Les Sept Soeurs, tome 5 : La Soeur de la Lune

J'ai apprécié poursuivre mon immersion dans le monde des 7 soeurs et notamment ici aux côtés de Tiggy qui retrouve ses racines gitanes. Les faits historiques nous ramènent à la guerre civile d'Espagne où la communauté gitane, entre autres, avait tout intérêt à fuir pour survivre. Lucia, danseuse de Flamenco arrogante et passionnée évoluera du Portugal aux Etats-Unis en passant par l'Argentine. Pour Tiggy, passionnée de nature et âme sensible, ce sera une découverte haute en couleur de la vie de ses ancêtres. Elle apprivoisera également ses perceptions et son talent inné.

J'apprécie toujours autant de lire la plume de Lucinda Riley. Même si le livre peut faire peur avec ses plus de 850 pages, elles défilent finalement à une vitesse folle.
Ce tome ne sera pas mon favori, c'est à ce jour le tome 4 avec CeCe et le tome 1 avec Maïa. Pourquoi ? J'ai trouvé que l'alternance passé/présent était moins fréquente que les tomes précédents et j'ai tout simplement moins été embarquée. Mais j'ai aimé ma lecture, je vous rassure 😁
Les questions posées à l'autrice en fin de roman ont été une bonne conclusion et surtout amènent avec brio la prochaine soeur, Electra.

J'ai mis un peu plus de deux semaines à lire ce livre. Non pas parce que je n'ai pas aimé le livre, même si je dois avouer qu'il ne s'agit pas de mon préféré de la saga. J'ai adoré retrouver la plume de l'autrice. Elle a su me faire voyager en Écosse, en Espagne et dans pleins d'autres lieux différents et ce à travers différentes époques. J'ai aimé suivre l'histoire de Tiggy et découvrir son passé, même si je n'ai pas pu supporter Lucia. Elle était égoïste et bon sang, ce n'était pas simple de lire son histoire. J'ai préféré me plonger dans le passé lorsqu'il s'agissait du point de vue de sa mère, Maria. Elle est si gentille, si aimante.

Dans ce livre, on découvre la vie des gitans et plus précisément la vie de danseurs espagnols. C'était passionnant à lire. Une fois embarquée dedans, il fut difficile pour moi de m'arrêter en cours de route.

Dans le présent, nous suivons Tiggy, la cinquième soeur qui est partie se réfugier dans les Highlands écossais pour s'occuper des animaux du domaine de Kinnaird. le moins que l'on puisse dire c'est que l'on ne s'ennuie pas en lisant ce livre, aussi bien pour le récit dans le présent que celui dans le passé. J'ai aimé retrouver quelques unes des soeurs dans ce livre. Cela nous permet d'avoir de leurs nouvelles et ça fait sourire.

Pour ce cinquième tome, on découvre Tiggy, la spirituelle de la famille.
L'histoire débute en Ecosse, mais bascule rapidement en Andalousie. On y découvre la vie traditionnelle des gitans, à travers le personnage de Lucia.

J'ai moins apprécié ce tome par rapport aux autres. Lucia m'a beaucoup exaspérée par son égoïsme. Toutefois, j'ai aime en apprendre un peu plus sur l'intrigue générale autour de Pa Salt. Hâte d'en savoir davantage !

Dans ce tome l'autrice nous emmène en Ecosse à la découverte de Tiggy.
Elle aime les animaux et passe sa vie à en prendre soin. Dans son nouvel emploi la rencontre avec un vieux gitan la plongera dans son passé et ses ancêtres.
Nous découvrons Maria, Lucia et bien d'autres en Espagne au début du siècle dernier.
Ce n'est pas l'histoire que je préfère je me suis sentie moins embarquée dans l'histoire de Tiggy mais j'ai hâte de lire la suite.

Je pensais que mon personnage préférée serait Star mais finalement je crois que ma préférée reste Tiggy. J'ai adoré découvrir la culture espagnole et surtout gitane de ces ancêtres. J'ai adoré détesté sa mère et son grand-père ! Et finalement découvrir toute l'histoire de cette 5ème soeur avec un grand coeur et un don incroyable.

