Le Women Murder Club, tome 16 : La 16e séduction

La 16e séduction, seizième roman de la série The Women's Murder Club, 16th Séduction dans la version originale publiée par Little Brown and Company en 2017, a été publié en 2018 par les éditions Jean-Claude Lattès. le récit est écrit à la première personne selon le point de vue du sergent Lindsay quand elle est présente, ou à la troisième personne quand elle n'apparaît pas. Procédé qui permet au lecteur de bénéficier d'un plus large éclairage.
Le rythme est alerte, les chapitres sont courts, les scènes et actions s'enchaînant rapidement, sans détails inutiles. le roman commence d'ailleurs par une scène de course-poursuite et de bombe qui explose. le lecteur est immédiatement plongé dans le vif du sujet, l'incitant à tourner les pages avec frénésie.

4 juillet. San Francisco. Mission de surveillance dans un contexte international tendu, à cause des attentats sanglants perpétrés ces cinq derniers jours, par le GAR, un groupe terroriste international qui s'était donné pour mission d'infiltrer tous les pays et de renverser toutes formes d'autorité, qu'elles soient politiques ou religieuses, dans six pays différents.
Un mois plus tard. Une violente explosion détruit le Scientific-Tron, musée des sciences. Quelques minutes plus tard, une seconde explosion, revendiquée par le GAR. Joe, mari de Lindsay dont elle s'est séparée six mois plus tôt après la découverte de sa double vie, l'une des victimes, est entre la vie et la mort, atteint d'un traumatisme crânien.
Alors que Lindsay se rend sur les lieux, elle croise Connor Grant, professeur de physique au collège, qui lui avoue être l'auteur de l'attentat, revendiqué par le GAR, avant de disparaître. Connor est-il le véritable auteur de cet attentat? Aurait-il réellement un lien avec le GAR ou aurait-il agi en loup solitaire? Ou alors serait-il un crétin affabulateur et innocent? D'autant que, lors de son interrogatoire, il nie toute implication.
Parmi les victimes de l'attentat figure un cas étrange: une femme retrouvée tout près des lieux de l'attentat, sans papier, aurait apparemment succombé à une crise cardiaque mais l'autopsie révélant un coeur tout à fait sain, Claire Washburn, la légiste, a approfondi son examen et découvert une plaie perforante sur sa fesse droite au centre d'un hématome, lésion qu'elle avait remarquée sur le cadavre d'un homme quelques mois plus tôt qui, lui aussi, avait apparemment succombé à une crise cardiaque alors que son coeur était sain. Deux morts suspectes, deux victimes en apparence sans aucun lien.
Lindsay ne sait quelle conclusion en tirer. Deux mois plus tard, Connar Grant comparaît devant le tribunal. Innocent ou coupable? La jeune femme se retrouve confrontée à une lutte mortelle contre une vague de terrorisme sans précédent sur la cité de San Francisco. Sa carrière et son couple y résisteront-ils?

La 16e Séduction, polar habilement construit, animé par une tension dramatique constante, présente une analyse du terrorisme international et des forces en présence plutôt pertinente, en tout cas suffisamment pour nous interpeller sur le défi de notre siècle secoué par nombre de soubresauts qu'ils soient politiques, socio-économiques ou éthiques. 
Le +: confrontation en apparence déséquilibrée entre le tueur qui agit en toute impunité sans que personne ne le soupçonne, et l'enquête menée par la brigade dont Lindsay fait partie, se battant avec des moyens parfois insuffisants. Tout l'intérêt pour le lecteur, qui ne sortira pas indemne de cette lecture passionnante, est de suivre les deux trajectoires et de voir quand et comment elles finiront par se rejoindre.

