rentrée. Marcel Pagnol nous fait découvrir l'univers d'un lycée pour garçon dans les années 1900. Encore une fois, grâce à ses descriptions, on imagine parfaitement l'ambiance qui y règne et on découvre plein de détails et anecdotes intéressants.
Pour moi, ce livre est une plongée sympathique et rafraîchissante dans un autre siècle !
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Je me suis amusée à transformer cette critique littéraire en quizz. J'ai personnellement adoré ce livre.
Test : Faut-il lire le temps des secrets de Marcel Pagnol ?
Le Temps des secrets est-il un livre que vous devez absolument vous procurer ? Ou bien fait-il partie de ces ouvrages « has been » et sans intérêt ? Pour le savoir, faites vite notre test !
1/ Un cousin que vous n'avez pas vu depuis longtemps vous offre un cadeau pour votre anniversaire. Lorsque vous ouvrez le paquet, vous découvrez qu'il s'agit d'un livre. Comment réagissez-vous ?
a. Vous le remerciez chaleureusement car vous adorez lire. Connaissant votre cousin, vous lui faites confiance sur son choix de lecture.
b. Vous lui faites un sourire forcé en guise de remerciement et hors de sa vue, vous rangez le livre dans un tiroir que vous n'utilisez jamais.
2/ Lors d'une soirée, vous rejoignez des amis qui tiennent une conversation agitée. L'un d'eux parle de Marcel Pagnol et vous demande votre avis de manière inopinée :
a. Vous rebondissez sans hésiter et faites valoir vos connaissances en rappelant que 2015 est l'année des 120 ans de la naissance de l'auteur.
b. Vous devenez rouge écarlate et commencez à bafouiller car vous ne savez pas du tout quoi répondre.
3/ Dans le temps des secrets, le narrateur déclare à propos des filles : « C'est ainsi qu'elles séparent les meilleurs amis, en riant sur des balançoires qui s'arrêtent en deux minutes quand le mâle ne les pousse plus. » Qu'en pensez-vous ?
a. L'amitié est plus forte que l'amour. Une fille qui dit aimer un garçon ne doit pas l'écarter de ses amis.
b. Quand un garçon a trouvé l'amour, il vaut mieux qu'il s'y accroche et qu'il y consacre tout son temps.
4/ Que pensez-vous des individus qui publient leur autobiographie ?
a. Vous ne les remercierez jamais assez car vous adorez découvrir la vie des gens et savoir comment ils pensaient à une époque donnée. C'est un excellent recueil de souvenirs.
b. Vous trouvez ce genre d'écrit trop indiscret et personnel, chacun devrait garder un jardin secret. de plus, vous vous moquez de la vie des autres et vous détestez l'histoire.
5/ Auriez-vous pu vivre au tout début du XXe siècle ?
a. Oui ! C'était « la Belle Époque », une période à laquelle les gens savaient vivre simplement et où l'insouciance état de mise.
b. Certainement pas ! Les gens devaient profondément s'ennuyer, surtout sans téléphone portable et sans Facebook.
6/ Vous allez rendre visite à votre grand-mère. Pendant qu'elle vous prépare un thé, elle évoque les romans de son auteur favori et vante leur côté authentique et plein d'évasion. Que lui répondez-vous ?
a. Vous agréez et lui rappelez que c'est grâce à elle que vous avez découvert Marcel Pagnol.
b. Une fois de plus, vous lui cachez que vous n'aimez pas du tout ces histoires démodées.
7/ L'esprit de famille est-il important pour vous ?
a. Vous passez toutes les fêtes importantes avec votre famille et vous adorez ces réunions interminables dans lesquelles vous revoyez vos cousins et cousines.
b. Vous êtes du genre à oublier les anniversaires et vous détestez les repas de famille. On vous le reproche d'ailleurs souvent.
8/ Les membres de votre famille sont dispersés dans diverses régions de France. Vous faites votre choix de vacances d'été en fonction du lieu dans lequel ils vivent. Où allez-vous ?
a. Vous prenez un billet de train pour le Sud sans hésiter. Vous adorez l'atmosphère de la Provence, son soleil, ses odeurs, ses petits villages, ses cigales.
b. Vous optez pour le Nord. Vous supportez difficilement la chaleur et vous vous réjouissez à l'idée de manger des moules-frites à chaque repas.
9/ Quels souvenirs gardez-vous de votre entrée en 6ème ?
a. C'était la bonne époque. Vous avez vécu votre entrée au collège comme une transition entre l'enfance immature et l'âge mûr.
b. Vous étiez mauvais(e) élève et tout le monde se moquait de vous. Vous détestez vous remémorer cette période de votre vie.
