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3,61

sur 414 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je suis un peu perplexe à la fin de cette lecture.
C'est original, dépaysant, bien pensé, mais j'ai ressenti un peu d'ennui à plusieurs reprises.
La narratrice Bea est un personnage qui a du caractère, mais difficile de s'y attacher pour ma part, tant elle est froide et semble antipathique de prime abord.
Le point fort de ce livre c'est le voyage vers le Spitzberg, la description de l'univers polaire, des paysages, des animaux, et les considérations écologiques.
L'histoire est bien vue et bien amenée même si on ne peut pas réellement parler de suspense ni de polar ou de thriller.
Cependant, de l'ennui par moments, l'impression que le récit n'avançait pas beaucoup...
L'univers d'Anne B. Ragde est toutefois riche et je ne compte pas m'arrêter là avec cette auteure.
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Eh bien je suis ravie qu'on m'ait fait découvrir cette auteure norvégienne qu'est Anne B Ragde. Les challenges servent grandement sur Babelio, autant pour découvrir des auteurs que pour faire des lectures communes.Hein Stokely!!!
L'écriture est très fluide, ses personnages sont toujours sarcastiques limite cyniques et franchement les ambiances sont assez glaciales et glauques...
Il faut que j'avoue que j'aime ce genre d'atmosphère donc je suis aux anges et je me régale de ses romans.
Du coup je ne pense pas en avoir fini avec Mme Ragde, mon prochain sera peut être La tour d'arsenic qui sait?
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Anne B. Ragde fait partie de mes valeurs sûres depuis la trilogie des Neshov, dont je vous ai parlé avec Terre des mensonges, mais pas les deux suivants, pourtant très bien aussi. J'y avais aimé sa façon de décrire le quotidien, en dévoilant les caractères des personnages, avec humour parfois, avec finesse toujours.
Zona Frigida emmène le lecteur en croisière au Spitzberg, où s'embarque Bea, une trentenaire un peu paumée qui exerce l'art du dessin et de la caricature. Les autres passagers viennent de tous horizons, mais Bea ne ressemble pas à la touriste moyenne, et tout en parlant à chacun, sympathise surtout avec l'un des membres de l'équipage.

la suite :
Lien : http://lettresexpres.wordpre..
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Bea, talentueuse caricaturiste norvégienne de 35 ans, largue tout à la dernière minute pour se payer un voyage organisé à bord d'un bateau à destination du Grand Nord, le Spitzberg... A bord du navire, elle détonne un peu par son profil de fêtarde invétérée et l'on se demande très vite quelles ont été ses vraies motivations pour entreprendre cette croisière improbable. Petit à petit, on comprend que Bea a des comptes à régler avec son passé et que ce voyage peut changer beaucoup de choses...