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Bien que je préfère (et de loin) la série "Alex Cross", de James Patterson, il m'arrive de me laisser tenter par un "Women's murder club" comme celui-ci. J'ai lu les premiers il y a quelques années, et quand je tombe par hasard sur un titre à la médiathèque cela m'offre un petit moment de divertissement sans prétention. "La 16e séduction" ne figurera pas parmi mes favoris, j'ai l'impression que les personnages ont déjà donné tout leur jus, et que la série s'essouffle. L'intrigue est assez banale : une série d'attentats revendiqués par un mouvement anarco-terroriste se produit dans différentes villes. Et l'un d'entre eux a lieu, comme par hasard, sous les yeux de Lindsay Boxer et de son mari Joe qui sont en train d'essayer de recoller les morceaux après leur séparation (advenue dans le précédent opus). Bien entendu ils se précipitent pour porter secours aux victimes, et repèrent un individu qui semble apprécier le spectacle de l'explosion et revendique fièrement en être l'auteur. Lindsay va donc l'interpeller et le faire incarcérer. Pendant ce temps, Joe tente de dégager une victime et une seconde explosion le blesse grièvement. le lendemain, Connor Grant, le prof de physique accusé de l'attentat revient sur ses aveux et lors du procès va se défendre lui-même avec une surprenante maestria. Parallèlement, Claire Washburn, médecin légiste et membre du Women Murder Club, fait part à son amie Lindsay de plusieurs décès troublants : des personnes sans le moindre problème de santé ayant subitement ayant subitement été victimes de crises cardiaques en pleine rue. Point commun : elle présentent toutes des traces de piqûre dans le fessier. Nous suivrons donc les deux enquêtes simultanément, enquêtes ponctuées par les réunions des 4 membres du Club.
Vite lu, mais qui ne restera pas parmi mes meilleurs souvenirs dans cette série. Des invraisemblances, des péripéties cousues de fil blanc, une fin tirée par les cheveux...bref on a connu bien mieux. Je voudrais bien savoir quelle est la participation effective de chacun des auteurs, puisque toute la série est co-écrite par Maxine Paetro, dont je ne sais pas grand-chose, hormis qu'elle aurait écrit 3 romans ?
En tout cas je crains fort de ne plus suivre à l'avenir ce petit club qui n'a plus grand-chose à m'apporter. J'ai quand même mis 3 étoiles en souvenir des bons moments passés, mais si je n'avais lu que celui-ci j'aurais sans doute été plus sévère.

Merci à NetGalley et aux éditions JC Lattes de m'avoir permis de lire ce bon polar où s'entremêlent deux enquêtes :Un attentat survient sur l'embarcadère de San Francisco où le présumé coupable est arrêté sur le lieu de la tragédie et des personnes qui meurent mystérieusement d'arrêt cardiaque sans lien entre elles.
Lindsay Boxer ,l'enquêtrice ,va devoir faire preuve de combativité et d'entêtement pour résoudre ces deux affaires.

J'ai mis une critique seulement sur le tome 1 de la série Women Murder Club car même si elle a été écrite par différents employés de Patterson, tout est d'un niveau semblable et est de bonne tenue... pour lire sur la plage.

Toutefois j'ai trouvé ce tome 16 d'un meilleur niveau. Bon on n'approche tout de même pas d'un Thilliez ou d'un Norek mais l'intrigue est mieux ficelée que pour les opus précédents. La trouvaille de cet accusé prof de physique et si bon avocat de lui-même, et l'histoire parallèle du tueur furtif sont intéressantes. Dommage que la personnalité de ce dernier ne soit pas plus approfondie puisqu'un fou qui se fait passer pour tel depuis 30 ans aurait mérité qu'on s'y attarde un peu plus.
Toutefois, et c'est là que Patterson (ou son "nègre") retombe dans la facilité, on apprend toute la vérité sur l'affaire principale quelques chapitres avant la fin. Bon pourquoi pas ! Hélas ce ne sont pas les héroïnes, et surtout le sergent Boxer, qui trouvent la vérité, c'est Patterson qui nous la raconte sans que l'enquête ne nous y ait menés. Quelle déception !
Je quitte donc la série (le 17e n'existe pas encore en France) sans regret. Je vais essayer Alex Cross pour voir.

Dans 15e affaire, Lindsay et Joe s'étaient séparés, en raison de la double existence de ce dernier. Alors qu'ils tentent de se retrouver, lors d'un dîner au restaurant, une explosion a lieu dans le musée voisin. Ils se précipitent sur le lieu de l'attentat. Un homme admire les dégâts et déclare être fier de son oeuvre. Alors que Lindsay arrête le suspect, Joe pénètre dans le musée et est grièvement blessé lorsque survient une deuxième explosion.


