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3,26

sur 411 notes
Un livre qui évoque un temps qui paraît si loin. Juliette, Bénédicte et Martine rêvent d'indépendances pour faire ce qu'elles veulent. Juliette rêve d'amour, pas de soucis elle tombe amoureuse, elle ne l'est hélas plus en quelques secondes. Ses études à Paris ? Ce n'était qu'un prétexte pour quitter ses parents, marchands de chaussures à Pithiviers. Pour vivre, elle est conduite à faire des choix douteux.
Bénédicte veut être journaliste. Alors qu'elle était très protégée jusque-là, elle ne s'en sort pas, du moins pas sans moyens discutables.
Martine veut réussir, partir aux États-Unis. Elle a les pieds sur terre, enfin presque, parce que le grand amour sonne à la porte.
Un livre fortement teinté années 60-70.
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Juliette quittent sa ville natale pour Paris et reprendre sa vie à zéro. Elle est ensuite rejointe par ses 2 copines, Martine et Bénédicte.
Juliette rêve d'amour, Martine de réussite sociale et d'indépendance et Bénédicte de pouvoir. L'histoire se déroule fin des années 60 début 70, au moment de la libération sexuelle. Chacune à leur tour, elles vont aller de déception en déception. de promotion canapé en prostitution....

Quelle déception! J'avais vraiment adoré la trilogie de Katherine Pancol, Les yeux jaunes des crocodiles. Scarlett, si possible est le deuxième roman de Katherine Pancol que je lis après cette première découverte. Ma désillusion est la même qu'avec Encore une danse. Ce roman n'est pas fait pour moi. On n'y parle que de Cul, et d'une manière vraiment vulgaire et malsaine. "Suce, salope, comme si t'aimais ça" n'est qu'un exemple parmi le florilège de mots dont nous honore l'auteur. Vraiment je suis désolée, je n'ai pas aimé.
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Je suis contente qu'on m'ai offert ce roman :)
Ce n'est pas le roman du siècle mais il est pas mal, et j'ai passé un bon moment en sa compagnie.
J'ai apprécié que ce livre se déroule à la fin des années soixante, début soixante dix. Je n'ai pas connu les années 1960 étant donné que je suis née en 1974, mais mes parents m'en ont beaucoup parlé, mon père adorant tout ce qui se rapportait à cette époque. J'ai également vu pas mal de reportages sur les années 60, mai 68 et ce que relate l'auteur ne m'a pas dépaysé, j'ai eu l'impression d'un retour en arrière bien sympathique.
Même si c'est un roman qui se déroule il y a un peu plus de quarante ans, c'est toujours actuel. Incroyable, mais pourtant vrai.
« Scarlett, si possible » est un bon roman d'apprentissage avec trois jeunes filles déterminées à réussir envers et contre tous.
Je ne vous dirais pas si elles y arrivent, pour le savoir il faudra le lire ; )
Même si c'est un roman intéressant, j'ai été surprise par le style de l'auteur.
J'ai déjà lu du Katherine Pancol, mais ici j'ai été étonnée car il y a pas mal de gros mots !
Certains passages sont limites vulgaires, or s'il y a bien quelque chose que je n'apprécie que moyennement dans un roman ce sont les gros mots et la vulgarité.
Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de mettre les mots sa**pe, b**e et autres grossièretés dans un roman pour qu'il soit passionnant !
Du coup une étoile en moins, car l'auteur aurait pu utiliser un langage un moins vulgaire pour ce roman.
Malgré ça, j'ai bien aimé ce livre, que j'ai lu avec plaisir.
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En voilà un agréable petit roman! C'est vraiment avec plaisir, malice et tendresse que je l'ai retrouvé chaque soir et même si je ne l'emporterais pas sur une île déserte, je dois dire que je me suis fait de ce livre un ami et qu'il figure parmi les pas si nombreux ouvrages qui m'ont fait du bien au coeur et dont je garde un doux souvenir!

Il faut dire que l'histoire pousse à s'y attacher puisqu'elle nous fait suivre le parcours initiatique d'une bande d'amies qui tant bien que mal et avec les loupés de circonstance, entrent dans la vie adulte. C'est parfois drôle, parfois touchant et parfois triste. Un peu comme la vie, quoi...
Je ne me suis personnellement pas vraiment attachée aux personnages, peut-être faute de pouvoir m'y reconnaitre ou de les trouver vraiment sympathiques, mais j'ai quand-même suivi leurs aventures et leurs premiers pas dans le grand Paris avec beaucoup de plaisir!

