AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,2

sur 733 notes
Prix du Polar 2023 de notre médiathèque et de la librairie associée, L'illusion du mal a été un tel coup de coeur pour moi que j'ai enchaîné avec le tome précédent, L'île des âmes, que j'ai adoré aussi.

On y retrouve le duo d'enquêtrice qui s'est formé dans L'île des âges, avec leurs blessures et leur grande gueule. Après l'immersion dans la culture de la Sardaigne du premier tome, les voici confrontées à la modernité dans L'illusion du mal puisqu'on mystérieux assassin enlève et exécute des gens en direct sur les réseaux sociaux. Or, les personnes enlevées ne sont pas très sympathiques, ce qui brouille les cartes quand celui qu'il faut sauver est un pédophile...

Une enquête sur les chapeaux de roue, très actuelle mais qui pose sans arrêt la question du bien et du mal sans jamais tomber dans la caricature.
Lien : http://abrrracadabra.canalbl..
Commenter  J’apprécie          100
Mais quel bonheur de retrouver Eva Croce et Mara Rais !
Après leur enquête en Sardaigne qui avait révélé les croyances sardes, on retrouve ces 2 inspectrices confrontées à un justicier qui s'en prend aux criminels qui se sont sortis des déboires judiciaires.
Et de là nait la médiatisation de la punition, la voix du peuple, le vote et la sanction.

Elles sont rejointes dans leur enquête par le professeur Vito Strega, une pointure désabusée.

Ce trio d inspecteur de la questure vont mener l'enquête et jouer avec le feu.

Dans ce tome, on découvre un peu plus les 2 inspectrices au caractère bien trempé. On rencontre de nouveaux protagonistes.

