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3,9

sur 155 notes
Un livre sympathique à lire, mais sans plus.
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La mort est déprimée et se laisse aller sur son canapé , elle n'a plus de travail car plus personne ne meurt elle n'a plus le courage de les tuer !! Très original roman, on est souvent touché par la mort de proches, de personnes que l'on aime ou même de personnes que l'on ne connaît pas , il peut arriver que l'on trouve certaines morts injustes , prématurées . Mais, est-ce que ce serait mieux si personnes ne décédaient ?

Un livre qui pose derrière un air léger et drôle la question de notre propre rapport à la mort. On va donc suivre l'apprentissage de la vie humaine de Emm alias la mort. J'ai aimé le coté philosophique de ce roman qui n'oublie pas d'être drôle aussi avec une mention spéciale pour la faux (vous comprendrez en lisant). Est-ce que je choisirais l'immortalité si je le pouvais ? Rien n'est moins sûr, c'est une question que je me suis déjà posée.

Du rythme, de l'humour et une histoire originale, matière à réflexion qui font que l'on est dedans et qu'on passe un moment de lecture très sympathique. Une histoire originale donc, portée par une écriture simple et efficace . j'ai beaucoup aimé. La fin est super originale .

VERDICT

Ce roman vous assurera quelques heures de bonheur, de rire et de réflexions sur la mort. Tentez-le vous ne le regretterez pas
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J'ai pu connaitre le style et l'univers de Marie Pavlenko à travers les aventures de Saskia, mais aussi avec ses divers autres romans, tous tournés dans le milieu de la jeunesse. Une auteure en or qui a toujours aussi son petit mot personnel à chaque fois que j'ai eu l'occasion de la croiser a un détour de salon. Cette fois-ci, elle nous revient avec un roman plus adulte, et qui n'a rien à voir avec la jeunesse ! Que cache cette nouvelle histoire ? Y retrouve-t-on ce qui fait le charme de sa plume ?

Emm n'est pas une humaine comme les autres. À vrai dire, elle n'est pas vraiment humaine puisque depuis le commencement, cette femme est aussi connue sous le nom de « La mort ». Accompagnée de sa fidèle Faux, elle a su mettre en place l'harmonie entre la vie et la mort. Mais trop, c'est trop ! En effet, cette dernière n'a plus envie et nous fait un petit burn-out. Prendre les âmes ne l'amuse plus !
En parallèle, nous avons Suzie, une jeune humaine dans la trentaine qui sent son corps faiblir et la lâcher. Mourant dans un monde où il est devenu impossible de mourir depuis la grève d'Emm.

Je ne pourrais malheureusement pas vraiment vous en dire plus sur l'histoire, vu que le roman est extrêmement court. Autant le dire tout de suite, le ratio Prix/nombre de pages est sans doute son unique défaut. L'histoire tient dans un petit 200 pages, mais vaut totalement le détour. Bien que Marie ne soit pas dans son domaine de prédilection, à savoir la Jeunesse, l'aventure d'Emm et Suzie est simplement maitrisée d'une main de maitre ! On sent que l'auteur sait où elle va et où elle veut surtout emmener le lecteur, si bien qu'il en devient compliquer de ne pas s'attacher aux deux jeunes femmes (mais aussi à Anatole) qui nous sont totalement ouvertes. On pourrait sans mal se projeter dans chacun des trois cas de figure (bien qu'avoir le boulot de la mort est un poil compliqué, je pense !).

Suzie représente la jeune femme qui a subi une déception amoureuse, et malade de surplus. Tout son monde devrait s'effondrer et pourtant elle garde sa gentillesse, sa joie de vivre et son optimisme. Une vraie leçon de courage !
Anatole lui est plutôt le jeune médecin réprimé par sa mère omniprésente à chaque instant de sa vie, et malgré tous ses efforts pour qu'elle lui lâche les basques, il n'y arrive tout simplement pas…
Quant à Emm, notre Mort, elle est simplement tout le temps en plein décalage avec la réalité ce qui crée des situations assez drôles et comiques. Si bien que Marie joue habilement avec les clichés qu'on peut avoir sur le personnage de « La Mort » tout en lui donnant un côté humain et attachant.