10/ « Je ne suis pas allé aux pièges ce matin parce que j'ai été obligé de sauver une fille. Ça, ce n'est pas ma faute. Mais maintenant à quoi ça sert que j'y aille, puisque nous y retournerons tout à l'heure ? Si les bêtes ont mangé les oiseaux, qu'est-ce que j'y pourrai ? Et si le boiteux est passé, les pièges n'y sont plus. Alors, j'y vais pour quoi ? Pour faire croire à Lili que j'y suis allé ce matin. Eh bien, je trouve que c'est hypocrite. Je n'ai qu'à lui dire la vérité, et nous ferons la tournée ensemble à cinq heures. Je ne lui ai jamais menti : je ne vais pas commencer aujourd'hui. » Que vous inspire ce passage ?
a. Vous aimez l'honnêteté du narrateur. Vous avez envie de connaître la suite.
b. Ce livre a l'air ennuyeux et plat. En plus, c'est mal écrit.
Résultats :
Majorité de A : Lisez le temps des secrets ! Fermez ce magazine et dirigez-vous vers la bibliothèque la plus proche pour aller emprunter le temps des secrets ! Vous prendrez beaucoup de plaisir à lire cette oeuvre. Vous adorerez découvrir les aventures du jeune narrateur en vacances et lors de sa rentrée scolaire. Vous adhérerez au style de l'auteur sans peine et vous apprécierez sa tendance à transformer la moindre action banale en effet poétique.
Majorité de B : Ne lisez pas le temps des secrets. le temps des secrets n'est certainement pas un livre pour vous. Vous ne serez pas sensible aux nombreuses descriptions et métaphores que fait le narrateur. Pour vous, il n'y a rien d'excitant à savoir comment un jeune garçon passe ses vacances ou découvre l'ambiance du collège. D'ailleurs, vous pensez que la lecture est une perte de temps. Vous préférez aller voir les films, quitte à ne pas percevoir les détails révélés dans les livres.
Test : Faut-il lire le temps des secrets de Marcel Pagnol ?
Le Temps des secrets est-il un livre que vous devez absolument vous procurer ? Ou bien fait-il partie de ces ouvrages « has been » et sans intérêt ? Pour le savoir, faites vite notre test !
1/ Un cousin que vous n'avez pas vu depuis longtemps vous offre un cadeau pour votre anniversaire. Lorsque vous ouvrez le paquet, vous découvrez qu'il s'agit d'un livre. Comment réagissez-vous ?
a. Vous le remerciez chaleureusement car vous adorez lire. Connaissant votre cousin, vous lui faites confiance sur son choix de lecture.
b. Vous lui faites un sourire forcé en guise de remerciement et hors de sa vue, vous rangez le livre dans un tiroir que vous n'utilisez jamais.
2/ Lors d'une soirée, vous rejoignez des amis qui tiennent une conversation agitée. L'un d'eux parle de Marcel Pagnol et vous demande votre avis de manière inopinée :
a. Vous rebondissez sans hésiter et faites valoir vos connaissances en rappelant que 2015 est l'année des 120 ans de la naissance de l'auteur.
b. Vous devenez rouge écarlate et commencez à bafouiller car vous ne savez pas du tout quoi répondre.
3/ Dans le temps des secrets, le narrateur déclare à propos des filles : « C'est ainsi qu'elles séparent les meilleurs amis, en riant sur des balançoires qui s'arrêtent en deux minutes quand le mâle ne les pousse plus. » Qu'en pensez-vous ?
a. L'amitié est plus forte que l'amour. Une fille qui dit aimer un garçon ne doit pas l'écarter de ses amis.
b. Quand un garçon a trouvé l'amour, il vaut mieux qu'il s'y accroche et qu'il y consacre tout son temps.
4/ Que pensez-vous des individus qui publient leur autobiographie ?
a. Vous ne les remercierez jamais assez car vous adorez découvrir la vie des gens et savoir comment ils pensaient à une époque donnée. C'est un excellent recueil de souvenirs.
b. Vous trouvez ce genre d'écrit trop indiscret et personnel, chacun devrait garder un jardin secret. de plus, vous vous moquez de la vie des autres et vous détestez l'histoire.
5/ Auriez-vous pu vivre au tout début du XXe siècle ?
a. Oui ! C'était « la Belle Époque », une période à laquelle les gens savaient vivre simplement et où l'insouciance état de mise.
b. Certainement pas ! Les gens devaient profondément s'ennuyer, surtout sans téléphone portable et sans Facebook.
6/ Vous allez rendre visite à votre grand-mère. Pendant qu'elle vous prépare un thé, elle évoque les romans de son auteur favori et vante leur côté authentique et plein d'évasion. Que lui répondez-vous ?
a. Vous agréez et lui rappelez que c'est grâce à elle que vous avez découvert Marcel Pagnol.
b. Une fois de plus, vous lui cachez que vous n'aimez pas du tout ces histoires démodées.