Un roman scandinave dont l'action se déroule au Spitzberg, vous pensez bien que je me suis précipitée dessus comme la vermine sur le bas-clergé! Et alors ??? Alors, ça commence mal. L'héroïne, Bea, pas très sympathique, limite superficielle. Un roman dont je me suis demandée si ce n'était pas au fond un roman de gare, voire de la chick-lit. Mais il y a bientôt la nature sauvage du Spitzberg et petit à petit, on s'embarque pour un voyage plus intimiste, plus personnel en compagnie de cette fille fragile sous sa carapace d'alcoolique provocatrice. Ce personnage dévoile peu à peu des aspects plus sensibles, elle éclot, à sa manière... Ce livre donne aussi envie d'aller là-haut, pas forcément pour une catharsis mais juste pour la beauté des lieux, menacés à court terme.
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C'est d'abord le lieu (le Spitzberg, la Zona frigida, le Svalbard en norvégien) qui nous a accroché : il y a déjà longtemps, on y avait passé une semaine frigorifique, kayakant entre phoques et glaçons. Beau mais froid, même au mois d'août !
Le bouquin de la norvégienne Anne Birkefeldt Ragde retrace tout cela parfaitement : l'atterrissage à Longyearbyen en provenance de Tromsø tout en haut de la Norvège, la colonie russe de Barentsburg(1), le jour continuel et la fin des horaires, la peur des ours qu'on ne voit pratiquement jamais mais dont on parle tout le temps, l'obsession norvégienne pour garder ces terres propres et sans mégots de cigarettes(2), tout y est.
Mais au-delà de la balade touristique (réussie), on a découvert une auteure méconnue ici et réputée chez elle, quelque part entre Bridget Jones et Anna Gavalda.
Sauf que Anne B. Ragde décoiffe : elle n'a rien de politiquement correct, sa prose est juste et féroce, on se marre, on rit jaune, on jubile, on dévore son bouquin comme un ours dévorerait un phoque.
L'écriture est vive, la traduction visiblement à la hauteur.
L'héroïne de son bouquin (Béa) est caricaturiste pour les journaux politiques : c'est dire si le trait est acéré.
Ça commence avec une petite déprime,
Et voici Béa notre dessinatrice partie en voyage organisé au Svalbard.
Sauf que la jeune dame ne se contente pas de larguer ses mecs, de dédaigner son rôle de mère potentielle et de boire des cafés.
En réalité elle picole comme un trou. Que dis-je, un gouffre. Elle est organisée. Quasi une scientifique du biberonnage.
Elle ne se cache même pas d'avoir choisi cette destination parce que les alcools y sont détaxés.
Nos flics et inspecteurs avinés habituels sont relégués au dernier rang de la classe. Béa est désignée major de promo, sans contestation possible. Et en plus, sympa, elle n'a pas le vin triste.
Mais tout ça, c'est à la surface de la glace. Dès le début, grâce à quelques indices soigneusement dosés, on nous laisse deviner qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. L'alcool. le titre. Béa semble avoir entrepris ce voyage moins pour le cognac ou le gin détaxé que pour se venger de quelque chose, sans doute un passé terrible ?
Le mystère se dévoile aux deux tiers du bouquin et on est un peu surpris de découvrir si tôt le pot aux roses et le dénouement. Malgré l'ombre du passé, on s'amusait bien en compagnie de Béa. Pochetronnée ou pas, elle ne gardait pas sa langue dans la poche de sa doudoune et on aimait bien suivre avec elle la croisière dans les eaux glacées et ensoleillées, au rythme des jours et des jours(3).
Mais finalement la dernière partie du bouquin tiendra ses promesses, d'autres masques tombent, d'autres passagers de la croisière se révèlent sous un autre jour : Anna B. Ragde s'avère une sacrée portraitiste.
Une fois embarqué à bord, impossible de lâcher le bouquin qu'on dévore en quelques heures, un bouquin qui mériterait presque un petit coeur ... le prochain peut-être ?

(1) - c'est le charbon qui fut un temps la richesse de l'archipel
(2) - la Norvège n'a que des droits d'administration sur ces îles et se voulant irréprochable aux yeux des Nations, elle veille jalousement sur leur écosystème : on y débarque avec ses sacs poubelles et on repart avec, aucune trace !
(3) - notez cet habile jeu de mots(4) puisqu'il n'y a pas de nuit là-haut ...
(4) - oui bien sûr, l'habitude vous a rendus attentifs à ces traits d'esprit, fins, spirituels et désormais fameux, mais des fois je souligne quand même, des fois que l'un de vous somnole un peu après une dure journée et passe à côté de l'un de ces grands moments de la blogoboule, ce serait dommage, après tout le mal que je me donne !