J'ai tout aimé dans ce roman, le caractère des personnages, l enquête et la question de fond sur la justice, le droit et la médiatisation.
Et j'aime l'ouverture de fin qui ne peut que conduire à un prochain roman, une prochaine enquête. J'ai hâte.
Commenter  J’apprécie          100
Page-turner. C'est le mot anglais pour ces livres qu'une fois commencés, vous ne pouvez plus quitter, dans lesquels chaque page vous donne envie de lire la suivante immédiatement. L'illusion du mal est comme ca. Il m'a entraînée immédiatement dans l'histoire, sans me laisser le temps de souffler.
Le prologue - qui se déroule dans l'enceinte d'un tribunal où un pédophile est acquitté parce que le crime est prescrit - introduit les deux thèmes principaux : la mauvaise justice et l'information.
Pour entrer dans l'intrigue, l'enquête à laquelle le singulier trio de policiers, Strega, Mara et Eva devra faire face concerne un vicieux tueur en série qui ne tarde pas à ébranler non seulement les milieux d'investigation, habitués par leur métier à certaines scènes ou situations, mais aussi l'opinion publique tout entière. En fait, le tueur kidnappe et torture ses victimes en leur extrayant les dents et par la suite, les offrant en ''cadeau'' à différentes personnes. C'est pourquoi on l'appelle le Dentiste.
Il y a un autre aspect qui retrace son modus operandi et le distingue : il crée une vidéo où il explique ce qu'il fait, donnant ainsi au public la possibilité d'assister à cette forme de procès sommaire d'un simple clic, et de décider du sort " de l'accusé ". le tueur s'avère être motivé et habile. Pourtant, les compétences de Strega, qui réussit à faire une excellente esquisse de la personnalité du meurtrier, combinées a celles de ses deux collaboratrices, permettront de comprendre qu'il y a derrière cela un projet plus vaste, visant à punir non pas un seul individu mais une société malade et égocentrique.
Un retour au " oeil pour oeil, dent pour dent " maquillée en rédemption et en compensation pour les victimes d'erreurs judiciaires, qui n'est rien d'autre qu'une vengeance collective, une rage sociale qui aboutit à une justice sommaire où chacun se sent bienfaiteur et où personne n'est coupable. La connaissance de la psychologie de la foule et l'utilisation du système médiatique par le criminel pour s'élever au rôle de héros deviennent le point de départ d'une analyse perspicace, où la douleur et la violence sont exploitées sans la moindre pudeur, avec cynisme et insouciance. Autour de lui, des personnages sans scrupules, prêts à tout pour faire de l'audimat, à la recherche de visibilité, sans aucune répercussion ni respect pour la souffrance des autres.
Avec un style propre et sec, Piergiorgio nous offre un roman de pure évasion, qui suscite des nombreuses émotions chez le lecteur. Je le recommande chaleureusement à tous les amateurs du genre noir et au-delà !
Commenter  J’apprécie          101
Si le premier opus était déjà plus que pas mal, le deuxième est à mes yeux encore meilleur dans la tenue en haleine du lecteur et cette histoire complètement folle mais plausible de justicier blasé par le système judiciaire national qui cherche alors l'approbation populaire.
Un étrange sms arrive sur des milliers de téléphones portables avec un lien pour une vidéo montrant un homme sur une chaise de dentiste, sans dents, toutes arrachés par celui qu'on appellera le Dentiste par la suite et où ce fameux et mystérieux justicier expose les faits dont cet homme s'est porté coupable et pourquoi il a été acquitté malgré tout. Suite à son message, il laisse trois heures au public pour "juger" si cet homme a encore le droit de vivre ou pas... C'est horrible et fascinant en même temps car tous les arguments portent forcément mais il y a une loi, un système judiciaire, certes imparfait, mais qui ne doit pas être substituer à la vindicte populaire.
Bref, le Dentiste le sait et joue parfaitement sur les émotions de son public, et du coup, sur les nôtres
Nous retrouvons alors avec plaisir Eva Croce et Mara Rais qui vont se lancer sur les traces de ce justicier, accompagnées cette fois par Vito Strega, lui aussi plus ou moins mal vu de sa hiérarchie mais excellent profileur.
Ce thriller est sincèrement haletant et en même temps questionnant car après tout, qu'aurions-nous fait nous, si nous avions reçu ce lien pour voter?
Qui plus est, Pulixi creuse encore un peu plus la personnalité de chacune de ses héroïnes ainsi que Strega et cela donne encore plus de volume à ce roman.
Si on ajoute les échanges fleuris entre les protagonistes et des personnages secondaires tout aussi hauts en couleurs, on approche du roman parfait!!
Commenter  J’apprécie          100


Piergiorgio Pulixi
1 L'Ile des Ames
2 L'illusion du Mal

Parfois, cela fait du bien, ou même que c'est nécessaire. Se laver et se rincer la tête, revenir au point mort avant d'entamer un autre livre et en profiter en toute objectivité.
Merci donc Maurizio de Giovanni, je te recommande pour cet état zéro.

Venons à notre Piergiorgio Pulixi et sa paire de femmes fatales ...

Que c'est bavard.
Tu as même un parfait lexique des grossieretés en sarde, en sicilien, et aussi en vénitien. T'auras pas l'accent. L'audio n'est pas prévu dans cette méthode Assimil.

Il y a plein d'autres leçons ex libris cathedra. A n'en plus finir.
On sent le mec qui a beaucoup potassé et pris tout plein de notes. Et qu'il te les a recopiées parce qu'il les a trouvées bien. Oui ben ! Moi c'est un polar que je veux lire. Sinon je vais sur Wiki.

Le début.
Démarrage sur les chappppeaux de roue. Puis grand coup de frrrrrein. Pendant une centaine de pages. Prenez votre mal et faites une patience.

Les deux nanas. Joliment incarnées.
Mara, c'est ma préférée, question tempérament, tumultueuse, un peu volcan. Ils ne sont pas loin.
Eva, l'autre, plus une tueuse. Cependant, à y réfléchir. Eva, je ne dirais pas non.

Les intrigues de chaque livre. C'est un peu du compliqué emberlificoté.
L'une dans le participe passé présent, l'autre dans le futur simple au présent. Par exemple, le dernier, c'est une anticipation de ce qui pourrait tout à fait nous arriver. le monde devient si dingue. Et à une vitesse grand V. Brrr!