Le lendemain, le terroriste présumé revient sur ses aveux. Lors de son procès, c'est le travail des enquêteurs, en particulier celui de Lindsay, qui est incriminé.


En parallèle, un tueur en série sévit dans la ville.


Je suis complètement fan de la série du Women's murder club. J'ai lu toute la série dans l'ordre, cependant, je pense que même si vous n'avez pas lu les tomes précédents, vous ne serez pas perdus en lisant La 16e séduction.


Dans cet opus, l'intégrité et le professionnalisme de mon enquêtrice adorée sont remis en cause. L'homme qu'elle a arrêté est-il coupable ? Aucune preuve directe ne permet de l'attester. En raison des rebondissements et des doutes égrenés avec talent par les deux auteurs, je n'ai plus su où se situait la vérité.


Le procès de Grant Connor, un professeur de physique, est un moment très fort. Alors que les forces de l'ordre sont persuadées de tenir le coupable, l'accusé se défend avec brio et sème le trouble dans l'esprit du lecteur. Cela montre aussi la difficulté du travail des policiers lorsqu'ils ne trouvent pas de preuves étayant leur conviction profonde. J'ai été tenue en haleine et j'ai été déstabilisée par cette affaire judiciaire. J'ai adoré être malmenée ainsi.


Le rythme de la 16e séduction est aussi maintenu par l'urgence de trouver qui est le tueur en série. le mode opératoire est d'une rapidité incroyable. Les victimes semblent être choisies au hasard, car aucune caractéristique commune ne les relie.


La suite
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Lindsay et Joe dînent au restaurant. Tout semble être prêt pour une soirée romantique, mais une explosion vient de se produire.
Se rendant sur les lieux elle aperçoit un homme au comportement étrange.
Il lui paraît bien trop tranquille alors qu'une explosion vient d'avoir lieu. L'homme, Mr Grant, un professeur de physique, avoue immédiatement et sans scrupule qu'il en est l'auteur.
Le lendemain, retournement de situation, il revient sur sa déclaration et assure que ce n'est pas lui l'auteur de cet attentat. Lindsay et son équipe vont devoir mener l'enquête afin de rassembler les preuves nécessaires pour savoir qui est derrière tout ça.
D'un autre côté un tueur en série sévit et force est de constater qu'il n'y a aucun lien ni rapport entre les victimes.
L'enquête se corse pour notre femme flic.
Qui sont les auteurs de ces attentats ? Qui est ce tueur en série ?
Lindsay Boxer nous transporte une fois de plus avec elle dans de nouvelles aventures.


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Avant tout chose, je tiens à remercier Netgalley ainsi que les éditions Jean-Claude Lattès pour ce moment de lecture intéressant. Il s'agit du 16eme tome du Womens Murder Club. Un groupe de femmes se réunit pour tenter de résoudre des enquêtes, elles sont toutes liées par une amitié sincère et chacune apporte à l'autre son lot de compétences. Il y a donc une enquêtrice, une journaliste, un médecin légiste et une juriste.

Chaque tome peut se lire de manière indépendante. D'ailleurs je n'ai pas lu tous les tomes, cela n'empêche en rien la compréhension de l'intrigue.

Dans ce tome, le personnage principal est la jeune Lindsay Boxer, l'enquêtrice. Après avoir vécu des moments difficiles avec son mari, elle tente de reconstruire son couple. Les deux époux sont tout simplement attablés dans un restaurant lorsqu'un attentat se produit. En allant sur place, ils tombent sur l'auteur de l'attentat, Grant Connor qui avoue instantanément ce qu'il vient de se passer. Mais il se ravise le lendemain.
Il va donc falloir enquêter pour trouver toutes les preuves.
Le lecteur assiste à l'enquête, mais aussi au procès de cet homme.

Une deuxième enquête est menée en parallèle, celle d'un tueur en série, qui commet des crimes sans qu'aucun rapport n'ait été trouvé entre les différentes victimes.