En conclusion, une histoire courte, mais coup de coeur. Peu de pages et pourtant on s'attache rapidement aux personnages en particulier à celui d'Emm ! Loin de la jeunesse, l'auteur réussit une fois de plus à me faire chavirer avec l'une de ses histoires… Je ne peux que vous le conseiller ou de vous tourner vers une autre de ses sagas, vous ne le regretterez absolument pas !
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Tout d'abord je tiens à remercier Babelio et les éditions Pygmalion pour cette opération Masse Critique

Alors... Par où commencer ? En recevant ce livre (qui était dans ma wishlist depuis sa sortie mais son prix -16€- m'avait dissuadée étant donné le nombre de pages -192-), je m'attendais à un roman acide et plein d'humour noir...

Quelle déception de ce côté là. Je n'ai réussi à m'attacher à aucun personnage.
- Emm, qui promettait d'être sarcastique comme j'aime était un personnage mou et dépressif.
- La Faux, que je n'ai absolument pas réussi à me représenter... A-t-elle réellement l'aspect d'une faux, si oui, comment a-t-elle pu prendre rendez-vous chez la psy pour Emm ?
- Anatole Paladru, médecin, était détestable et par pitié... stop avec la paire de seins de la vendeuse de chaussures... Au bout de deux fois on a compris.
- Quant à Suzie, j'aurais aimé la connaître un peu plus mais voilà, au bout de 80 pages on a à peine fait connaissance avec les personnages.

Je vais être honnête je ne suis pas arrivée au bout. J'ai lu 80 pages, donc plus d'un tiers du livre, puis voyant que ça n'avançait pas j'ai été directement lire les 10 dernières pages.
Pourtant le concept était excellent. La Mort qui fait un burn-out.
Cependant, la fin est belle je le concède. Et par conséquent la morale aussi.

En bref, une belle déception. J'en attendais peut-être trop et il n'a pas répondu à mes attentes... J'ai "Marjane" de la même auteure dans ma PAL et je pense que j'apprécierai bien plus (j'espère en tous cas).
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J'ai ouvert ce livre pour un challenge et l'opportunité de le lire est que Marie Pavlenko vient de sortir "un si petit oiseau" à la une sur Babelio.
Quelle découverte ,que c'est original.
Même si le fantastique n'est pas mon genre de lecture, j'ai beaucoup apprécié ce petit roman.
C'est qui c'est quoi la mort ? dans notre livre elle s'appelle Emm
Emm ne veut plus travailler,
Que va t il arriver aux humains ?
C'est quoi l'homme en tous cas il est bien bizarre.
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Je tiens tout d'abord à remercier Babelio et les éditions Pygmalion de m'avoir sélectionnée lors d'une masse critique afin de découvrir ce roman.

Lors de cette masse critique peut de romans me tapent dans l'oeil. Dans ma mini sélection je ne peux pas résister à ce titre si accrocheur. A la lecture du résumé je souris, la Mort qui se chope un burn out, j'avoue que ce n'est pas commun.
Je sors de ce petit roman avec un goût de trop peu même si j'ai beaucoup aimé ce qu'à fait l'auteur de cette Mort. Il s'avère que notre Mort est bien plus humaine que ce qu'elle peut croire. Elle fatiguée, épuisée de cette besogne. Tous les jours et plus de 100 000 fois par jour, le même geste se répète avec les mêmes plaintes: "Non je ne veux pas mourir, je n'ai rien fait de ma vie,..." Bla bla. La Mort n'a plus d'envie et ne comprend plus à quoi elle sert. Elle remet en question son existence et refuse catégoriquement de faire un pas de plus malgré les supplications de sa Faux. Oui car dans sa "vie" la Mort à une seule compagne et qui n'a pas une langue de bois c'est sa Faux.