La fin, plutôt les fins. Elles ne justifient pas les moyens. On connait vite les méchants mécréants. Et l'on sait qu'ils vont être cuits, forcément.
Quoique. Pour le premier, ce n'est pas si évident. Mais pour le deuxième aussi. Eheh !

Finalement, ces deux livres, c'est presque un deuxième rinçage. Vous allez me dire, je le devine, je le devine,
- Gare ! Choisis bien tes prochains polars.
- Sinon c'est fin de cycle : Essorage.







Commenter  J’apprécie          105
Deuxième volet de la série « Mara Rais et Eva Croce », ce roman policier (très noir !) traite des effets délétères que peuvent avoir les réactions de masse, arme dangereuse entre les mains de psychopathes « charismatiques ».

Un pédophile remis en liberté (pour vice de forme et prescription …) Un « justicier » qui a totalement disjoncté, prêt à tout pour que ce dernier meure. Et tant qu'à faire : avec la bénédiction des internautes (dont il va faire ses complices …) Au studio de télévision d'Italset, une pseudo journaliste (Luana Rubicondi) qui y voit un formidable (et pourtant ô combien ignoble !) « coup de poker » pour faire exploser l'audimat et rebondir sa médiocre carrière ! … Voici les premiers ingrédients (percutants !) et rapidement addictifs pour le lecteur.

Nous retrouvons Mara Rais (la sarde) et Eva Croce (l'irlandaise) – voir le premier opus : « L'ile des âmes » (que j'ai adoré) – Elles vont enquêter, cette fois en compagnie de Vito Strega, un « vice-questeur » de Milan – voir « le chant des innocents », le premier opus de la série Vito Strega (que je n'ai pas encore lu …) Piergiorgio Pulixi a donc décidé de faire « fusionner » les protagonistes de ses deux sagas policières ! Une enquête qui va rouvrir une plaie (toujours béante) chez Eva Croce …

Cette intrigue, menée « tambour battant », est d'une grande cruauté. Et – malheureusement -le sujet est pourtant d'actualité … Comment des citoyens lambda peuvent-ils en arriver à s'octroyer le droit de décider eux-mêmes du sort (fatal) d'un délinquant ?… Et d'encourager un déséquilibré à continuer son action machiavélique – sous couvert d'anonymat – grâce aux réseaux sociaux, responsables aujourd'hui de bien des dérives. Sans compter certains médias, dépourvus de scrupules, prêts à tout pour se faire une place au soleil – ou un nom – dans cette jungle sans pitié … À noter également une critique ouverte de la justice et de la magistrature – un peu trop laxistes – qui prétextent (à tort ou à raison …) un « surcroit de travail » et un manque de personnel pour se défausser … Bref, un roman qui fait froid dans le dos !

Du bon Piergiorgio Pulixi dont je me suis procurée – du coup – « le chant des innocents » en souhaitant y prendre autant de plaisir !
Commenter  J’apprécie          90
'illusion du mal est un roman assez trash, avec scènes de torture et sang à profusion. Si je déplore quelques longueurs, c'est une lecture que j'ai appréciée. Les scènes d'action se succèdent ainsi que les retournements de situation qui prolongent le récit.

Je trouve que l'auteur arrive à rendre toute la complexité de la personnalité humaine, ni tout à fait noire ni tout à fait blanche. C'est par exemple le cas du Dentiste, effrayant de barbarie, mais qui peut être touchant quand on apprend à connaître son histoire personnelle. J'ai adoré le duo d'enquêtrices qui se chamaillent sans cesse, opposées dans leur physique et leurs caractères mais pourtant complémentaires dans leur travail.

Je ne serais pas contre le fait de retrouver ces deux-là dans d'autres aventures.
Lien : https://carnetdelecture1.wor..
Commenter  J’apprécie          90
Qui aime aller chez son dentiste ? En y réfléchissant bien je pense pouvoir dire personne, sauf rares exceptions masochistes ! Alors quand en plus c'est un dentiste inconnu et que c'est de force......