Et voilà, lecture audio de ce 5e tome achevée.
Je suis mitigée !
J'ai beaucoup aimé l'histoire, j'ai pris plaisir à me replonger dans l'histoire et ses personnages que ce soit à Grenade ou en Ecosse, dans le passé ou le présent, autour de Tiggy et de ses origines.

En revanche, j'ai trouvé que c'était redondant... Toujours la même simplicité, on voit les choses arriver (Pas toutes, encore que on ne tape jamais loin...), le schéma narratif est toujours le même de livre en livre ça devient un poil lassant.

Cela dit, j'imagine qu'il y a une raison et que je comprendrai en terminant la saga, ce que je ne manquerai pas de faire, mais il est vrai que ce côté un peu plan plan et ronronnant est un peu décevant. On aurait envie d'être un peu surpris !

Highlands, 2008. Tiggy, la 5e soeur d'Apliese, diplômée en zoologie, doit trouver un nouvel emploi après la fermeture de centre de réhabilitation pour les chats sauvages. Après un entretien avec le séduisant Charlie, chirurgien et laird du domaine de Kinnaird, elle s'installe sur place dans un cottage pour surveiller ces derniers dans le cadre d'un programme de préservation de l'espèce. Elle y rencontre également Chilly, un vieux gitan auquel elle est apparentée, et qui lui apprend que sa grand mère, née à Grenade, est une star du flamenco!

Une fois de plus, on ne peut nier que Lucinda Riley a un talent de conteuse hors pair. Pour ma part, c'est mon second tome préféré après celui consacré à Star car j'ai aimé les deux époques et pays traversés. Je trouve Tiggy extrêmement attachante, et l'aspect écologique et de préservation de la nature qui l'anime trouve un écho en nous. Outre ce volet écologique peu abordé jusque là dans la saga (même si le bilan carbone des soeurs d'Apliese et de leurs périples dépasse l'entendement 😅), j'ai également adoré en apprendre plus sur les conditions de vie des gitans de Grenade, sur les collines de Sacromonte, dans l'indigence la plus totale, malgré des liens sociaux très étroits dans la communauté, et une grande part de spiritualité.

Le personnage de Lucia, qui se produit dès l'âge de 10 ans et n'a pas été à l'école, est capricieuse, égoïste, et insouciante, pourtant son ascension dans le milieu du spectacle espagnol puis international force l'admiration, même des "payos" (non-gitans). J'ai particulièrement apprécié plonger dans la période sombre de la Guerre Civile dans le roman, le nombre de disparus (enterrés dans des fosses communes ou jamais retrouvés), l'exode rocambolesque, sans que jamais elle ne perde le "duende" qui l'habite à chacune de ses prestations. de la pauvreté et l'antitsiganisme, elle est reçue dans les plus beaux hôtels de New York et cet aspect romanesque de "self-made-woman" m'a beaucoup plu. On pourrait reprocher toutefois à l'auteure des personnages un peu manichéens, des dialogues qui sonnent parfois faux, et la présence de Zed Eszu.

Je ne me lasse pas de cette saga.
Le tome 5 est aussi agréable à lire que les autres. Les ressorts et la mécanique restent identiques aux autres épisodes de cette saga.
Cette écriture imagée, directe, à la fois dans l'action et dans les sentiments permet de se plonger dans une atmosphère distrayante très rapidement.
C'est ce que j'apprécie chez cette autrice : avoir le pouvoir de faire voyager le lecteur tant par les pays traversés que par les cheminements intérieurs des personnages.
On s'attache facilement à eux.
De l'Espagne au Portugal, des États-Unis au Brésil en passant par l' Angleterre et la Suisse, voyager ainsi avec un bilan carbone aussi faible, c'est tout de même magique.
Je vais m'empresser de lire la suite !

Ce cinquième tome de la saga des Sept Soeurs nous emmène en Espagne à la découverte des origines de Tiggy. Intéressée par la nature et considérée comme spirituelle par ses proches, Tiggy va voir cette intuition se confirmer lors de sa quête identitaire. Au fil des pages, elle découvre l'histoire de Maria, puis de Lucia, sa grand-mère.

Malgré une première partie un peu lente, j'ai apprécié ce cinquième tome de la saga des Sept Soeurs. L'histoire de Tiggy est touchante et l'auteure nous offre un beau voyage en Espagne. J'ai hâte de découvrir la suite des aventures des autres soeurs.