La Mort veut comprendre pourquoi les humains s'attachent tant à leur vie. Elle qui apparaît toujours dans les derniers instants, ne comprend pas toujours ce que les Hommes font ici bas. Pourquoi attachent-ils tant d'importance à une vie qui est parfois bien médiocre? Dans sa quête elle va rencontre Suzie, cancéreuse en phase finale (qui bien sûr ne meurt pas vu que la Mort est en grève) mais aussi le Dr Paladru qui vit un rapport excessivement complexe avec sa mère. Des dialogues concassent se mettent en place, des situations un peu loufoques aussi mais surtout nous pourrons lire la folie, la peur, voir même la psychose qui s'emparent de l'humanité face à des gens qui ne meurent plus. Qu'ils soient malades, criblés de balles, scalpés plus personne ne meurent mais tout le monde souffre. Ces gens qui repoussent la Mort, en arrivent maintenant à la supplier de revenir. La panique s'empare de la population qui une fois de plus s'exprime par la violence, les cris, l'anarchie.

Pour tout ça j'aime vraiment ce roman mais va savoir pourquoi il me manque à certains moments un peu de profondeur. On va dire que j'aurai apprécié un peu plus de philosophie dans ce roman. Que l'on creuse un peu plus loin les pensées de la Mort sur la vie. A certains moments j'ai trouvé l'histoire trop en surface.

Mais qu'importe cette lecture en vaut la peine et j'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur que je ne connaissais pas.
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La mort est une femme comme les autres de Marie Pavlenko. (Genre : Fantastique, Contemporain).

Editions : Pygmalion
Prix : 16€ (Lecture commune)
Année de parution originale : 2015.

Résumé : Imaginez un monde où personne ne s'éteint. Imaginez un service de soins palliatifs où personne ne succombe. Imaginez un univers où la mort en a ras la faux et fait un burn out. Emm n'en peut plus. Un matin, elle s'arrête et s'assoit. Ses bras sont de plomb, elle pèse une tonne, elle ne peut plus se lever. En se laissant aller à son spleen, elle rencontre Suzie, une jeune femme dont la gentillesse va l'émouvoir. Commence alors un périple extraordinaire au cours duquel Emm va découvrir la richesse de la nature humaine.

Mon avis : Si la mort décidait de faire un burn out, comment le monde réagirait-il ? le nouveau livre de Marie Pavlenko est complètement différent de ce qu'elle a pu écrire avant. Avec « le livre de Saskia » et « Marjane » on était dans du fantastique. Avec « La mort est une femme comme les autres », on tombe dans un registre plus adulte. le fantastique est mis de côté et c'est l'humour qui prend le dessus. La couverture réalisée par Pygmalion est très sympathique. le seul bémol de l'objet livre, c'est son prix… Au final j'ai passé un agréable moment de lecture !

Dans le prologue, on suit une famille à l'hôpital qui assiste aux derniers moments d'un être cher. le couac c'est qu'on injecte une forte dose de morphine pour laisser partir la personne… mais son coeur ne s'arrête pas ! Comment est-ce possible ? Dès le chapitre 1, on va faire la rencontre d'Emm et là, on va comprendre pourquoi. Les premiers échangent avec sa Faux vont donner le ton. le lecteur ne peut être que curieux de continuer à lire. Je me suis moi-même demandé comment le monde allait faire si personne ne mourrait…

