Depuis les émeutes de 2005, l’idée d’un possible risque de guerre civile plane dans les esprits. Bien que combattue et rejetée de toute part, cette pensée ne cesse de hanter les consciences des plus avertis comme celles des populations qui constatent chaque jour les effets d’un séparatisme en marche dont les attentats ne sont que la partie émergée d’un phénomène plus profond.
Le pire n’est jamais sûr et il est toujours temps de réagir et de consolider...
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