7/ L'esprit de famille est-il important pour vous ?
a. Vous passez toutes les fêtes importantes avec votre famille et vous adorez ces réunions interminables dans lesquelles vous revoyez vos cousins et cousines.
b. Vous êtes du genre à oublier les anniversaires et vous détestez les repas de famille. On vous le reproche d'ailleurs souvent.
8/ Les membres de votre famille sont dispersés dans diverses régions de France. Vous faites votre choix de vacances d'été en fonction du lieu dans lequel ils vivent. Où allez-vous ?
a. Vous prenez un billet de train pour le Sud sans hésiter. Vous adorez l'atmosphère de la Provence, son soleil, ses odeurs, ses petits villages, ses cigales.
b. Vous optez pour le Nord. Vous supportez difficilement la chaleur et vous vous réjouissez à l'idée de manger des moules-frites à chaque repas.
9/ Quels souvenirs gardez-vous de votre entrée en 6ème ?
a. C'était la bonne époque. Vous avez vécu votre entrée au collège comme une transition entre l'enfance immature et l'âge mûr.
b. Vous étiez mauvais(e) élève et tout le monde se moquait de vous. Vous détestez vous remémorer cette période de votre vie.
10/ « Je ne suis pas allé aux pièges ce matin parce que j'ai été obligé de sauver une fille. Ça, ce n'est pas ma faute. Mais maintenant à quoi ça sert que j'y aille, puisque nous y retournerons tout à l'heure ? Si les bêtes ont mangé les oiseaux, qu'est-ce que j'y pourrai ? Et si le boiteux est passé, les pièges n'y sont plus. Alors, j'y vais pour quoi ? Pour faire croire à Lili que j'y suis allé ce matin. Eh bien, je trouve que c'est hypocrite. Je n'ai qu'à lui dire la vérité, et nous ferons la tournée ensemble à cinq heures. Je ne lui ai jamais menti : je ne vais pas commencer aujourd'hui. » Que vous inspire ce passage ?
a. Vous aimez l'honnêteté du narrateur. Vous avez envie de connaître la suite.
b. Ce livre a l'air ennuyeux et plat. En plus, c'est mal écrit.
Résultats :
Majorité de A : Lisez le temps des secrets ! Fermez ce magazine et dirigez-vous vers la bibliothèque la plus proche pour aller emprunter le temps des secrets ! Vous prendrez beaucoup de plaisir à lire cette oeuvre. Vous adorerez découvrir les aventures du jeune narrateur en vacances et lors de sa rentrée scolaire. Vous adhérerez au style de l'auteur sans peine et vous apprécierez sa tendance à transformer la moindre action banale en effet poétique.
Majorité de B : Ne lisez pas le temps des secrets. le temps des secrets n'est certainement pas un livre pour vous. Vous ne serez pas sensible aux nombreuses descriptions et métaphores que fait le narrateur. Pour vous, il n'y a rien d'excitant à savoir comment un jeune garçon passe ses vacances ou découvre l'ambiance du collège. D'ailleurs, vous pensez que la lecture est une perte de temps. Vous préférez aller voir les films, quitte à ne pas percevoir les détails révélés dans les livres.
A vrai dire, ce troisième tome m'a moyennement emballé. Je n'y ai pas senti le souffle du premier (me gloire de mon père) et l'ai trouvé un peu poussif. Je me suis identifié à l'adolescent débarquant dans un nouveau lycée, je me souviens de certains épisodes et de la façon dont Pagnol les raconte… mais le coeur n'y est plus. Je ravale ce livre au rang d'autres souvenirs d'enfance ou de jeunesse (ex : La communale, de Jean L'hote).
Je continue cette saga mais j'avoue que la magie de l'enfance de Pagnol entre Marseille et les collines provençales diminue à chaque tome.
Ici il nous parle de sa première amourette à l'age de 11 ans et j'avoue que son point de vue sur les filles et sa découverte du sentiment amoureux m'a bien fait rire, puis de son entrée en 6ème où on découvre un lycée d'une époque fort lointaine
Ici il nous parle de sa première amourette à l'age de 11 ans et j'avoue que son point de vue sur les filles et sa découverte du sentiment amoureux m'a bien fait rire, puis de son entrée en 6ème où on découvre un lycée d'une époque fort lointaine
Celui que j𠆚i le moins apprécié à lire pour le moment dans les souvenirs d𠆞nfance. Cependant delà reste dans la même ligné, seulement on passe de la narration de l𠆞nfance et de l’ignorance à celle de l�olescence avec ses découvertes et ses penchants de la vie d�ulte. Marcel rentre au lycée et s’inquiète de sa réputation. Hâte de lire le prochain quand même !
Tellement bien écrit qu'on se plonge facilement dans l'histoire de Marcel Pagnol. Très bon livre pour ma part.
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