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3,9

sur 155 notes
J'ai lu le roman La Mort est une femme comme les autres, de Marie Pavlenko, que m'ont adressé les éditions Pygmalion et masse Critique Babelio, que je remercie chaleureusement.

Je me faisais une joie de participer à la rencontre avec Marie Pavlenko… Mais des réunions « très importantes » – de celles auxquelles on n'échappe pas – en ont décidé autrement….
En revanche, je n'ai pas manqué une seule seconde de la rencontre des différents personnages du roman. La Mort (également connue dans le roman sous le nom d'Emm), sa Faux préférée, Suzie, jeune institutrice atteinte d'un cancer du pancréas en phase terminale, Anatole, un médecin sous l'emprise de sa folle de mère, Joséphine Paladru vont faire plus ample connaissance au cours d'une journée pas comme les autres – à l'hôpital, lors d'une manifestation gigantesque qui dégénère….et plus rien ne sera comme avant pour chacun d'entre eux.
Le roman de Marie Pavlenko est atypique – difficile de dire s'il s'agit d'une oeuvre fantastique, loufoque, déjantée….
Je dois avouer que dès le début, je suis entrée dans le jeu…. Et pourtant le récit du burn-out de la Mort avait de quoi déconcerter ; mais le texte est plein d'humour, il fait se succéder scènes dramatiques, poétiques, comiques - sans le moindre temps mort..
J'ai trouvé les personnages féminins d'Emm et de Suzie très différents mais particulièrement attachants.

En conclusion, le rythme et l'originalité de cette lecture m'ont beaucoup plu - à sa manière elle nous fait réfléchir sur notre relation à la mort, à la vie et sur la richesse des liens que nous tissons avec tous ceux que nous aimons.


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La mort est une femme comme les autres va nous présenter (sans surprise !) la Mort, aussi appelée Emm. Une Mort qui a bien du mal à faire son boulot. Rien à faire, elle n'en peut plus, elle en a marre, elle fait un burn out. du coup, elle décide de se laisser aller, et de ne plus prendre aucune âme. du coup... Bah, plus personne ne meurt ! Les hôpitaux et les médecins vont être débordés de malades refusant de mourir malgré la gravité de certaines conditions. Mais ils vont en plus être envahis par toutes sortes de personnes bien-portantes, mais complètement affolées par la situation et réclamant de savoir pourquoi on ne peut plus mourir.
Emm va assister à tous ces débordements, à l'hystérie et à la panique collective, mais aussi aux petits travers quotidiens des humains. Et on ne peut pas dire qu'elle aime l'Être Humain... Jusqu'au jour où une jeune femme, Suzie, va lui témoigner de la gentillesse et va l'aider. A partir de ce moment, Emm décide de suivre Suzie pour essayer de l'aider, de la comprendre, et de comprendre les mortels en général. Au-delà d'Emm et Suzie, on va rencontrer également le médecin Anatole Paladru qui me laissait plutôt indifférente au départ, avant de finalement dévoiler sa vraie nature et de me toucher également. Par contre, sa mère ne m'a pas touchée du tout, c'est une véritable sangsue, bien décidée à tout contrôler dans la vie de son fils. L'autre personnage qui est un des piliers de l'histoire, c'est la Faux. Compagne inséparable de la Mort, elle est bien décidée à aider Emm à aller mieux, et à reprendre vite fait son travail, parce que cette situation ne peut pas durer ! Un personnage haut en couleur, qui m'a bien souvent fait rire.
La mort est une femme comme les autres n'a donc rien à voir avec Saskia, Marjane ou Erine, à part le fait que nous rencontrons de nouveau des femmes fortes, sensibles, en proies aux difficultés de la vie et tout ce que cela entraine. Marie Pavlenko a toujours cette plume brillante, accrocheuse, et on a du mal à quitter l'histoire avant qu'elle ne soit finie.
(Suite de mon avis sur mon blog.)
Lien : http://chezlechatducheshire...
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Je remercie les Editions Pygmalion ainsi que Babelio pour la découverte de ce livre et la rencontre très sympathique avec Marie Pavlenko.

