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sur 202 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un homme est abandonné. Il se vengera, même s'il doit souffrir pour ça.
Voici le préalable que pose Michael Punke à son roman le Revenant et dans cette redondance du titre et de l'action, il y a sans doute la grosse critique que l'on peut adresser à ce livre : oui, tout y est cousu de fils blancs.
Paradoxalement, cette nuance inaugurale n'entache pas le reste de la lecture qui se révèle d'une fluidité à toute épreuve. Les premières comparaisons ont fait jaillir les spectres de Jack London ou Curwood et s'il est des pas à suivre en matière de littérature d'aventure, ce ne sont pas les moins recommandables. Il y aurait également à voir du côté de Jeffrey Lent mais si les premières scènes assez violentes laissent penser à un rapprochement, la suite du roman, plus orientée" jeunesse" nous éloigne de l'univers de l'auteur de la Rivière des indiens.
Le Revenant est très bon premier roman. Michael Punke y a instillé tous ses doutes de primo-écrivain mais sans en alourdir la narration dont on sent qu'elle a été l'un des axes de travail les plus respectés par l'auteur : tout pour rendre le récit fluide et agréable à lire. C'est chose faite tant le Revenant se lit rapidement et avec plaisir. On regretterait le manque de profondeur dans la psychologie de certains personnages ou certaines aberrations quant à la possibilité offerte à un homme de ramper sur autant de kilomètres et de disputer son repas à un loup. de même, il y a fort à douter qu'un homme seul, emporté par le courant, puisse remonter vers le nord et rejoindre le camp Mandan.
Au final, le Revenant est un agréable roman qui comblera le lecteur venu chercher le léger frisson de l'Ouest sauvage, celui qui se gargarise aux écrits de James Carlos Blake et McCarthy passera son chemin.
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Ce roman nous fait voyager dans les grands espaces sauvages américains. Hugh Glass, un trappeur est attaqué par un grizzli. Gravement blessé et mutilé, il est abandonné par ses compagnons. Commence alors pour lui une lutte pour sa survie : c'est en rampant, en mangeant des charognes et en luttant contre les bêtes sauvages qu'il va essayer de vivre. Son moteur : retrouver les deux hommes qui l'ont abandonné et se venger.
On retrouve dans ce roman, l'ambiance des livres de Curwood ou de London, mais je dois avouer que le livre de Michael Punke n'a pas le même souffle. Au bout d'un moment, l'intérêt diminue. La deuxième partie du livre est franchement moins passionnante. Toutefois, l'histoire de cet homme est impressionnante, surtout lorsque l'on sait qu'elle s'inspire de faits réels. Certains épisodes sont marquants dans ce livre, l'attaque du grizzli, l'épisode avec le serpent ou encore le passage avec les loups. La rencontre avec la vieille indienne est aussi très touchante. C'est donc un avis mitigé pour ce livre qui malheureusement ne m'a pas tenue en haleine jusqu'au bout.
Lien : http://larbreauxlivres.com/2..
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Le revenant se veut dans la veine des grands romans épiques de la nature américaine, mais tout le monde n'est pas London, et tout le monde ne peut pas saisir les grands espaces non plus comme un Jim Harrison.
Que reste-t-il alors ? Un personnage, mais peu développé, sans psychologie, sans presque d'épaisseur...
Une intrigue : une survie et une vengeance, mais sans personnage qui tienne, le reste est décrit sans qu'on goûte aux péripéties avec envie.
Une époque : mais dès le début l'auteur nous indique qu'on sait ce qui s'est passé à cette époque justement, et donc nous lâche sur les routes de la fourrure, comme des historiens qui auraient déjà le background culturel nécessaire.
Au final ? Un livre qu'on s'étonne d'avoir envie de suivre et lire, et qui se lit bien, assez vite, mais sans embarras.
Qu'en restera-t-il ? Déjà plus grand chose au bout d'une semaine...
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En 1823, dans les grandes plaines des Etats-Unis. Hugh Glass, qui fait partie d'une équipe de trappeurs, est attaqué par un grizzly, et grièvement blessé. Il est abandonné mourant, dépouillé de ses armes, au milieu d'un territoire particulièrement hostile, par les deux hommes chargés de rester avec lui jusqu'à sa mort, puis de l'enterrer. Il arrive cependant à s'en sortir, et va alors chercher à se venger de ces deux hommes…
Ce roman, qui s'inspire de faits réels, me laisse un sentiment mitigé : il n'est pas déplaisant à lire, mais n'est pas non plus transcendant. Il donne une bonne idée de la rude vie des trappeurs dans ce milieu si dangereux, en raison du climat (le blizzard redoutable), des bêtes, mais aussi des indiens, lesquels ne nourrissent pas toujours les meilleurs sentiments vis-à-vis des hommes blancs (c'est en particulier le cas des arikaras).
Mais ce roman est aussi et avant tout le récit d'une vengeance. Et c'est peut-être à ce niveau que l'histoire pêche à mon sens : j'ai eu un peu de mal à adhérer à cette quête obsessionnelle de vengeance de la part du héros. Celle-ci assimilée, j'ai alors été déçu par la fin de l'histoire, qui ne semble vraiment pas à la hauteur de la volonté inflexible démontrée par Hugh Glass de se venger…
Merci en tout cas à Babelio et aux presses de la cité de m'avoir permis de découvrir ce roman.
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Très bon début prenant : un trappeur se fait agresser par un grizzli. Cette scène magnifique est, à mon avis, assez unique. Ses compagnons le laissant pour mort, la vengeance deviendra sa quête. L'histoire est bien menée, au moins pour la première moitié, puis donne l'impression de lire un compte-rendu plus qu'un roman. J'ai été gênée par les descriptions trop longues sur les armes et sur les affaires, en autre, comme si l'auteur avait voulu étoffer son roman. J'aurai préféré des descriptions sur la nature. Mais peut-être ce récit est plus destiné aux hommes qu'aux femmes ? Un peu déçue par la fin, au vu du caractère du héros. Tiré d'une histoire vraie. En cours d'adaptation pour le cinéma.
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1823. Hugh Glass fait partie d'une équipe de trappeurs de la Rocky Mountain Fur Company explorant les rives du Missouri afin d'implanter un fort et d'étendre ainsi le commerce des fourrures à l'ouest de la Frontière. Attaqué par un grizzly, Glass, grièvement blessé est laissé sur place par le gros de l'équipe avec deux hommes chargés de le veiller jusqu'à sa mort et de l'enterrer. Mais ces derniers, effrayés par la présence d'indiens Arikaras et pressés de partir, l'abandonnent bien vite. Se remettant malgré tout de ses blessures, Hugh Glass va dès lors survivre dans le seul but de retrouver ceux qui l'ont trahi.