En clair, la lecture a été agréable, j'ai bien aimé suivre le cheminement des enquêtes mais cela ne sera pas un coup de coeur pour moi. Il m'a manqué quelque chose. On passe peut-être un peu trop vite d'une enquête à une autre et les personnages semblent être survolés ce qui leur donne l'impression de manquer de profondeur.
J'ai néanmoins bien aimé ma lecture!

Encore deux enquêtes rondement menées pour Lindsay et consort, et tout et bien qui fini bien, chut je ne dévoilerai pas la fin.
On retrouve le quatuor au complet dans cet opus, les acolytes de Lindsay sont un peu plus présentes. Deux enquêtes en parallèles, un fou furieux qui prend la tangente de tant à autres de son asile pour aller tuer au hasard en injectant un médicament dans la fesse de ses victimes. Puis un autre fou furieux qui fabrique des bombes et les fais exploser et qui pour couronner l'affaire accuse Lindsay d'acharnement, heureusement son honneur et sauf, et tout ce petit monde retrouve une vie paisible, pour le moment, ça ne dure jamais bien longtemps....................................

Auteur des polar les plus lu au monde, James Patterson revient avec une enquête haletante du Women's murder club. Quatre femmes, quatre amies aux metiers de la justice, vont s'unir pour résoudre deux enquêtes en parallèle. Dans ce 16e opus, ou l'on trouve un serial killer et des attentats à la bombe, l'auteur nous impose un style rapide et sans longueurs. L'histoire, qui surfe sur l'actualité, nous embarque directement dans l'action et les pages vont se tourner à une vitesse folle. Je le conseille aux amatrices de polar.
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Tout d'abord un grand merci à Netgalley et aux Editions Jean-Claude Lattès pour ce partenariat très apprécié.

Lindsay Boxer et son mari Joe passent une soirée au restaurant. Ils sont séparés à la suite de mensonges de Joe qui ont ôté toute confiance à sa femme, mais il l'aime encore et aimerait se réconcilier. Une explosion se produit dans le musée voisin du restaurant. Lindsay et Joe, tous deux policiers se précipitent sur les lieux. Un homme est planté sur le trottoir et prétend que l'explosion est son oeuvre. Lindsay lui demande de répéter son affirmation et l'arrête. Joe entre dans le musée pour aider les victimes lorsque survient une seconde explosion dans laquelle il est grièvement blessé.

Le lendemain, Connor Grant revient sur ses aveux. Il prétend n'être qu'un passant sous le choc qui a dit n'importe quoi dont il ne se souvient plus. Il est prof de physique et tout semble le désigner comme coupable, même si un groupe terroriste a revendiqué l'attentat. La justice décide de poursuivre Grant car il y a de nombreuses preuves indirectes de son implication.

Dans le même temps, Claire, le médecin légiste découvre des morts suspectes : des personnes jeunes et en bonne santé sont victimes de crise cardiaque et présentent une trace d'injection à la fesse. Connor Grant décide de se défendre lui-même et contre toute attente, il arrive à convaincre le jury de son innocence au grand dépit du ministère public. Tout un faisceau de preuves indirectes le désigne comme l'auteur de l'attentat et le procureur n'en revient pas de son talent pour la plaidoirie. Grant semble être bien autre chose qu'un prof de physique de l'école secondaire, mais impossible de percer ses secrets.

Lindsay et ses amies du Women Murder's Club mènent de front ces deux enquêtes. Lindsay s'interroge aussi beaucoup sur l'avenir de son couple et de sa famille.

Comme toujours, James Patterson signe un thriller efficace et agréable à lire qui surfe sur l'actualité du terrorisme islamique, même s'il n'est pas nommé et attribué à des anarchistes dans le roman. Tout n'est pas très vraisemblable et ce n'est pas de la grande littérature policière qui marquera l'histoire du genre. D'ailleurs l'auteur ne se présente pas comme un écrivain mais comme un raconteur d'histoire issu du monde de la publicité. Ce qui nous donne des thrillers rapides et très agréables à lire mais certainement pas inoubliables. Cette série a en plus un côté glamour qui fait partie de son charme.
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