Le personnage le plus charismatique de ce roman c'est Emm, la mort en personne. J'ai complètement adoré son caractère et sa façon d'agir. Elle est complètement barrée, sans gêne et franche. D'ailleurs sa franchise amènera les autres à se demander si elle ne débarque pas d'une autre planète. Ça se comprend parfaitement vu son manque d'expérience en tout ! Mais Emm est une femme (oui, oui la mort est une vraie femme : avec une poitrine et une tenue sexy), qui va évoluer dans ce roman. Si au départ on la trouve déprimée, au contact de Suzie et Anatole elle va avoir des déclics qui vont la faire grandir. Suzie et Anatole sont donc deux personnages aussi importants dans l'histoire. Tout comme la mère d'Anatole d'ailleurs. Vous allez vous pisser de rire tellement sa chère maman est envahissante ! Je ne vous en dis pas plus, je vous laisse découvrir par vous-même cette histoire avec ce trio hors du commun.

Bon soyons clair, ça se lit beaucoup trop vite ! le bouquin se finit alors qu'on aurait envie de rester encore avec Emm et ses acolytes. Marie Pavlenko a pris le parti d'écrire à la troisième personne. Personnellement ça a fonctionné alors que je préfère les narrations en « je ». Ces points de vue différents apportent une richesse importante au récit. On sait comment les autres se perçoivent, on sait ce qu'ils pensent chacun d'eux. Ce sont trois visions qui ne forment qu'un tout et ça se complète super bien. Les chapitres sont aussi courts et puis l'humour que dégage Emm est vraiment hilarant. On veut toujours plus de blagues, de situations cocasses, de franchise malvenue. On veut surtout plus d'innocence et de naïveté de la mort malgré son boulot qui existe depuis le commencement. Ce maelstrom matche parfaitement !

Maintenant que je vous ai dit ça, vous allez me répondre que c'est un livre pour rire, point final. Mes amis détrompez-vous, c'est mal connaître Marie Pavlenko de dire ça. A travers les yeux d'Emm, on perçoit la société comme le verrait un nouveau-né. L'auteure dénonce une société qui en veut toujours trop. Des citoyens qui ne sont jamais content et qui beugle pour 5€. Des personnes égoïstes, nombrilistes, qui ne pensent qu'au profit et à leur petit bien être. Et tout d'un coup, il suffit de tomber sur la bonne personne. Celle qui nous porte un peu d'attention, celle qui nous offre un kebab à 5€, celle qui rend notre vie un peu plus intéressante et palpitante. En fait, LA personne qui malgré sa santé ou ses conditions de vie va être derrière l'autre pour l'aider et le réconforter. J'ai trouvé ce message très beau, subtil et délicat. A travers les « premières fois » d'Emm, l'auteure nous fait réfléchir. Comment peut-on améliorer notre monde en étant moins tourné sur soi-même ?

Le point fort des romans de Marie Pavlenko c'est son écriture : simple, fluide, efficace. Je n'ai pas cessé de penser en lisant qu'elle avait dû s'éclater à l'écrire. Parce qu'elle s'est lâchée, elle n'a pas lésiné sur les blagues, les mots grossiers ou les métaphores à deux balles. C'est un livre complètement loufoque qui vous fera passer un agréable moment. Et puis cette fin avec cet épilogue. Tellement bien trouvé ! Dans les livres de Marie, il n'y a jamais de coïncidence, tout est lié. Et la fin se termine par une scène qui donne le smile… Que vous dire à part qu'il faut lire ce bouquin. Si vous ne voulez pas l'acheter à cause du prix, faites-vous le offrir ! le seul bémol en fait… c'est que c'est trop court. Je chipote, je chipote !

Ma note : 9/10.

La chronique de Momoko pour cette lecture commune : ICI.
Lien : http://enjoybooksaddict.blog..
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Gros coup de coeur et gros fous rires

Je suis un grand fan de Marie Pavlenko alors je ne pouvais manquer de lire son dernier livre au titre si accrocheur et si prometteur.