La mort est un sujet difficile dont les gens n'aiment pas beaucoup parler ce qui peut bloquer un lecteur à découvrir un roman sur ce thème. Pourtant à mon niveau, c'est la couverture et le titre du livre qui m'ont interpellée. La couverture est vraiment magnifique avec cette tête de mort fleurie et le titre agrémenté d'une superbe typographie m'a tout de suite intriguée. Ah bon, la mort est une femme ? Une femme comme les autres (donc comme moi !) ? Forcément avec un titre comme celui là ma curiosité a été titillée et le résumé a achevé de me convaincre de découvrir ce livre.

J'ai donc fait la connaissance d'Emm, la mort, qui fait un burn out et décide de ne plus travailler malgré sa Faux qui tente de la ramener à la raison. Raconté de cette manière, ce livre peut paraître totalement fou et je vous le confirme bien volontiers, l'histoire est totalement déjantée et c'est ce qui fait tout son charme.

J'ai trouvé ce livre drôle, fluide et bien construit. Donner forme humaine à la mort change l'idée que l'on s'en fait et Emm nous entraine avec plaisir dans sa quête de découverte de la vie et des plaisirs qu'offre celle-ci avec beaucoup d'humanité malgré son caractère décapant et ses attitudes saugrenues.

Emm a un caractère vraiment bien trempé et elle est bien souvent à la limite de l'emmerdeuse absolue. J'ai pensé, en découvrant ce personnage, que c'était la raison pour laquelle la mort été dépeinte en femme et non en homme (bah oui tout le monde sait que les femmes sont des emmerdeuses … :D !). Au cours de la rencontre avec Marie Pavlenko, celle-ci m'a affirmée que les traits de caractère et l'attitude du personnage d'Emm n'ont pas eu d'influence sur son choix de prendre une femme pour représenter la mort. Personnellement, je n'aurais pas pu imaginer un homme tenir ce rôle et se comporter comme le fait Emm. Marie Pavlenko, après avoir écouté mon explication, a reconnu que le personnage aurait peut être été décrit différemment si il avait été un homme mais qu'en écrivant elle n'avait pas perçu la même chose que moi.

J'avoue avoir eu un gros coup de coeur pour la Faux qui essaye, sans prendre de pincettes et avec cynisme, par tous les moyens de bousculer Emm afin qu'elle reprenne le travail et cesse de mettre le bordel et d'être « cruelle » en ne faisant plus mourir personne. J'ai également adoré/détesté la mère d‘Anatole dont le comportement exécrable et complètement démesuré m'a fait tellement rire.

En lisant ce livre on passe un très bon moment notamment grâce aux dialogues bourrés d'humour et à la manière totalement loufoque dont est racontée l'histoire. Sur un sujet pas évident à aborder, Marie Pavlenko arrive à nous entrainer dans une très belle aventure remplie d'humanité, de plaisir de la vie (dont nous n'avons peut être plus assez conscience pour en profiter pleinement), de courage et d'empathie, le tout sur un ton totalement décalé et déjanté !
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Imaginez que la mort soit une femme, c est dans le titre 🥴, et que cette femme soit profondément fatiguée, exténuée par une éternité d'un labeur incessant... jusqu'à ce qu'un jour elle n'en puisse plus. C'est le burn-out. Et de ce fait, c'est le gros bordel sur Terre !
Plus personne ne meurt 😅

Humour noir, philosophie, fraîcheur, originalité, récit décalé, ce roman possède de quoi divertir mais aussi faire réfléchir.

Une très bon moment détente / lecture / rire.

