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sur 116 notes
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Je me suis plongé dans ce livre après avoir lu de bonnes critiques .
Eh bien... je dois dire que je n'ai pas été emballé .
Quand je lis un policier , j'espère être saisi dès les premières pages .
J'attends des rebondissements , une enquête prenante ,
un minimum de suspense ....
Ici , l'intrigue n'est pas palpitante .
Le lecteur n'est pas vraiment immergé dans l'enquête ; celle-ci est seulement évoquée au cours de coups de fil échangés entre le policier chef de groupe et ses adjoints .
D'un point de vue littéraire , il y a de beaux passages
mais cela n'a pas été suffisant pour me captiver .
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Mon avis :
"Les pires pages de l'histoire de l'humanité se répètent sans cesse et, de l'outre à la canette, l'Homme, quel que soit l'endroit sur cette Terre, n'a finalement que peu évolué. "

Avec ce troisième tome des aventures d'Amaury Marsac et son équipe au désormais célèbre 36 quai des Orfèvres de Paris, j'ai découvert ou redécouvert la plume tellement poétique d'Elsa Roch qui a l'art et la manière de mettre de la lumière dans l'obscurité la plus profonde. En effet, au delà d'être un thriller rondement mené malgré une fin un peu trop expédiée à mon goût, ce roman est une ode à la vie, à la renaissance et à l'amour.

Bien sûr, nous suivons Amaury Marsac qui se retrouve embarquer dans une étrange histoire où un Ogre hante sa coéquipière dont la petite fille, Liv, une enfant pas comme les autres mais tellement attachante vit dans sa bulle et va redonner peu à peu le sourire et la joie de vivre à ce flic bouffé par son métier et salement amoché par la vie.

Vous l'aurez donc compris, ce n'est pas un thriller ou un polar comme les autres. Ici pas de descriptions outrancière, pas de sang a profusion, pas de gore à tout va. Rien n'est décrit outrageusement. Tout est subtilement et poétiquement suggéré et Elsa Roch met dans droit dans le mille en ajoutant une émotion habilement dosée, jamais trop appuyée et encore moins mièvre. Ici il s'agit de noirceur dans un écrin de douceur.

Si la fin, comme je l'ai expliqué plus haut, me semble un peu trop expédiée, elle est malgré tout aboutie, conforme à ce qu'elle doit être, et toutes les questions qu'on a pu se poser durant la lecture du roman trouvent leurs réponses. Mon seul regret est la résolution du mystère concernant le danger encouru par la petit Liv qui m'a fait l'effet d'un pétard mouillé. J'attendais peut-être trop de ce côté-là.

Bref, j'ai beaucoup aimé ce roman et encore plus la plume poétique de l'autrice.

Merci aux éditions Calmann-Levy pour l'envoi de ce livre.

Lien : https://myleunelectures.blog..
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Le baiser de l'ogre est un livre prenant et surprenant. Il reprend des thèmes dures comme la relation parent-enfant avec un beau père qui a abusé. Ce livre traite de également de l'autisme. le commandant Marsac doit prendre soin d'une fillette atteinte de troubles du spectre autistique. Comment en est-il venu à cela ? Que va t'il devenir ? Quel danger court-elle ?
C'est à vous de découvrir cet enquête rondement mené qui va faire chavirer plus d'un coeur et notamment celui de l'inspecteur Marsac.
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Bien que l'intrigue soit assez tortueuse, et, que le caractère de l'un des protagonistes féminin soit quelque peu torturée - selon mon ressenti - ce polar ne restera pas dans mes annales.
En effet, les divers personnages ne m'ont guère convaincu, et, m'ont laissé de marbre. Une certaine indifférence envers eux s'est installée au fil des pages. Ces derniers manquent de profondeur, et, me semblent superficiel.
Un polar guère transcendant, même si il se laisse lire.
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Pour être honnête autant j'avais adoré de cette auteure CE QUE DIT LA NUIT autant le baiser de l'ogre m'a laissé sur ma faim. Un livre qui se lit malgre quelques longueurs dans certains chapitres mais où il manque quelque chose pour moi. Un début de livre qui tien en haleine pourquoi Lise membre de l'équipe se retrouve grièvement blessée en pleine nuit au lieu d'être avec sa fille ??? C'est ce que va tenter de découvrir Marsac J'ai dévoré certains chapitres et d'autre j'avais hâte qu'ils finissent(dommage).J'ai bien aimé la relation entre Marsac,son second et la petite Liv atteinte de troubles autistiques fille de Lise. Un livre qui se lit mais qui pour moi il a manqué une étincelle pour que je craque avec ce titre. Et comme je dis toujours ceci n'est que mon avis personnel
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Retrouver Amaury Marsac, c'est prendre rendez-vous avec l'écriture d'Elsa Roch. Un bout d'auteur à la grande gentillesse, à l'image de ses romans, sereine et diabolique.
Ouvrir un de ses livres est pour moi la certitude de recouvrer un flot d'émotions. C'est une promesse délicate qui vient draper un roman noir. Je sais qu'elle va projeter ses images entre délicatesse et brutalité. Mais la dureté n'est jamais outrageuse. Ce qui corrompt ses personnages est toujours dans l'entre-deux. Nul besoin d'effusion de sang, chez Elsa pour traiter du pire. Comme quoi, on peut traiter de l'abominable, du minable voire de l'exécrable avec une certaine douceur, voire une once de poésie.
Quand Marsac vole au secours de sa nouvelle recrue Lise Brugguer, rien ne le prédestine à ce qu'il l'attend. Lise git au sol avec une balle dans le dos. Elle exhorte Marsac de prendre soin dans le plus grand secret de sa fille de 3 ans, Liv. Liv, cette petite fille aux yeux aurifères que Marsac surnomme affectueusement Miss Butterfly. Liv est différente. Pénétrer sa bulle n'est pas chose aisée. A tel point que sa mère n'a jamais dévoilé son existence à ses collègues. Pourtant, même Raimbault, le bras droit de Marsac ne peut que tomber sous le charme de Liv. Et moi, pauvre lecteur, je ne peux que souscrire à une tendresse obligée. Ce petit bout de personnage est lumineux et vient assurer un éclat dans l'antre de l'ogre.
Avec ce troisième roman après Ce qui se dit la nuit et Oublier nos promesses, Elsa pose ses mots sur la différence, les secrets de famille et les salauds ordinaires. Chaque roman d'Elsa est le fruit d'un subtil équilibre. Donc ne te trompe pas, lecteur, sous une écriture gracile, les salauds sont bien là. Ils figurent en bonne place dans ce roman qui fait la part belle à la violence psychologique. Des crévures ordinaires qui balayent tout sur leurs passages, l'enfance et l'amour. Elsa esquisse, l'homme derrière le flic. Avec un Marsac fragile à souhait, elle lui offre une vulnérabilité et un attachement qui mettent en valeur sa vigueur, sa virilité.
Le Baiser de L'Orge est un roman fidèle à son auteur, lumineux et grave à la fois.
Lien : https://nigrafolia.fr
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Belle surprise avec "le baiser de l'ogre" d'Elsa Roch, son 3ème livre mais pour moi une découverte, donc pour moi les personnages de Marsac et son équipe étaient des inconnus.
Marsac arrive sur une scène de crime, sa collègue Lise Brugguer à côté entre la vie et la mort qui a juste le temps de lui dire de s'occuper de sa fille dont il ignorait l'existence.
Tout en menant l'enquête, assez simple au demeurant, il va gérer cette enfant différente et une relation touchante avec "miss butterfly" va se mettre en place, ce qui supplante d'une très belle façon les investigations.
Les personnages sont justes et très bien travaillés.
Les chapitres courts mettent du rythme et difficile de lâcher ce livre une fois commencé, les 300 pages se dévorent.
Beaucoup de sujets intéressants de traités dans ce livre, l'autisme, la monoparentalité, la pédopornographie, la perte d'un être cher.....
La couverture magnifique que je n'avais pas comprise prend tout son sens au moment de la lecture.
Seul bémol pour moi, la fin.....
Merci à Calmann Lévy pour leur confiance.