S'inspirant de la bien réelle mésaventure de Hugh Glass venue depuis longtemps alimenter le réservoir de légendes de l'Ouest, Michael Punke romance l'histoire pour en faire un western de facture relativement classique dans lequel l'amateur trouvera une bonne part des marqueurs du genre : la vengeance de l'homme laissé pour mort, les attaques d'indiens, la chasse au bison ou encore l'inévitable partie de poker qui tourne mal.

L'intérêt essentiel de ce western est certainement l'époque choisie, qui n'est pas la plus couramment abordée dans le genre ; celle des trappeurs aventureux équipés de mousquets ou de fusils un peu plus modernes mais nécessitant encore poudre, bourre, amorces… loin des carabines à répétitions et des Colt Peacemaker auxquels le cinéma et la littérature nous ont habitué. Et l'on reconnaitra à Punke une belle capacité à dépeindre cette vie sur la Frontière et au-delà, ainsi que les relations complexes entre pionniers et indiens et au sein même des expéditions comme celles de la Rocky Mountain Fur Company.

Pour autant, le revenant n'est certainement pas destiné à profondément marquer le genre. Premier roman de l'auteur, il souffre d'une narration parfois un peu plate et, notamment au début, de quelques longueurs dans la descriptions des trajectoires des protagonistes avant qu'ils se retrouvent sur les rives du Missouri ; récits qui, malgré leur longueur et sans doute à cause d'un côté un peu trop encyclopédique – il semble que Punke a aussi écrit des ouvrages historiques sur l'Ouest au XIXème s., et cela se sent – peinent à doter les personnages d'une réelle épaisseur. Et si c'est Hugh Glass le revenant, les autres personnages apparaissent plus comme des fantômes, des marionnettes posées là pour que l'auteur puisse tranquillement raconter son histoire.

Il n'en demeure pas moins que si l'on est bien loin par exemple de la profondeur et de la justesse du Lonesome Dove de Larry McMurtry ou, pour se placer dans une époque plus proche du Revenant, du Texas Forever de James Lee Burke, on passe néanmoins un agréable moment et il est indéniable que certains passages des aventures de Glass sont captivants. Bref voilà un honnête western, sans grand relief, certes, mais qui tient bien son rôle de roman d'aventures propre à vous faire voyager quelques heures.


Lien : http://www.encoredunoir.com/..
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Je n'ai pas vu le film adapté de ce roman avec Leonardo di Caprio en tête d'affiche....la bande annonce me paraissait trop trash et dure pour ma sensibilité.