Evidemment à déconseiller aux personnes sensibles au sujet (maladie/mort).
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Les malades ne meurent plus, des toubibs éssayent de zigouiller des vieux et ça ne fonctionne plus. La mort est en grève, elle en a marre, est fatiguée. Pendant sa pose elle va à la rencontre de ses habituelles victimes afin de les analyser, de les observer et s'en suit une histoire drôle et passionnante que j'ai adoré. Je conseille vivement ce livre à tous ceux qui aiment l'humour gris et farfelu.
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Je tiens d'abord à remercier chaleureusement Babelio pour l'envoi de ce livre! le titre me donnait envie de le lire, mais là c'est une véritable découverte et un vrai coup de coeur qui me donne envie de lire les autres oeuvres de Marie Pavlenko.

Ce livre d'un peu plus de 190 pages nous emmène à la découverte d'une femme, Emm, qui en a assez de son travail, de sa vie, de tout. Elle est en total burn out et passe ses journées affalée dans un canapé. En parallèle, nous apprenons à connaître Suzie, une autre jeune femme qui elle, vient d'apprendre qu'elle était souffrante et qu'il ne lui restait que très peu de temps à vivre. Mais, grâce au personnage d'Anatole Paladru, médecin à l'hôpital, on apprend aussi que la mort semble être en congé. Les gens souffrent, mais ne meurent plus. Commence alors une ère de panique générale où les gens croient à un complot des puissants de ce monde et réclament leur droit de mourir.

Sur les conseils de sa Faux, Emm, ou plutôt La Mort, va apprendre à connaître le monde des humains. Elle va les côtoyer, découvrir leur nourriture, leurs habitudes... Et son chemin va finir par croiser celui de Suzie et d'Anatole. Les trois personnages vont vivre quelques aventures ensembles, qui ne les laisseront pas indemnes...

Tout d'abord, j'ai adoré l'originalité de ce livre, de l'histoire. Mais surtout j'ai aimé les personnages. Je me suis beaucoup attachée à Emm, à Suzie et à Anatole bien que dans les premières pages, je ne le sentais pas ce type. D'ailleurs je trouve qu'Anatole évolue énormément au fil des pages, tout comme Emm. Elle apprend à vivre une vie d'humaine et elle découvre les petits plaisirs futiles que l'on ne prend même plus la peine d'apprécier. J'ai aussi adoré le personnage de la Faux. C'est d'ailleurs assez incongru de faire parler une Faux, mais j'ai apprécié son sarcasme et son humour piquant et je trouve que ce personnage a parfaitement sa place dans le livre.

J'ai aussi adoré le style d'écriture de Marie Pavlenko. J'ai aimé son humour, sa façon de tourner les phrases, les métaphores qu'elle utiliser, son ironie... C'est ce genre d'écriture que j'aime tout particulièrement. D'autant plus que le langage utilisé est courant, ce qui nous permet de nous plonger totalement dans le livre, on se croirait spectateur direct de ce qu'il se passe entre les personnages.
J'ai aimé la fluidité de l'écriture aussi, je n'ai trouvé aucunes longueurs particulières, j'ai pris du plaisir à lire du début à la fin. Et ce qui est particulièrement appréciable c'est que l'on passe d'une narration à l'autre, un coup c'est Emm, puis Anatole puis Suzie (et même une fois la mère d'Anatole, qui m'a bien fait rire). Je trouve que l'auteur manie admirablement l'art de passer d'un narrateur à l'autre, je ne me suis jamais sentie perdue.
J'ai beaucoup aimé la fin. C'est celle que j'espérais! Je ne veux pas vous spoiler en vous en dévoilant trop, mais sachez juste qu'à la fin, la boucle est bouclée. On ne reste pas sur un goût d'inachevé.