Pour celles et ceux qui n'aiment ni les ours, ni les phoques.
Lien : http://bmr-mam.blogspot.com/..
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Une histoire en huis clos avec des paysages magnifiques où l'on en apprend beaucoup sur le pôle nord, son climat, ses anecdotes et ses animaux.
Je ne dirais pas que cette histoire est un polar, mais un secret bien enfoui qui mérite vengeance.
On s'aperçoit que quelques secrets se cachent derrière tout ça.
Lecture lue pour un challenge avec la lettre Z pour titre. Je ne pense pas que je l'aurai lu sinon et je suis contente de ma découverte car c'était une belle lecture.
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Vite, je profite de ce dernier sursaut de l'hiver pour aller faire un petit tour du côté du Spitzberg, dans le Svalbard, un archipel de la Norvège situé à la limite de l'océan Arctique et de l'océan Atlantique. Un endroit bien frisquet pour passer ses vacances à mon avis (même si ça me plairait quand même pas mal). Cette terre, la plus septentrionale de la Norvège, est quasi inhabitée, on a plus de chance d'y croiser des phoques ou des ours blancs que des humains, et ça c'est une bonne chose. Bon, c'est sûr, il faut s'habituer au climat et aux longues périodes de jour permanent entre avril et août mais je suis certaine qu'il s'agit là d'une expérience inoubliable…
C'est sans doute aussi l'opinion de Bea, héroïne de ce roman, trentenaire cynique et alcoolique assumée qui entreprend ce voyage pour régler ses comptes avec la vie et en revient effectivement transformée. Je n'en dirai pas davantage sur ce point sous peine de déflorer l'intrigue.
Pour une première découverte de l'écriture d'Anne B. Ragde, je dois dire que j'ai été agréablement surprise et je me laisserai certainement tenter par quelques uns de ses autres romans. J'aime bien cette idée de huis-clos sur un bateau, c'est subtil, bien conduit, très facile à lire et l'ambiance particulière de cette zone polaire est vraiment bien rendue. Bref, j'ai fais un bon voyage avec ce livre.
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L'auteur souhaitait nous plonger dans un huit-clos avec ce roman. Pourtant, en refermant ce livre, ce n'est pas du tout la sensation qui reste. le rythme est un peu lent sur ce bateau. Il ne s'y passe pas grand chose. Mais le mystère qui entoure Béa nous invite à la lecture. Veut-elle se suicider ou tuer quelqu'un ? C'est la question que l'on se pose dès les premières pages. Pour les défenseurs de la nature et des animaux, ce roman est une atrocité. Une atrocité pourtant bien réelle !
Béa est une jeune femme assez antipathique. Elle jette les hommes comme elle jèterait un sac poubelle, boit plus que de raison et en plus, s'adresse aux gens avec très peu de respect : « cette bière est chaude ! Si je veux quelque chose de chaud, je bois du café ! ». Au delà de ça, elle est très irrespectueuse : elle ouvre les hublots alors que c'est strictement interdit, jette ses mégots en pleine nature … Il est très difficile de s'attacher à elle, d'autant plus qu'elle est pleine de contradictions. Elle va s'émouvoir de la mort d'un ours malade, d'une femme qui l'a violé lorsqu'elle n'était qu'une adolescente mais pas d'un phoque en pleine santé tué par Georg. Pire, elle ira elle-même tuer des phoques. Et puis, elle sera choquée de voir les peaux d'ours prélevées par son amant. Très égoïste, Béa ne nous étonne pas dans ses réactions. Elle ne se soucie pas de grand chose, à part d'elle-même. Au final, même le drame qui lui est arrivé nous passe au-dessus de la tête tant on ne s'est pas attaché à elle. On l'a lu. Et puis, on l'a oublié.
Et les contradictions se rencontrent en toutes circonstances. Per, le guide, leur conseille de ne jamais se promener sans armes et de ne tirer qu'en cas de légitime défense car l'ours est une espèce protégée. La meilleure façon de protéger ces animaux n'est-il pas de ne pas aller les déranger dans leur milieu naturel afin de ne pas avoir à leur tirer dessus ? Pia, quant à elle, fait des études de vétérinaire. Pourtant, elle chasse depuis ses sept ans et participe aux safaris arctiques …