Dans le service de soins palliatifs d'un hôpital, une vieille femme est débranchée. Pourtant, elle continue de respirer. Elle ne peut pas mourir. Emm est pendant ce temps affalée dans le sofa de la dernière personne qu'elle a fauché et refuse de bouger ses fesses malgré les suppliques de la Faux. Suzie vient d'apprendre qu'elle a un cancer et qu'il lui reste peu de temps à vivre. Elle croisera le chemin d'Emm. Cette rencontre modifiera le destin des deux femmes.

Dans cette histoire, la mort est présentée comme une femme presque quelconque. Elle a juste l'éternité devant elle, peut se déplacer n'importe où en un battement de cils, elle parle à sa Faux et a un travail un peu particulier bien entendu. Mais comme tout le monde, il arrive un jour où elle en a ras la casquette et "se met en grève". Ses émotions, ses envies, ses pensées sont celles d'une humaine et elle se révèle être une personne fascinante.

Le burn out d'Emm provoque une situation où les mourants ne trépassent plus et où les agonisants s'accumulent dans les hôpitaux, et même sur les parvis de ces institutions. le chaos arrive rapidement.

"— Tu es en train de mettre un bordel noir chez les humains, ma vieille, s'écria la Faux. Tu dois te ressaisir, piger d'où viens ton burn-machin ! Tu es, tu es… cruelle ! tenta-t-elle, à bout d'arguments.
— C'est la meilleure de l'année ! Moi, cruelle ? Ils me supplient tout le temps de les épargner, et maintenant que je m'exécute, ça ne va toujours pas ! Ils ne sont jamais contents, jamais contents !
Emm se frotta les paupières, perdue."

Emm rencontrera Suzie totalement par hasard. La jeune femme lui vient en aide sans la connaître. C'est une première pour Emm. Quand une femme immortelle et dépressive croise la route d'une jeune femme pleine de joie de vivre même si elle est persuadée de ne plus avoir d'avenir, les situations cocasses ne manquent pas. Ajoutez-y un médecin avec une mère particulièrement collante, vous obtenez une histoire des plus sympathiques à lire.

J'ai adoré l'humour présent dans tout le roman. Les dialogues entre Emm et sa Faux sont géniaux, et d'autant plus quand ils ont lieux devant des témoins. le look de la mort et son franc parlé valent également le détour. Elle n'a pas l'habitude de côtoyer les humains et cela rend certaines scènes vraiment comiques.

L'histoire est un peu courte, mais intense et hilarante. C'est un coup de coeur pour moi. J'ai été triste de quitter ses personnages hauts en couleurs. Je me suis un peu trop attaché à eux. Merci à Marie de nous offrir un livre aussi original et aussi délirant.
Lien : http://fievrelitterairededel..
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Original/ drôle/ qui a du mordant


« La Mort, Emm pour les intimes, en a ras la faux de son travail. Alors elle arrête. Et tandis que le monde devient fou, Emm fait la rencontre de la touchante Suzie. »


À dévorer avant de mourir.
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Emm fait un burn-out et décide de ne plus aller travailler. Rien de plus commun dans notre société à la productivité acharnée... Sauf qu'Emm est la Mort. Et que plus personne ne meurt. Et que du coup, c'est le bordel.

Il y a un côté Pratchett dans le concept (j'ai même relevé une référence dans le texte à un fameux monde porté par quatre éléphants sur une tortue géante qui vogue dans l'espace), mais Marie Pavlenko a une patte bien à elle. Son écriture est fluide à lire, jamais ennuyeuse. le rythme est enlevé sans jamais paraître précipité et les piques humoristiques souvent bien trouvées.
C'est un roman très court, qui se lit en une poignée d'heures, mais toujours le sourire aux lèvres.

Emm est un personnage truculent à suivre, un mélange du cynisme de ses millénaires avec l'enthousiasme spontané de sa découverte de la vie. Et son sens de la répartie a du tranchant. Les autres personnages sont plutôt attachants eux aussi, surtout Suzie.

Un petit bouquin léger qui fait passer un bon moment malgré des thèmes souvent graves.
Lien : https://minetsbooks.wixsite...
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