Bref, c'est un très très bon livre que je vous recommande. Il est facile et rapide à lire et l'auteur vous transportera aisément dans son univers.
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Alors déjà, le titre en lui-même m'intriguait pas mal, puis j'ai vu la couverture alors le livre m'a attiré encore plus, puis quand j'ai vu que l'auteur était Marie Pavlenko, alors là j'ai sauté dessus ! Et je ne suis pas déçue ! Je vous explique ça tout de suite.
Tout d'abord, La Mort est une femme comme les autres, c'est l'histoire d'Emm, qui n'est autre que le Mort elle-même. Oui oui. Mais en fait Emm elle en a marre d'être elle. Elle est fatiguée de courir aux quatre coins du monde pour faucher, faucher et encore faucher jour et nuit, sans s'arrêter un seul instant. Parce que oui, il en meurt beaucoup de ces petits cloportes d'humains comme elle les appelle, et Emm elle, elle en a assez. Alors un jour elle s'arrête. Elle s'allonge et elle ne bouge plus. Elle ne parle plus. Elle ne fauche plus... Mais si la Mort ne fait plus son boulot, que se passe-t-il ? Et bien plus personne ne meurt, et c'est la pagaille totale chez les humains.
Emm va alors découvrir avec sa façon bien à elle et accompagnée de sa meilleure amie la Faux, le monde et la vie insignifiante des humains, en faisant la connaissance de Suzie, atteinte d'un cancer en phase terminale. Elles vont découvrir et re-découvrir ensemble les joies et les plaisir du quotidien, et les moments de la vie qui font qu'elle vaut la peine d'être vécue.
Vous l'aurez compris, ce livre est une ode à la vie, au bonheur des choses simples, à l'ouverture sur le monde et surtout aux autres, tout cela dans un langage cru mais poétique (ce livre est classé au rayon adultes). J'ai beaucoup aimé la façon dont l'auteur a construit ses personnages, qui sont drôles, particuliers, et touchants. On se reconnait à travers eux, même en Emm qui m'a bien fait rigoler.
C'est un livre à lire, rien que pour le moment de détente, de rigolade et de plaisir.
J'ai rarement autant ris grâce à un livre ! J'ai adoré, même si je l'ai lâché quelques fois à cause du travail ou peut être à cause des quelques longueurs, mais je pense que l'auteur l'a très bien dosé. Il ne fallait pas plus de pages, on aurait trouvé ça répétitif. C'est juste comme il faut, bien fait.

En conclusion, laissez vous tenter par ce petit bouquin qui provoquera en vous des rires, des étonnements et des "ooooh..". Vous ne serez pas déçus !
Lien : http://bazarlivresque.blogsp..
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Connaissant Marie Pavlenko dans un genre jeunesse avec « le livre de Saskia » et « la fille sortilège », j'avais envie de la découvrir dans un registre plus contemporain, et je fus bien servie par ce récit ! Entre sarcame et réflexion sur la mort, Marie Pavlenko nous offre un roman plein d'humour et de justesse !

Dans LMEUFCLA, Marie Pavlenko nous présente un personnage charismatique, qui pousse chacun d'entre nous dans de nombreuses réflexions : la mort, prénommée ici Emm. Mais voilà, Emm en a marre, elle fait une dépression, un burn-out. Elle se rebelle et décide de ne plus faucher d'humains. C'est alors que les ennuis commencent.
Le récit attaque directement dans un centre gériatrique, où une famille accompagne la grand-mère dans la phase finale de la vie. Sauf que la petite mamie refuse de mourir. du moins c'est ce que pensent son médecin, et certains membres de la famille. Car madame résiste à tout, même à l'extinction de sa respiration artificielle… En voilà une chose rare. Mais lorsque ce phénomène se propage à tout le service, et que le Directeur se retrouve à refuser des admissions en soins palliatifs, autant vous dire que le monde se pose vite des questions.
Non seulement ce phénomène touche les personnes âgées, mais également les accidentés qui auraient dû y rester, ou les malades en phase terminale.
Et lorsque Suzie, qui vient d'apprendre qu'elle est en phase bien avancée d'un cancer, découvre que les gens ne meurent plus, elle y voit là une étincelle qui la raccroche à la vie… sa vie qui basculera lorsqu'elle rencontrera en chair et en os Emm..