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J'ai beaucoup aimé ce livre, une enquête policière menée à distance par le chef de la criminelle : Amaury Marsac pendant qu'il s'occupe de la petite Liv...une jolie relation se crée entre lui et cette petite fille si particulière.
J'ai été un peu gêné à de très courts moments quand le passé de Marsac est évoqué car c'est le premier livre que je lis de cette auteure mais pour le reste j'ai apprécié le style d'écriture et j'ai adoré la fin !
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Tout d'abord merci Calmann levy pour cet envoi de SP et merci Elsa Roch pour la dédicace, c'est d'ailleurs mon 1er livre dédicacé trop contente ;))))
J'attendais la sortie de ce thriller pour pouvoir en parler, car je l'ai fini depuis plusieurs jours et il est encore bien dans ma tête. (ce qui est positif non ;))
D'entrée de jeu l'auteure tisse la toile et ne ménage pas le lecteur  Nous entrons dans le vif du sujet avec une scène de crime et Marsac qui est prévenu intervient seul en découvrant une de ses collègue Brugguer blessée et gisant à côté d'un cadavre… Avant de s'évanouir, elle le missionne d'aller chez elle pour s'occuper et protéger sa fille Liv de 3 ans. Marsac surpris apprend l'existence de cette petite et décide de « la jouer solo » et ne pas prévenir son unité. Cependant, les recherches de « l'ogre » vont devenir complexes et des secrets enfouis vont devoir être déterrés.
La plume d'Elsa est fluide, elle accroche le lecteur, elle nous transporte dans cette histoire avec diverses émotions tellement palpables. Un gros coup de coeur pour ce petit personnage Miss Butterfly, mais aussi pour Marsac qui est tellement attendrissant, avec un passif si lourd et si sombre. Cette fusion est tellement touchante, émouvante… Les chapitres sont très courts, le rythme est parfois lent, mais on ne s'ennuie pas. Diverses thématiques sont abordées : la famille, l'autisme, la Mono parentalité… Je vous avoue que l'intrigue policière est passée pour moi en second plan ! Je retiens surtout le côté « humain » de ce livre, le côté touchant d'une rencontre improbable et la bienveillance de l'histoire malgré tout.
Je pense que je ne pourrai oublier cette rencontre entre un homme déchiré et la petite Liv ;) et que la plupart des lecteurs auront le même sentiment que moi – et je le souhaite !
Bravo à l'auteure pour ce livre ;)
Lien : https://www.instagram.com/au..
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Amaury Marsac est chef d'équipe, il est appelé d'urgence auprès de sa jeune collègue Lise Brugguier qui est mal au point, il la retrouve blessé à la limite de la mort en compagnie d'une personne assassinée. Est elle coupable? Qu'a t'elle fait? Il n'a pas le temps de se poser de questions, Lise lui demande avant de s'évanouir de s'occuper de sa fille qui elle aussi serait en danger.

Je n'ai ni trop aimé ni trop détesté, c'est un roman policier qui se lit très bien qui respecte ses personnages, des personnages avec leur défaut, leur armure, leur blessure. .
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