Par contre....j'aime beaucoup les récits se déroulant à cette époque et dans ce style de décor (paysage majestueux et sauvage, conditions extrêmes...). Donc je me suis lancée, m'attendant à un récit plutôt mouvementé, comme une épopée...

Et en fait...j'ai trouvé ça bien trop rapide, voire "raccourci", et trop facile ! Quand ça commençait à être intéressant, l'action était finie.
Donc peu d'action, pas d'intrigue et tout aussi peu de descriptions de ce milieu hostile et fascinant.

Pour moi le sujet n'a été qu'effleuré...
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Ce roman historique nous emmène dans l'Amérique sauvage des trappeurs et de la Frontière. Il retrace l'aventure d'Hugh Glass à la poursuite des compagnons qui l'ont abandonné quasiment mort ; la 4e de couverture évoque une histoire de vengeance mais on est très loin de Monte-Christo... Certains passages m'ont fait penser à Fennimore Cooper, à Jack London en version light, c'est un bon petit roman d'aventure agréable à lire.

En 1823, la Rocky Mountain Fur Company monte une expédition qui part de Saint-Louis pour remonter le Missouri, et ramener des fortunes en fourrures. La bande, menée par un Capitaine Henry porte-poisse, commence par affronter et se faire dépouiller par les indiens Arikaras. Un peu plus tard, Hugh Glass, un des éclaireurs, est agressé par une femelle grizzly qui lui laboure le dos, le côté et la gorge. le blessé est confié à la garde du jeune Jim Bridger et de Fitzgerald alors que la troupe continue sa remontée du Missouri.

Au bout de quelques jours, malgré les soins de Bridger, son état ne semble pas s'améliorer et Fitzgerald, inquiet du voisinage d'Indiens, décide de le laisser pour mort. Il rejoint l'expédition en entraînant Bridger et non sans dépouiller Glass de ses affaires, fusil, couteau...

Contre toute attente, Glass récupère et décide de revenir sur ses pas pour rejoindre le point de départ, Fort Brazeau. Cette partie du roman est assez irréaliste, avec Glass qui rampe sur des kilomètres à une vitesse hallucinante. Il survit en piégeant des animaux, se bat avec des loups pour récupérer une carcasse... Au final, il est pris en charge par des Sioux qui le soignent, retrouve son chemin pour mieux repartir et aller demander des comptes. Il refait son périple en plein hiver, rejoint l'expédition et retrouve Bridger à qui il flanque une raclée. Fitzgerald ayant déserté, il le retrouve un peu plus tard à Fort Atkinson.

Ce roman rend bien l'ambiance des expéditions, la vie des trappeurs, les relations incertaines avec les Indiens lors de la découverte de cette grande partie de ce qui avait aussi été la Louisiane : les plaines entre le Missouri et la Platte. La vie de Glass est assez typique de ces aventuriers courageux qui ont sillonné ces contrées sauvages, dommage que la fin soit un peu rapide et nous laisse sur notre faim.

Merci à Masse critique et aux Presses de la Cité pour l'envoi de ce livre
Lien : http://jimpee.free.fr/index...
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La Rocky Mountain Fur Company a besoin d'hommes valeureux pour aller moissonner les peaux de castor sur les berges du Missouri et ouvrir de nouvelles voies de transit libres d'indiens belliqueux. Hugh Glass a l'aventure dans la peau et répond favorablement à l'appel aux candidats lancé par le général William Ashley. Il s'engage dans les terres hostiles avec une compagnie d'une quinzaine d'hommes d'infortune, avec pour objectif de remonter jusqu'à Fort Union où l'opération de trappe débutera. Mais lorsqu'une femelle grizzly s'en prend à lui sur la route, Hugh Glass est laissé pour mort et dépouillé par deux de ses coéquipiers demeurés à ses côtés afin de le veiller. Terriblement blessé et livré à lui même dans les étendues sauvages et automnales de l'Amérique du nord, Hugh Glass ne se meut que par désir de vengeance : il aura la peau des deux hommes qui lui ont retiré le peu qui lui restait, qu'importe qu'il faille pour ça parcourir six cent kilomètres en se traînant au sol. La traque débute, mais point de castors pour gibiers.

Ah ça, fallait pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué.
(Oui, elle est trop bien ma blague).