Avec M. Pulixi on rentre cash dans le vif du sujet : tribunal, un pédophile est relaxé, un vengeur qui assiste à cette mascarade va passer à l'acte...... Personne sensible passez votre chemin !

600 pages haletantes, où l'on se s'ennuie jamais. Je ne lis pas souvent de thriller ou polars, c'était donc une belle occasion de découvrir celui-ci grâce à la masse critique de Babelio. Merci Babelio et merci à l'auteur et les éditions Gallmeister.

J'ai vraiment tout aimé : l'histoire, l'écriture, les personnages. J'ai également aimé l'imprévisible, le prévisible que j'imaginais mais que je voulais pas et qui n'est jamais arrivé, ouf (je ne sais pas si cette phrase est compréhensible mais ce n'est pas grave !) . Pour tout ça merci et bravo Piergiorgio Pulixi. Vous n'êtes pas tombés dans la facilité et j'apprécie.

C'est pourquoi je suis contente de vous avoir découvert avec ce livre, j'ai maintenant hâte de lire le 1er tome et continuer à vous suivre.

Bilan que du positif ! Je compte bien conseiller "L'illusion du mal" autour de moi !
Commenter  J’apprécie          90
Excellentissime polar. Piergiorgio Pulixi a tout juste pour nous embarquer, dès le début du livre, dans une spirale épidermique. Les auteurs français n'ont qu'à bien se tenir :-)
Cette situation dans laquelle il nous plonge, pourrait s'être tout aussi bien passée en France que dans cette merveilleuse Italie. D'entrée, les personnages, qu'il s'agisse du prédateur, du justicier comme des enquêteurs, sont plongés dans le mal, l'injustice, la frustration et surtout la viscélarité. Pulixi réussi à créer cette sensation de danger, "danger à brouiller les frontières entre le bien et le mal, le réel et le virtuel, la réalité et la fiction".
Comme dans nos émissions si médiatisées révélant des faits divers insupportables et non résolus par la justice immédiate que nous aimerions tous, Pulixi donne plein pouvoir au Peuple avec un grand P pour juger et décider de lyncher les prédateurs impunis. le justicier veut créer ce qui fait tellement peur actuellement a bon nombre de gouvernements, qu'on ne puisse plus "tenir la meute", stopper les gens.
Raconter le scénario ou quelques uns des moments forts? ce serait dommage.
Il faut le lire car tout y est peinture ; les émotions et les caractères des personnages, mais aussi les environnements dans lesquels ils évoluent, à savoir Milan et Cagliari en Sardaigne.
Commenter  J’apprécie          90
Après L'île des âmes, un nouveau volume de la série des enquêtes sardes " que nous devons à la plume de Pulixi.
Mais malgré les points communs (la Sardaigne, bien sûr, et le duo d'enquêtrices mal assorties et cependant tellement proches l'une de l'autre, ce topos de la littérature policière), les différences l'emportent sans doute sur les ressemblances. Si Eva et Maria restent égales à elles même (et toujours affligées du secret douloureux qui (les) fait languir" comme tout enquêteur qui se respecte (il en est de même pour leur nouveau partenaire, le vice -questeur Strega d'aujourd'hui, tout bon policier de fiction se doit d'avoir un passé douloureux (rupture amoureuse, parents dysfonctionnels, deuil tragique (un enfant de préférence, mais un conjoint fera l'affaire , tout cela pouvant se combiner), qui, outre la profondeur psychologique que cela lui confère, est bien utile pour l'auteur dans les moments de baisse de la tension dramatique - où est le bon temps du commissaire Maigret, qui n'avait pas de pire préoccupation existentielle que de rentrer à temps pour le dîner afin de ne pas faire attendre la blanquette que son épouse lui avait amoureusement préparée ? Mais ça c'était avant...) -ouf, je ne me suis pas trompé dans la concordance de mes parenthèse -, la Sardaigne, elle,, n'est "ni tout à fait la même ni tout à fait une autre" ( encore une citation, j'ai dû abuser de Baudelaire ces temps ci)
Donc la Sardaigne. Si elle n'a rien perdu de son charme, il est moins sensible que dans L'île des âmes, où il été merveilleusement peint dans une prose inspirée digne des Georgiques,on il est moins sensible ici. L'action nous transporte de la Barbagia, cette quintessence de de la Sardaigne encore plongée dans la magie des origines, à Cagliari, la capitale de l'île, qui, malgré ses beautés et sa lumière, est plus proche de l'Italie ordinaire, et aussi à Milan que l'auteur nous présente comme une collection de tableaux de Hooper (je n'ai pas le plaisir n'avoir visité cette ville, mais la comparaison ne m'en laisse pas moins perplexe)
Quant au sujet -oui, j'y arrive !), il est profondément différent, et en bien, dirais-je, de celui de L'île des âmes, qui mettait en scène une série de meurtres liée à la survivance bien improbable de de croyances néolithiques, à laquelle j'ai été incapable de croire une seconde (il ne faut quand-même pas trop demander au pacte de crédulité ).
Ici l'intrigue s'articule autour d'un "justicier" désireux de remédier aux insuffisances et défaillances du système judiciaires italien, et peut-être d'en provoquer la réforme grâce à une série de meurtres à grand spectacle perpétrés sur la personne de criminels épouvantables , dont la culpabilité ne peut être mise en doute, et qui ont échappé à la justice grâce aux imperfections du système. Ces meurtres sont organisées grâce aux failles de sécurité du système informatique et à la complaisance des chaînes et émissions de télévision basées sur le sadisme et le scandale ( j'ai failli écrire que sur ce point nous n'étions sans doute pas parvenus à égaler les résultats de nos cousins transalpins, mais finalement..et après t, je ne regarde pas beaucoup la télévision)
Je reprocherais bien à l'auteur de faire preuve d'un sadisme inutile dans certaines descriptions, mais peut-être être nécessaire pour peindre les procédés de la télé poubelle, et peut-être aussi hélas de retenir l'intérêt des hypocrites lecteurs que nous sommes.
Pour éviter toute "spoiliation", il est préférable de ne pas s'étendre plus avant sur les détails et rebondissements de l'intrigue.

