Contagion

Le récit est raconté par un jeune homme, qui transcrit sur son journal, l'arrivée en 1895, d'une étrange épidémie sévissant dans un petit village d'Angleterre.
C'est très bien écrit et touchant de sensibilité.
Même si l'histoire contée n'est pas passionnante de dynamisme et d'inventivité, la curiosité nous pousse à en connaître le dénouement. Épidémie de peste? de rage? C'est avec effroi que nous découvrirons comment la maladie s'est propagée.

Bonjour,

Voici une nouvelle : "Contagion" de Florent Perret parue en autoédition

1895. Dans un village, tout les habitants tombent malades les uns après les autres et meurent dans des circonstances plutôt suspectes. Qui a osé empoisonner l'eau du puit du village ? A travers le journal d'un garçon, nous suivons l'évolution tragique des habitants et de sa famille.

Bien sympa cette lecture, j'ai été aspirée dans la spirale de l'histoire qui nous entraîne dans ce chaos et ce tourment d'horreur. Très sombre, très prenant, on enchaine les pages à vouloir connaitre le sort réservé à la famille de celui qui écrit.

Chacun lutte à sa manière contre la folie qui semble transporter les hommes et les femmes vers un eldorado de désespoir encore plus fou ! La contagion est fulgurante. C'est saisissant de réalisme, j'aime cette touche de fantastique qui émaille du récit.

Lisez cette petite nouvelle et tentez de survivre à ce fléau qui frappe chacun d'entre nous. A quand votre tour ?

Bonne lecture, amis Lecteurs !
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✨Ceci est une histoire courte, très courte même. Elle fait environ 20 pages. J'aime beaucoup la couverture.

✨Le récit est raconté par un jeune garçon écrivant dans un journal. C'est une nouvelle dramatique, nous suivons ce qui se passe dans son village ainsi que dans sa famille. Des décès qui ne s'arrêtent pas.

✨L'histoire est sympathique, mais j'aurais aimé en savoir plus sur la cause de la contamination et du pourquoi.

✨Cela se laisse lire entre deux romans, de quoi faire une petite pause.

Prenante, cette tranche de vie apporte une angoisse et un sentiment d'abattement. Peste, choléra, variole, grippe ? Quelque soit la maladie évoquée ici, on ressent toute l'impuissance de l'époque alors que l'hygiène et les soins n'étaient pas aussi développés. Dans une atmosphère lugubre, la panique s'empare des témoins d'horreurs, la folie gagne les mères et pères qui perdent leurs enfants, l'impression d'abandon est ressenti par beaucoup. J'ai lu d'une traite la nouvelle : c'est entrainant malgré la thématique. J'avais envie de savoir comment cela allait se finir. J'aurais aimé un petit épilogue avec un oeil extérieur pour avoir des précisions. Malgré quelques petites coquilles, la plume de Florent Perret est agréable à lire.
(avis complet sur le blog)
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