C'est le style de Mme Pancol, sans aucun doute, qui rend cette histoire si tendrement et coquinement touchante. On trouve en effet déjà ici la marque de la romancière à bestseller, même si ce n'est pas ce roman qui l'a fait le plus remarquer. C'est avec une grande finesse et un regard acéré qu'elle croque ces quelques portraits de femmes, et son talent pour construire une ambiance et mettre en scène une époque est absolument louable. Emportés dès les premières lignes dans la folie des années 70, c'est presque à regret que l'on sort du livre et qu'on réalise qu'on est en 2012, tant l'auteur brosse avec délice l'atmosphère toute particulière des années yéyés!
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Le style un peu vulgaire s'accorde bien aux 3 jolies provinciales un peu mal dégrossies qui montent vers Paris. Elles y vont au culot, utilisant leur fesses pour conquérir le monde Parisien.
Tout le livre tourne en rond autour des aventures sexuelles des trois jeunes femmes, dans un monde de clichés sur la vie Parisienne.
Tout va très vite, pas question de s'attarder sur les émotions de qui que ce soit ; le tout manque vraiment de profondeur. Et ce n'est pas la peine d'espérer des scènes torrides non plus, elles sont expédiées en quelques phrases.
Une vague intrigue policière tente de nous retenir, mais je n'y ai pas cru non plus.
On ne sait jamais si l'auteure dénonce la domination masculine ou s'en sert tout simplement pour pimenter une intrigue qui ne décolle pas, et dont chaque rebondissement est prévisible.
J'ai trouvé ce livre dans une boîte à livres , et je l'ai lu dans l'idée de comprendre le succès de Catherine Pancol. Je ne comprends toujours pas ! Ce n'est carrément pas ma tasse de thé.
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Martine, Bénédicte et Juliette ont 18 ans, elles veulent faire partie des femmes de la nouvelle génération, sachant que nous sommes dans les années 60. Celles qui s'affirment dans leur choix professionnel. elles emboîtent le pas dans la vie active afin de réaliser leur rêves. Mais le rêve n'est qu'un rêve et le monde actif et de surcroît moderne est très bruyant. D'autres réalités se présentent à elles, elles goûtent l'autre face de la vie. Elles affrontent des différentes difficultés tant sur le plan amoureux que professionnel...
Une histoire simple, aux phrases un peu crues et d'une structure posée, on voyage tranquillement dans cet univers de Pancol sans se soucier du temps...
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Je déteste ne pas finir un livre commencé et pourtant j'ai vraiment failli le faire pour celui-là et plusieurs fois!
Il n'y a pas vraiment d'Histoire. Mais, des anecdotes secondaires, sur différentes jeunes filles, qui ont parfois un début, un milieu mais pas vraiment de fin.
Ou alors une fin bâclée : l'histoire du "serial killer" est assez ahurissante. À peine le suspens commence à se mettre en place (j'ai même failli trouver un intérêt au livre!), que la solution est donnée et hop on passe à autre chose. Enfin, cette vulgarité permanente n'apporte rien par rapport à la personnalité des personnages.
Bon allez un point positif quand même, l'ambiance des années 60/70 est bien retranscrite et j'ai aimé me balader dans cette époque à travers l'actualité de l'époque, les femmes qui cherchent à gagner de la liberté, du pouvoir et ce fort contraste entre la jeune génération avide de liberté et le côté réactionnaire des parents. L'épisode de la mort du Général de Gaulle m'a plu, les parallélismes étant bien trouvées.
Bref, next!
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Je me suis embarquée dans cette lecture en pensant lire quelque chose de frais et joyeux – la couverture y étant surement pour beaucoup ! Grosse, grosse erreur. On suit donc ce groupe de trois amies originaires d'une petite ville de province. Elles n'ont que 18 ans et des rêves plein la tête…
Juliette est le personnage principal du livre. Elle rêve d'être indépendante de ses parents, de monter à Paris et réussir sa vie. Elle est droite et a des principes, mais malheureusement elle va voir que la vie n'est pas rose et qu'on ne réussit pas facilement. Elle tombe amoureuse à tous les coins de rue sans jamais que cela marche vraiment… En soit, elle n'est pas bête et je l'aurais trouvé attachante si elle ne répétait pas tout le temps les mêmes erreurs. Et j'ai déteste sa situation à la fin du livre. Je ne suis pas du genre à penser que tout doit bien finir dans le meilleur des mondes, mais tout de même, j'aime bien un peu d'optimisme et d'ondes positives ! En soit, ce n'est pas non plus le fait que Juliette tombe amoureuse souvent qui m'a dérangé car elle est jeune, rêveuse et idéaliste. Elle cherche le grand amour mais fait des choix douteux. Mais lorsqu'elle découvre que travailler ce n'est pas facile et qu'au final, elle ferait mieux de vendre son corps plutôt que de chercher de l'aide ailleurs parce que ses parents lui ont coupé les vivres, j'avoue avoir été révoltée.
De même pour Bénédicte. Cette jeune fille de bonne famille qui se met une pression monstrueuse pour réussir alors qu'elle n'a jamais pu rien obtenir sans l'aide de son père. Là encore, elle découvre ce que c'est la promotion canapé.
Il n'y a que Martine qui ne passe pas par cette case, mais côté relation amoureuse, ce n'est pas le top non plus et la conclusion qu'elle en tire et qu'on ne peut pas tout avoir. Il faut choisir entre sa réussite personnelle, ses rêves ou avoir une vie amoureuse épanouie.
J'ai en fait trouvé ce livre déprimant. C'est tout de même un beau pavé de 600 pages et à la fin, je ne sais pas si ce livre est vraiment déprimant ou trop réaliste, mais en tout cas ce n'est pas ma réalité. C'est un livre qui tue tout espoir de trouver le grand amour et qui donne l'impression que lorsqu'on est une femme, il est difficile d'arriver à se faire une place dans le monde du travail par soi-même. Je n'ai pas réussi à comprendre si l'auteur voulait démontrer que ce n'était pas facile pour les femmes durant ces années-là ou si c'était vraiment une leçon morale sur la vie en générale, mais bien que le livre soit sur une période d'à peine 4 ans, elles sont si jeunes et déjà désillusionnées. A 22 ans, on a l'impression que leur vie est finie, que les choix qu'elles ont faits ont déjà conditionné tout le reste de leur vie.
Je pense que j'ai dû louper quelque chose dans le roman. Dans l'histoire, on y parle beaucoup de sexe de manière assez cru – pourtant l'auteure insiste bien sur le fait que mai 68 leur était passe par-dessus la tête, du coup j'en déduis que c'est une attitude qui n'a rien à voir avec la libération sexuelle de cette époque. Si on pouvait compter le nombre de fois où le mot « cul » est écrit dans ce livre, je suis sure que ça serait impressionnant.
Un peu comme un cheveu sur la soupe, on se retrouve avec une enquête de meurtres commis par un tueur en série. Cette parenthèse m'a faite penser au cas similaire dans La valse lente des tortues du même auteure. J'ai trouvé que cette histoire n'apportait pas grand-chose au reste.
Vous l'aurez compris, c'était une déception pour moi. Je suis complètement passée à côté du livre et je n'ai pas du tout accroché avec ces personnages égoïstes, faibles et larmoyants.
Mais peut-être que les inconditionnels de Katherine Pancol apprécieront cette lecture !
Lien : http://latetedansleslivres.w..
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3 jeunes filles dans les années 68-72, provinciales, rêvent de « monter à Paris. Elles ont en commun la petite ville où elles ont vécu leur enfance, où tout le monde se connaît et s'épie pour alimenter les ragots, et la recherche de l'amour avec en plus la réussite sociale. Triste désillusion. Rêves brisés de libération féminine et d'égalité des sexes.