On comprend rapidement qu'il y a un trafic d'animaux sur ce bateau. La dispute de Per et de Pia ne laisse envisager que cette solution.
Georg, quant à lui, reste le personnage le plus horrible de ce roman. Insensible à souhait. Cruel. Intéressé. Rien ne va avec lui. Pourtant, au début de sa relation avec Béa, on s'y attachait. Ce qui rend notre déception encore plus grande ! On comprend que Dana ait envie de le tuer, car nous aussi ! En plus, en tuant le phoque, il se trouve des excuses : «  Il faut comprendre, on nourrit les ours avec. » Pourquoi ne pas laisser les ours se nourrir tout seul ? Un ours a besoin de chasser. S'il s'habitue à être nourri par la main de l'homme, il ne chassera plus et se laissera mourir. le choix des mots de Anne B. Radge est très bien mené, ici. Surtout lorsqu'elle écrit : « Le phoque était près du bateau, sur une plaque de glace, y avait plus qu'à le cueillir ». Volontairement, elle tue le côté vivant de l'animal, le rapprochant à une plante. Ce qui augmente encore plus la colère du lecteur qui se dit : « Mais il est vivant, ce n'est pas une fleur ! » - Georg a un esprit tellement étriqué qu'il estime que ce sont les gens de Greenpeace qui ne comprennent rien à la nature. Il ne voit que par sa condition d'homme qu'il estime bien supérieur aux autres êtres-vivants. Il ne comprend pas que certaines personnes puissent préférer l'espace animale à l'espèce humaine … Mais avec des gens comme lui, il est évident qu'on ne peut que préférer les animaux. On comprend à ce passage qu'il n'est, ni plus ni moins, un braconnier qui se cache sur son bateau pour assouvir ses desseins.
On apprécie la rencontre avec toutes ces espèces arctiques : renards, ours, phoques, morses, fulmars boréals, macareux moines, sternes, pingouins torda, mouettes, rorquals, bruants des neiges … Mais, également le fait d'en apprendre davantage sur leur mode de vie. Par exemple, qu'une ourse avec des petits doit se méfier du mâle car il est capable de dévorer sa progéniture.
Un tout petit défaut a attiré mon attention. le paragraphe sur le fait de manger les pingouins torda apparaît deux fois dans le cours du roman. Et il s'agit d'une répétition exacte. Presque mot à mot. Ce qui est dommage !
Avec ce roman, Anne B. Radge a choqué pour sensibiliser les lecteurs sur l'intérêt de préserver la nature et ses espèces vivantes. Que ce soient des animaux, des plantes, ou des montagnes. Pour cela, elle met en avant le braconnage et la chasse à la baleine, pointant du doigt le regard émerveillé des Hommes qui apprécie les espèces tuées lorsqu'elle sont mortes. Mais elle fait également ressortir la beauté des paysages grâce aux fleurs arctiques, aux merveilleuses montagnes et aux glaciers. Il n'y a pas à en démordre, ici le véritable personnage principal n'est autre que la nature. Ce sont ses péripéties qu'on suit. Ses malheurs, ses joies … La nature est belle, alors préservons-la ! Elle et tout ce qu'elle comporte. Cela-dit, l'auteur rappelle que « l'Europe regorge de personnes bien-pensantes qui détestent les norvégiens pour tout ce qu'ils représentent, c'est-à-dire des tueurs de baleine et de phoques et maintenant aussi d'ours. Bref, des barbares sans foi ni loi ». Malheureusement, bien que nombreux européens fassent la différence entre Norvégiens et braconniers, ce roman n'aide pas à rompre cette image. Loin de là ! Car les Norvégiens représentés dans cette oeuvre sont barbares et ont peu de bon sens. Il aurait peut-être fallut, ici, apporter un personnage Norvégien qui soit différent de ceux-là et qui puisse contrebalancer l'image donnée. 
Quoiqu'il en soit, c'est une oeuvre que j'ai apprécié lire bien qu'elle soit cruelle aux yeux d'un défenseur de la nature. Mais, il est important de pas pratiquer la politique de l'autruche et d'ouvrir les yeux sur ce type d'actes pour mieux les rejeter.
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Une jeune femme trentenaire embarque à bord d'un bateau pour une croisière vers le Spitzberg au milieu de la banquise Norvégienne.

