TU VAS AU REIN
Tu vas au rein
La courbe est le crin
de mon gémissement
d'échine
Os à bouche
l'extrémité de mes fentes
ouvre sa Numide
pour le dahlia de ta main
Cube d’épaules et de coudes
contre les cuisses que soulève
l’écoutille de la mort
Brève
la langue danseuse
me vrille
Je suis un jaune
qui se crève
dans le blanc
de ta mastication