J'ai bien aimé ce roman, un peu sur le même ton que la trilogie des crocodiles, tortues et écureuils du même auteur, pour sa lucidité sur la condition féminine (il est vrai que c'est facile vingt années plus tard, car ce roman est paru en 1985). J'ai beaucoup aimé également les évocations de détails très « madeleinesques » : l'ami 6, la robe chasuble, Anne-Marie Peysson…qui ont fait partie de nos vies quotidiennes lorsqu'on a un peu plus de 40 ans, et que l'on se rappelle avec tendresse ou nostalgie. Les agissements d'un serial killer viennent pimenter le récit : le tout est donc bien vite lu, et avec plaisir

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D'ordinaire j'aime bien les pavés. Avaler les pages d'une histoire sur plusieurs heures, voir deux trois jours. Y être avec les personnages longuement.
Là j'ai eu une impression de confusion, comme si chaque histoire étaient poreuse. Je m'y suis pas vraiment perdue mais carremment pas retrouvée.
ça mélange beaucoup de choses et le mélange des genres est une idée qui me plait bien sur la principe... Des histoires de vie et d'amitié, une assez prévisible de meurtres en série (pourquoi?), plusieurs de sexes plus ou moins crues avec une pointe de masochisme, les luttes féministes...
Le langage ne m'a pas choqué, le devenir adulte des personnages qui luttent m'a parfois touché mais globalement j'ai eu une impression de quelque chose d'assez brouillon et d'une certaine lourdeur.
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