Ce récit est une pépite d'humour ! J'ai rigolé du début à la fin, en dépit du thème grave et qui d'un point de vue personnel me fait terriblement peur, mais Marie Pavlenko parvient à emmener le lecteur sur des pistes de réflexions qui permettent d'accepter à un certain niveau ce final de toute vie…
Emm est vraiment très terre à terre, ce qui porte de nombreuses discussions à confusions, étant donné qu'elle prend tout au premier degré ! de plus, il faut dire que sa faux ne manque pas de mordant et que leurs échanges sont à « mourir » de rire, si je peux abuser de cette expression ici.
Imaginez une seconde, Emm qui se balade parmi les humains souffrant, qui se rend en consultation psychiatrique, qui cherche à réaliser des petits gestes humains qu'elle n'avait jamais accompli auparavant, et qui pour la première fois va entrer en interaction réelle avec Suzie, qui lui fera découvrir ce qu'est l'amitié et la gentillesse…
Suzie est un personnage auquel on s'attache rapidement, et son histoire est touchante ! Les personnages sont peu nombreux mais suffisamment caricaturaux pour transmettre les messages de l'auteure, telle la mère d'Anatole pour ne citer qu'elle…

Au-delà de l'humour, Marie Pavlenko m'a permis de voir sous un angle plus grand ce que serait la vie si nous étions tous immortels, ou dans l'incapacité de mourir, et cela serait finalement très obscur. Surpeuplement pour commencer, mais également vivre dans la souffrance perpétuelle, ou encore dans la paranoia.. On observe d'ailleurs dans le livre la dérive du cerveau humain qui ne sait pas comment affronter ce phénomène.

Ce roman est une bouffée d'air frais et je ne m'attendais pas à découvrir ce côté très sarcastique chez Marie Pavlenko.
Je découvre à travers ce roman une auteure très surprenante, qu'il faut absolument découvrir !
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Emm est une vraie "attachiante" ! Une fois ouvert, vous ne lâcherez plus ce roman déjanté, un brin loufoque, bien barré et assurément, vous rirez. L'écriture est fluide, le rythme bien balancé et l'histoire nous happe en douceur, avec plaisir. Pour celles et ceux que le sujet rebute, sautez le pas par la lecture de ce roman et faites connaissance avec Emm : elle vous attendrira et sûrement, vous amusera !

Un grand merci à Babelio ainsi qu'aux éditions Pygmalion pour cet envoi, je suis dans l'impatience de cette rencontre avec l'auteure ce 17/12/2015 afin d'éclaircir le mystère de cette idée folle car la Mort m'a fait bien rire...

"Un lecteur qui rit est un lecteur qui s’évade et c’est exactement ce à quoi nous aspirons chez Pygmalion." : pari gagné concernant cette lecture :)
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J'ai reçu ce livre ce jour dans le cadre d'une masse critique privilège, voyant sa taille (200 pages) je me suis dis et pourquoi pas le lire aujourd'hui cela devrait être rapide si le livre est bon.

Le pari est donc réussi car je l'ai lu en une après-midi, je me suis prise au jeu des aventures d'Emm qui fait un burn-out et décide de ne plus faire son travail (tuer les gens car Emm est la grande faucheuse). On suit son destin croisé à celui d'Anatole et de Suzie. Suzie étant le premier humain à qui Emm s'attache car celle-ci lui a payé un kebab.Un livre léger malgré le thème abordé, un humour à toute épreuve, mélange de zombies (les gens ne meurent plus donc il survive à de graves accidents),et de chick litt pour le côté plus léger.

Une découverte pour moi qui ne connaissait pas du tout cet auteur donc un grand merci à Babelio et aux éditions Pygmalion un joli 4/5.
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