Man versus wild, voilà qui résumerait excellemment la première partie du roman - la meilleure, je ne vous le cache pas. Sous mon apparente couche de bonhomie et de féminité relative, il y a une lectrice qui adore les récits de survivalisme où les protagonistes souffrent et se tordent de faim jusqu'à tomber sur un rat bien dodu. Avec le Revenant, j'ai été servie, j'ai été comblée et même très impressionnée par notre ami Hugh Glass : laissé pour mort et terriblement touché par un grizzly à la gorge, au dos, à l'épaule et à la jambe (!), il n'a ni eau, ni nourriture, ni paractémol et pourtant il se taille une route de six cent bornes pour aller mettre une rouste à ses anciens compagnons. Durant le trajet on a mal, on a faim, on apprend à tendre des pièges à rongeurs avec trois cailloux et à se poser les bonnes questions : est-ce que de la moelle vieille de cinq jours, c'est comestible ? Est-ce qu'il vaut mieux crever de faim ou crever en disputant une carcasse à une horde de loups ? Je vous laisse méditer sur les réponses, moi maintenant, je les connais. Toujours est-il que durant cet interminable périple, on voit beaucoup de paysages sauvages "pas de chez nous" où on se projette avec plaisir tout en plaignant Glass d'en être prisonnier volontaire, et surtout on est happé par chaque instant de sa lutte : les phases d'introspection et de désespérance, les pièges qui merdent, les pièges qui fonctionnent, les scènes d'action et les rencontres improbables avec les locaux. Bref, le Revenant, c'est un récit fort qui vous transporte ... mais défenseurs de la cause animale, s'abstenir - si on sait déjà que tout est bon dans le cochon, on comprend aussi très vite que tout est bon dans le bison, et pas que.

Pourtant passé la moitié, on s'enlise dans le train-train du trappeur. La situation de Hugh Glass s'améliore, il rencontre du monde et réintègre quelques compagnies pour tailler un bout de route. Là débute une grosse centaine de pages de poursuites, d'indiens, de morts, de nouvelle compagnie, de poursuite, d'indiens, de morts ... etc. Evidemment l'auteur est limité par les péripéties du vrai Glass (c'est le lot des romans adaptés de faits réels, pas de chance), mais tout de même : c'est plat, c'est répétitif, et très vite on n'en vient à ne plus trop comprendre ce qui fait courir notre héros. Parce que si sur l'idée on est tous d'accord que se venger de ceux qui l'ont dépouillé est un but louable, ça vire hyper vite à l'obsession et il manque trop de passages introspectifs au roman pour justifier la folie furieuse (appelons un chat un chat) qui anime Hugh - surtout quand on tient compte des conditions lamentables et des dangers ahurissants de son entreprise. Franchement, faut être barré pour pas laisser tomber et le scénario ne permet pas de justifier tout ce foin... pour finalement pas grand chose, mais la fin je vous laisse la découvrir vous-même. La cerise sur le gâteau, ç'a été d'apprendre après coup qu'en vrai, Hugh Glass est mort dix ans plus tard, tué par des indiens - et moi j'ai trouvé ça vachement ballot qu'un mec qui survive à un grizzly décide de poursuivre dans cette voie insensée pour mourir d'un coup de tomahawk.

Disons pour résumer que si l'adaptation avec DiCaprio a pris semble-t-il beaucoup, beaucoup de libertés par rapport au roman initial (ce qui me hérissait un peu quand j'étais en plein dans la première partie du livre), je pense à la lumière de ma lecture de la totalité du roman que pour une fois, c'est pas un mal. Il y a le drame, le dynamisme, l'obsession malsaine qui manquaient cruellement sur la fin et qui davantage qu'un roman d'aventure survivaliste, auraient fait du Revenant un roman noir hyper savoureux.
Lien : https://la-choupaille-lit.bl..
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Bonjour à tous!

Cela fait un long moment que je ne suis pas venue sur Babelio. Je suis restée longtemps sans lire alors que généralement je dévore les romans.

Pour ma reprise j'ai commencé par ce livre car j'ai visionné le film avec la magnifique interprétation de Léonardo Dicaprio. Ce que je voulais rechercher en profondeur c'est cette rage de vengeance qui est si bien relatée durant le film.

Je suis restée sur ma faim. Les raisons de vengeance ne sont pas suffisantes à mon goût. .
J'aurais voulu avoir une tension tout le long de la lecture, ce ne fut pas le cas même si je me suis laissée emporter sur les aventures de Glass. La description de l'attaque de l'ourse est prenante et on s'imagine parfaitement ce que le héro a vécu dans son corps et sa chair. Les blessures sont graves et sont vécues par le lecteur. Comme cela est un récit réel, on compatit à la douleur et on se demande comment se remettre de tant de blessures. La survie est l;élément principal et elle est tout de mémé prenante car je suis allée au bout du livre

C'est une lecture légère et divertissante. le style est moderne, souple et facile.
Je ne vais pas m'étendre sur le sujet car il n'y a pas plus à dire.

Bonne journée à très bientôt

Christine



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