Mais il convient maintenant de se poser une question essentielle. Que pensons-nous réellement ( je m'inclus naturellement dans le "nous") des assassinats perpétrés par les coupables ? En notre fors intérieur, comment aurions -nous voté ? L'auteur essaie de nous faire conclure dans un sens sans doute souhaitable en amenant ses justiciers à s'en prendre à un personnage positif et innocent, pour une question de principe.Alors, bien sûr, nous nous les reprouvons sans hésitation Mais cela est un peu artificiel.

Je ne réponds pas à la question. A vous de le faire, comme dit le personnage appelé "le dentiste".

PS. Très accessoirement
L'emploi répétitif du patois sarde est lassant pour le lecteur francophone. A la décharge de l'auteur, l'usage des dialectes est beaucoup plus répandu que chez nous
Il faut plutôt incriminer un mauvais travail de traduction. Si l'on pense à ce que Quadruppani a fait pour Camilleri, il était certainement possible de faire mieux.
Commenter  J’apprécie          90




Lecteurs (1878) Voir plus



Quiz Voir plus

Grandes oeuvres littéraires italiennes

Ce roman de Dino Buzzati traite de façon suggestive et poignante de la fuite vaine du temps, de l'attente et de l'échec, sur fond d'un vieux fort militaire isolé à la frontière du « Royaume » et de « l'État du Nord ».

Si c'est un homme
Le mépris
Le désert des Tartares
Six personnages en quête d'auteur
La peau
Le prince
Gomorra
La divine comédie
Décaméron
Le Nom de la rose

10 questions
851 lecteurs ont répondu
Thèmes : italie , littérature italienneCréer un quiz sur ce livre

{* *}