Au début le personnage de Béa est franchement antipathique : alcoolique, cynique et agressive elle a rejoint un groupe de 18 personnes de nationalités et personnalités très différentes. On s'interroge sur les raisons de sa participation au voyage. En effet c'est Béa qui raconte cette traversée et dés le départ le lecteur sait qu'elle n'est pas là pour changer d'air comme elle l'a indiqué à ses proches mais pour régler des comptes.... Ainsi dés le début s'installe une certaine tension et au fil des pages on sent monter une certaine inquiétude au sein de cette flotte.

L'auteure distille avec talent ses réflexions sur l'écologie, la vengeance, l'amour, la solitude et nous invite à en faire de même tout au long du récit. A travers de magnifiques paysages glaciales Anne B.Ragde traite des sujets de la résilience et du lâcher prise avec subtilité. le personnage de Béa s'adoucit peu à peu et on fini par s'y attacher et espérer le meilleure pour elle.

J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteure, l'ambiance du livre, les clins d'oeil sur l'absurdité des comportements humains lors de ces expéditions, les descriptions des lieux et des animaux, la personnalité de Béa et de son coup de coeur qui aurait pu colmater ses plaies.
Lien : http://edea75.canalblog.com/
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A la lecture de la quatrième de couverture (qu'on peut rarement s'empêcher de lire, rien que pour avoir une idée du sujet), à vrai dire je m'attendais à du super-glauque. Mais ce qui m'attirait dans ce roman était de découvrir, comme Bea, la jeune héroïne, le Spitzberg, cette région polaire norvégienne. Eh bien je n'ai pas été déçue

Bea est une jeune caricaturiste, vivant seule avec comme seule compagnie, son canari, Andersen. Les hommes de sa vie ne sont que de passage : elle les balance les uns après les autres. Mais surtout Bea est complètement dépressive et imbibée : elle carbure à l'alcool sous toutes ses formes, et même en voyage. Franchement, là j'ai craint le pire... Heureusement la nature prend le dessus dans l'intrigue ! le Spitzberg est à lui seul le principal personnage de ce roman. Il vous accapare et vous emporte loin.

Ce roman est très visuel, beaucoup de descriptif de l'environnement dans lequel se trouvent les personnages de ce voyage organisé, enfermés sur un bateau brise-glace, l'Ewa. A vous les ours polaires, les phoques, les morses, les pingouins, les fulmars boréal : vous prenez plein les mirettes de cette étendue glacée.

Malgré tout il y a bien évidemment une intrigue, celle d'un roman policier (bien que le livre n'en soit pas un) : le lecteur découvre au fur et à mesure que Bea s'est assigné une mission qui relève de la vengeance. On découvre la face cachée de ce personnage, le traumatisme qu'elle a vécu des années auparavant (à vrai dire, franchement glauque, même si, heureusement, ça n'accapare pas tout le livre). Seulement, ses desseins seront contrariés par sa rencontre avec Georg, le capitaine moustachu du Ewa. Mais aussi une autre découverte qui va la bouleverser et paradoxalement reléguer son trauma personnel au second plan.

Une lecture très récréative, un zeste écolo, (la protection de l'ours polaire et de la faune arctique) même si ce n'est qu'un saupoudrage (du moins pas assez approfondit à mon goût), une bonne dose d'humour, qui vire parfois à l'humour noir. On passe un bon moment. Parfait pour les vacances !
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